niucronatd ; aperlurâ albâ ; labro acuto, incurva , intùs striato ;
spires adnato, anteriùs si nu distincte).
Strombus marginatus. Lin. Gmel. p. 55i 3. n°. i 5.
Schroëtter, Einl. in Conch, x. t. a, f. îp.
Maxtini, Conch. 3. t. 79. f. 816/
Chemin. Conch. 10. t. i 56. f. x48g. i 4go.
Habite.... Mon cabinet. Le dernier tour, turbiné, fait la principale
partie de la coquille; il est anguleux et cariné antérieurement, et
s’atténue postérieui'emeiït en queue courte et sillonnée. Longueur,
22 lignes et demie.
5i. Strombe turriculê. Strombus turritus.
St. testâ turrilâ, longitudinaliterplicatâ, transversé striatâ, albâ,
luteo-submaculosa ; anfractibus convexis , ad suturas marginatis;
labro parvo, intùs striato.
A n Lister, Conch, t. 835. f. 12 b?
*
Favanne, Conch, pl. 20. fig. A 8 ?
Chemn. Conch. 10. t. i 55. f. i 48i. i 482.
Habite.... Mon cabinet. H est beaucoup plus turriculê que le Str.
vittatus, et n’a ses tours striés que dans leur partie inférieui-e.
Longueur, 2 pouces 5 lignes.
S3. Strombe-treillissé. Strombus ccuncellatus.
St. testa ovato- turritâ-, cancellatâ, albâ-, varicibus interruptis,
altérais-, labro intùs striato, extùs marginato-, columella callosd.
Encyclop. pl. 4o8. f. 5. a. b.
Habite.... Mon cabinet. Petite coquille, singulière en cè qu’elle a le
sinus des sti’ombes, et qu’elle offre des varices alternes, comme
dans les tritons. Longueur, 12 lignes et demie.
33. Strombe à fissure. Strombus canalis.
St. testâ fos sili, parvulâ , ovato-turritâ , longitudinaliter costulalâ;
labro columellâque supernè coalitis et carinam fissarn usquè ad
apicem currentém formantibus ; caudâ brevi.
Strombus canalis. Bullet, de la SoC. philom. n°. 25. f. 5.
Strombus canalis. Annales du Muséum, vol. 2. p. 219.
Encyclop» pl. 4og. f. 4. a. b.
Habite.... Fossile de Grignon. Mon cabinet. Les interstices de ses
côtes sont finement striés. Longueur, 8 lignes et demie.
Oiis. Le strombus spinosus de Linné n’a point le sinus des strombes ,
et appartient au genre des volutes , ayant sa columelle plissée inférieurement.
L E S P U R P U R IF È R E S .
Coquille ayant un canal court, ascendant postérieurement,
ou une échancrure oblique en demi-canal, à la
base de son ouverture, se dirigeant vers le dos.
Les purpurifères n’ont presque plus de canal à la base
de leur ouverture, ou n’en ont qu’un qui est court, soit
ascendant postérieurement, soit recourbé vers le dos de la
coquille ; la plupart même n’offrent à la base de l’ouverture
qu’une échancrure oblique, dirigée en arrière, et qui est
très-apparente lorsqu’on regarde la coquille du côté du
dos. Il paraît que toutes les coquilles des purpurifères sont
operculées»
Cette famille est nombreuse en races diverses, et embrasse
au moins onze genres qu’il a été nécessaire d’établir pour
en faciliter l’étude et la connaissance. Je lui ai donné le
nom de purpurifère, parce que les fcachélipodes qui ont
produit les coquilles quelle comprend, et surtout ceux du
genre pourpre, contiennent, dans un réservoir particulier,
cette matière colorante dont les romains formaient cette
belle couleur si connue, et qui n’est plus en usage depuis
la découverte de la cochenille.
Voici la manière dont nous divisons cette famille.
[1] On cariai ascendant, ou recourbé vers le dos.
Cassidaire.
Casque*