PLANCHE SOIXANTE-DIXIÈÎHE.
FEMME D'UN MARCHAND DE KALOUGA,
£JV HABIT D-HYVER.
On a ^TÎ dans la Planche Soixante-huitième un marchand de Kalouga,
et dans la Sokante-neuvième le portrait de sa femme en habit d été i
celle-ci la représente en habit d'iiyver. Ces habillemens ont une
forme singulière, mais ils sont assez brillans ; la coëffure est particulièrement
remarquable par sa broderie et par les ornemens dont elle est
surchargée. La différence entre l'habit d'été et celui d'hJ•^•er consiste à
ajouter à ce dernier un espèce de mouchoir qui se porte sur la tête, et
une pélisse de drap, ou un manteau garni de fourrure qu'on jette sur
les épaules.
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