les A r ni€s ÿ la maiù; il ne les quitta que quand la mort la plus tragkpie les lui âmëlaa, aü milieu
de â courte. Les Gantois toujours indociles 4prôïwètg|§fës. premiers 'cernés eri 1467. I l en
■ ^ V ’çL t i $ n ! * ï i } ‘1
1 ilvi e Ïiùvaiïte,''cette V ille > liït rompu: la trêve a linfldgàtion de Louis X I , elle fet 1 ccagee
11 fureur
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wFvSPtfe'pc.ilitK f i.iv ^® i pri ’ d t Pt J îifipriirmïLri'1 r dïîP tu i ü , ^ 1 1 "JW H U H p
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‘Vis la p iv , s
'1 nl^i nr.-.ci ^ a ^ y l i s sJr^cui-sjj,
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qui l’avoient fa it tomber
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^ p fT ^ V ^ H ) y ^ ^ ^ ^ T P ^ Ta?^ ^ |u ^ fcW iy |^ h u K iiiV ù iaU ^ |P ^ ^ ^ ii^ U ^ f lù r y
La guerre s’étant rallumée en 1 |—afrt^ l o | 7^MiU...\..-ç j ilrQ^iîrmjicy,kl jq ;u ^ fa g^ ihL nulle
lioriii.u.« lin 1 t l-'1^au.a,sy.ldim ^>L^fu'j^wrx-|^wlr^iij^ < k ^ k .^ a fe -^ ^ ^ ^ ^ ^ v L y j î lO s S j
ni îmdiimM'iîlirinnÆ p. r jpmfel I™ Q ?”u iTjTï^jL^^^n®i^^lafe^içlu^>dej
U..k ie Hac <£tte ; ce fût ( n mi ni 1 de ;cêtte 1 ell d 1 nfc j que Louis X I , par les Lettres-
Patentes, données à Amboifc u mois de Juin ,1473 , ordonna quelles precéderoient les
jbi^iimés’à.ila proceflfflt folëjniKlk Jw lAJ*f tru iîuSrll la \ ilL ; ^ 4.1*
[1] Le'fac dé cettè. grande 'voilé arriva îé,
iq.68, dans un tëms fî~froid, que le vin gelé dans lës
«tnnneaux, ‘ét’oitKeoüpé à qQjip^i de haches • & fondu au
feu.1 « Nos 'Bourguignons furent l'es premiers- entrans &
p i eurent1 les premiers ônojt^:^;,,}/^ Ahtoine de Eoifey-,
dans' une lettre écrite-à Dijon ^ & Monfeigneur r en'fejl t'rès-
çontent. Aufll ,créa-t-il à cette dccahon deux 'cens Chevaliers
, dont'la "plupart étoient Bourguignon^, entr’autres
;;©hiliau:mè dé. VSMfers l:a 'Faÿe , lé. ü§ire ' die:- la Quiche,
-Gérard ide Saùlx, J. .de Èontette ,,. &ç. ~ .
mlnant, fe jurant de'ne s’ empoisonner ni fe tuer \ étrange
^formule de réconciliation pafTagèie, qui fait également
■ corînpître le caraétcre de ces Princes & les moeurs du tems.
" [3]f'W’ni.feul trait en donnera une idée. Les bons Flamands
[2] ' Philipp’e 'de-'Comines fervit utilement Louis X I en
Getteêôccafion, ainfi que Charles dë;'VJéfih'®îjonnois, qui
avoit mn grand crédit aupiès de fon maîtie. On vit depuis,
ree .traité,} & même depuis 4%'bataiflé dé Montlhéry ces
deux fiers rivaux qui fe portoient une haine implacable,
$Tàns~ eeffé les armes à la main l’un ‘C'ontre l’autre,. fàifant
"=L& ■ f ’ompan t 'des- traités, hé: fe|üfti^ànt-,jamaiis;,qii en, f'écll'-
voulant repréfenter le Jugement de Parts, choïfjrënt
trois femmes conformes à Ieui gtottefque idée, pour fane‘
'4êrôle de> trois Déeifes. Vénus étoit grande àvec beaucoup
cL’embonpoint, jsfpèce d’agrément qui conftitue la beauté
félon le goût "du -pays ; Junon de haute taille , ■ mais maigi%
& décharnée ,• Paillas étoit une naine | jlmlfuep»dnt fe
. ië©u ÿ^ëïë" & les jambes délices. Ce choix'avoit été fait
-exprès* lânJ^lMj^y!a^pfgu^^^iô„ffl6^^p|dsâifémenÇ
-yénus. Ces 1 trois Beautés • vêtues font peu modejlemency
difpu'toient- la p'ômmeJ d’or devant 'le- Berger Paris ; 4 une ■
•faifant; va/toif llM honneurs •&-,l'cs’ riche/Fes; f autre les
avantages de îa^fcience & de la fageffe, mais en les mon-
trant fous umafpcâ; hideux, ■ &ç. |
D E?> <£' A F R A . N € E .
a ljM W w w ^ i? 1. c: vtefcgrTram» r r u u i ^ 'i i ^ ii à ij i é ‘^ îî^® f .3flàvit rfeendÿft,'
d . .T&'wt y " gjlt . t i r ! ^ ÿ s 8 w l & n t i , pat
h ' fon. :aÿ e ^^æ b } ax -
■-11; ft. iijd w n j i b fî • j f ' î T c„ qu’il vb,uloiti‘
1 >| On lui
jîn à iji. i \ p ' j j f ' j à
K » ra ifb ri', ‘ in.ii 11 „>
i'ii^ T T n .* Sra g a ira^ L fc l'V .-lô .- ilA L 'iiJ x L ] - 3 f ^ p J i f f l
[ i] Les entrées des l'rmeeÿ éc les fêtes qui en font
1 ornement ,érai^S^Qi^s^^Qüî^P^îf^ia eef^Mgi^e)l
doit pas les ©mettre dans une liiftoire. Les’ trjâis Ordres
de. la Province & tous les Corps furent au-devant du
Duc Charles jufqu au Château de Perrigny pour le haranguer.
En entrant à Dijon il trouva la ville tapifTée, les
eoeplüfién^ï^^mSKes repçp-
fentations & des myftères. »OnJem^qha<dkhsB^î^^
J;ean , devant fhôtel d Orange ( aujourd'hui de Fontette) ■■, -
un ’OEdéon' révêtmde f ^ co^té-d’armes ^^e.efH^’îqifOTv
'"doit’^^l^p^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ r e l^ ^ ^ symojtSiifvDogziffü^' technt
• Gajâés^tëhoit^'hia^lËvf
teau où on lifoit : Gladius Domini j& Gedeonis. Devant
li-MesJ^Mia^ i, :,|ÿ|tef; :dë.’4|^^^^ ^ u ^Mi r oir~ ' aùiP
Chartreujc |^^tpit; un granmMi3S»^ a t ^ l^^mlier^de
f|l*®rdrg^^ ^ 4 e 's ', armes du ?D‘u^ jgÔ^ d y^ > . patte
teRaht^'unea^TOe-,p que; lui dônnuit'?Jérémie. D^s<ilsfe~.T:ue
' des Champs à l’hôtel Champlite, on voyoit hjr^lun' écha-
■ faud' Jofué à la fêjë: de fon armée , mettant vlëi ennemis
tel . Macheco 'étoitySaîomo^ ^ ^ ^
; ùrié Copr brillante.^ .&.i.la Reine de^aéa ayant un r^t^âuh
K ; f f q u l l f ^JîT^peàs^qià^o^^êi
ftîper thionum patris tui. Cette maichc pompeufe fe rendit
à l’Eglife de S, Bénigne, dpn^lès .Religieux portant leurs
Reliquaires furent au-devant du Duc & le conduifirent à
1 autel, où il jura de conferver les, privilèges de la Ville
\ & de 4a Province, '& reçut des mains de l’Abbé , VAnneau
jEtora/. C étoit un^ gros rubis que Philippe-Ie-Hardi avoit '
,* kcheté iyooo lives. d’Antoine Gentil, ''Jv^^uand^ Génois
■ f c l o r i - ^ i K K W j v r n i J W q f f i ç J f ë à i . ;
en déposé a^feB^mgae' tpou|ft-‘ig^ | ^ à cettô
céréièonie'î‘‘ë efôi^s^o'^m^^^^poIe^^Q^ffiàt,
pafféxntreâèW^oeè|^p&ï^pim®^;j|^
[2] Ils trouvèrent fon fceau d’or pefant une livre •, fes
fôp pferé^ l’épée •©'Uealé
quinze groifes perles;
les figures
^ ^ ^ ^ ^^ ^ ^ptre^ir^pM^^^^mM^i^eliquairesh. habits
i&dôVau‘}feprecieux^ e n fe ié@ g a l^ ^ ^ a [împlicité de cette
• nation,,. comme vaiflellè
éû«e^m^CSa»^ ^ ^ ^Kdi'am ant.- aujoùraî^a^^^^^^E^ôitte-
ment de la ’.©6,ürpnne ,. eftime. >miïs\-tde^ ^ § ^ ^ ^ livrèsh
: fut ’do.nné''pôJir ^ un florin /ô t revéâdu.ij^^^^m^^pà^pn
W P F # # f e f f une figure îpbfâhgue;^, t^U^ën;, .^acettes^
paÇs^e’ntre lés 'mains d’Antpiàh;
M il^.^de^Sattcy. le tenoit,-’Vdici|r
une B ar o n .
^^^m©vidwÆ)^^^^B^3^I^^@fe.u|gaK^^d'è1.iymeftra-.
.lui recommanda
^^^^TOK^tefeh'aièfg^e^^xMqlM^^ l s , m’arracher oien t
Yji la ^ ie k ^ ^ t ^ p filple ferviteur1.* Uu’flî^^ ,xmôleMiertt •
» point ce diamant 3j. Ce qu?avoit craint Sancy arriva. Le
^ Q ^ f liq u e dms-, fpn^y^agehanperçojfc^une ^r^pe de
Æ’jiganu^qui l attendôjent au paffage ahffi|tôjfe*il^wale le
diamant feiçgnmtfufe^ià? .r ou ï^G ^ ^ ^M a aO à ’ fôrêt de
D’Ô le .^ ^ ft -,arrêtep > i^ ^ ^ ^ & égorgé, “Sancyp^é, ^pymt^
pas- .Revenir
ordorm^^^P ^ . exaftesil. .TOrqh^^ons^décpuv^e ' le
de’ fa^.l^puitupe^i, exhumer ^Venfifl^5j^Spa en là;