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-des Folcà & & dm bip. il c ) , qu’ils fournirent
■ entièrement ..tes; vairi^HÇBrs :ëlraBlirent une nouvelle, .Colonie Ja i®EOEtenoçte;,--:&;' toute cétte -
mai i d » ] t Celtiq i ; devenue: P rpv ' < f i ni né,, en prit le n m de GziuàMaf < i di^..:"G’elt
gfiùjcp» K iS & f t f tA Wnkillo.sftsÿl ui^tÆUfr.BC Ltifluv. B 8 | ;
jp'sLj-lc les chaigci j f i ' l kit,- cW A s rn ü 1KI“S ^
L e s célèbres viétoires que Marius remporta fur les Cimbres & les Teutons, qui étoient
entrés d iris la.iSfarbonnoiTe.âU:nombrede cinq.cent miJkt^bat-JU';, jlTKrer^Mij. tojnqurs
aux Romains k pgK®0B-: de la Province Narbonnoife, qifjil:s’étenddit depius, Genèye .. aux
Jÿ-encos, le long des Cévènes. Cesponquérans devenu voifins des Eduens , lesX.re^ïlè&t
dans 1 ’ir^sSte at; «ion qpbur balancer-la puiffSsee.d'es A i v ern s qui fàifoient. ombrage à la
Rép.iÉliqa«., E ^ld3 i'd o'rijftr^?^fuje i > ^ d e pjirttL la yn-k dedansJdliiloire
-abrc ^ î i l § £ n 1 *4‘ nP ■ «u.yL|dt - C £ '^ ,urï n'?>
^ j i [ dL/qLLd* -Ror r . Ly> L igoi r il LeUx»dLf c m£j A . turi.Æ u < L 1 rtnt
le droit dë'ioHïgeoifie Romlitie; Les Eduens^ devenus lés plus puiflai. i'c. h^Utrq\4Jp-*r
leUr aîliar.c*. a L ç . jk i . ic v . par le jv r :^ ' q u a rù leu î^ jA iÎjE -^wine^^qntroiCMjdûjsriLi-;
lÿ e ïe llls^ d e s 'p eu p le s& a ê îo ien t dè les'protéger, & fe ^dienfidonner des otages d e ceux
qu’a pren lient fous leur prouccftion. Ils voukTentdifpwéu aux: Séquanois (- ux de Fiaiiche j
ï ô ntpdf^û-pRijmét^
combats!; mais-étant les plus’ foibles, ils appeîlëremt- ij.eoeiÉ^éî|irs Ario ville, Roi des Germ ms,
-en relief lin Conquérant,qui tient cleux'captifs enchaînés,
fcette feule^^^^^^^nv^rouveroit queV ce'; mpriuièejit^ né-
regarâétpôitit ia viétoiréÇ Domitius fur les
'•q u ^ ^ t^ a è u f^ ,d?ugS T O cellè<f^ y i ^ ^ ë^ i|^ p | f j
Roi Bicuit. D ’autres penfent que'l’arc de triomphe élevé par |
ïçabius..pourroit êtfe çplui qu’on y
;diocèfe d’Avigno^•z.’^çoiUfGlanum dans lfesibïïjfâires. Gfe •
!^S^l?y a de certain, ceft que ces premières victoires fur'
Tranfa>Ipinsxcaüsèrent une joiÿ; :ùfeê#fêllq^anf \
■ que des G â^ is leur .
avoient'feit j & que 'É^ï|^obferve %:li. III , ç. z ) , que
'Domitius, -& Fafmsvjpour -perpétuer’,'1‘e'jïbù^enir dcces-
' importantes .viétoirëSj firent .élever dés -monumens- % d e 0
trophées, contre Mu/fà-’ 'du'peupler Romain3 qui, fuivant
'ïexprëlïlon ;du,.0iêm'e FlorUs- ? nbifulca jamais à iïennemi
v a ï n c t t î 'eû-étonné, avepràifon, de~ce que ‘Florys^fe
.avance^ ic i, puifquè^jamais iV/ainqueur n’abufa glu$4truëlle-
Par,ler
'de-l’efclavage, qui 'étoit alors? le droit coj^iîn,de la
gUerre I ni de l\état de ferVitude accal|lan^0^j|©ient réduits
les pays conquis perfonne -nignore .qu'on- égorgeoit,
ies» R|4isV.éapti|fsa après, -les^oiè mené’ en triqm'^|:âtK
»Capitole,? 8ec. | •
- ‘.[i] Cette viétoire, 4a-plus complette ,qui •aibiétéjrem-
•poctée avant;cg, tems dans, les Gaules,'ayant été gagnée^
fur>les-Eduens, mhs&JlmàèétolItàè** .la^pdiiâpnîde^e'li^
ty»bèàueêup,< >eiercé; r ir#^Géograpbës.' ^b ç^d; des
, Sêquan. Êx prétend.qi4Aûiagétobriey„d,om il^ef^pa^lé.
dans Célar, doit êtie fur' les bôîd's-'^Al^ûône^èptre jqS
frontières" dés Eduens &'des Séquanois. ikf^'ou iWflge , ■
qui lignifie en Celtique demeure, habitation , & Brie ou
• rivière j -gué, 'paiffàge; défignenï ,uiîe. ville' ipRçs- d?un.
p on t fur la Sô n e qu i p or te le noii^^^Brig|^^fCé^^
^ÉmqMV.lÈn^'donrequJ^e^i^^^^^te^^ëfine.y ^ a ù ^
del’Ôgn©bs & près duquel]1 on'trouve un marais appelle
Afoip'fe rfc ^roj/e., qui- a .dû- fervir à ‘couy-rir, l’armée d’A rio-
‘ viftê^'I'b âj|JU'téh,tqu!il y'a dans Je voifînage une montagne ap-'
pell'ée le Mont-Hardo,ifs ( 'Mons^Harudum^y3 parce que les
"Harudes, peuple Germain, étoient à la fuite d’A riovlfte, &c.
Cet Hiftorien 'varie ventuitc, parce qmeBroye^ n’eftpas fur
la frontière des Eduens & des Séquanois yxomme Céfar
'•î^urei ï ’^^lge^obnê, &-iMpénfé
'près^des^vi'ttâges* de Noire, au confluent dteUa Sône &'dtî
Doubs11, soù il y «a^ des ’yeftiges d’antiquité, & dont les
sgamjjagnes portentiencore^ei^om de Champ des^JfapSlMs»“
l'Gej-te, inceFpitùde de ‘l’Hiftorien de /;€omfé/ donne-liéu de
fîpréférer^le fentimefit du dode Samfo’nÿ qui place Amagé-
tobrie à jBirâo-e/Zj''au confluent -det la ?Na>ve d<u''IR'lün*;,,
fondé fur un paflàge d’^uMië':,:ën effet ce iPocte y déflgne
-une bataille qui entraîna 'la/ruine^dés Gàülès-, ;ôt*qû’il aflurç
. avoir été^adffi'fanglante/que celle de'iCânnesi' -'VV T
Tranjieraln -cekrem 'nebulofo flumine Nayam
, , y^Equavit J^aÈm^hbi^e^ondam^&aUta Cannas 3 .
'"fi ^Infi'êt^ucJacerip/tnopc5,.fitper ' 'arya “Catiryx, ' ;
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toiiï.é leuf ltobleflè. Ils ne purent obtenir k pîéx qu’à; des eonditioîis bontéUÎeS, & éh dômiailt
■;en iôtagé fcs principaux & les plus. riçbesÆ iénr nation. ' t
; Lgs.-Èdueiis.^Msrimpuii'abp de fe relever de cette perte, envoyèrent à Ronie lé'fanieilk
•ZJz'Wn'ac implorer le fecorurs dp ceux qui fe difoiénf M k y 7drér.! Dès qufil'parut'dans le Sénat
-on voulut le feire affeoir au. rang des Sénateurs, parce1 que les Magiffirats des Eduens édôiert’É
rx e g d B Ê K ^ S U B ÿ m 0 ^ . Mais Divitiàc ayant à faire le gèrfonnage; dé fiippliant, parla
defeôw., fins quitter fes arnies & s’appuyant fur fon'bouciier ; fcn élbqtaencè étonna ©
*>Rir » e îtr 1 Om lu ucU A/rlm A 1bu>'*i t l n ifr S ^ ® N ^ | | 6 $ U t i ;
fies a ffiies de la'RépubBqiie ne permirent point alors de poimwoir jà celles des alliés; labonjiii-
■ ration de Catilina netoit point encore éteinte par fa mort ma s ce qui tênoit le plus lés
«Siaffiis
oSSJni! dï»Voruééi 4 ^ â jH p d llï
■ Provinces. Ü parvint, en effet bientôt à.‘fé faire donner l’Illyrie, la Gaule Italique & là
£yjBpffln°ife‘s </ ;
m i iT1111 ''-r Pf?I"’‘l'^ • ■ 'R n,n'- dM'i, &
iG^lafcmlp'lânic r g' r t ’ ~f- naiîe
des buits de trois années, & brûlé leurs douze viltes .& plus de quatre jS^^jFi-b.uc1-, ils là!
i 11 à partir : ;ls ^ 'iX.ii V i : par les rat jàeitri i x Boïens, riouvefiemerît cbalTés di la
Noricie. Céfar a\ erti qu’ils deÿdiènt prendre leur route par la Province Romaine, fe rendit eri
SclU g c iic2 ÿ a ,^ ,i.n e , »qù "o r fé .ô ' l ! ^ c ^ c r 3 v
Hel ‘ tie i q u lui den aiid ié u 'paffâg#;& bientôt i l ! n : en état de les f(ireer i prendre uné
autre route, en failànt conftruite, depuis les bords-én lac.de‘Genève jufqu’au Mont-Jura,ulr
mur de feize pieds debaut avec des retranebemens & des redoutes pour en défendre l’approche.
Les Helvédens, refufés par Céfar, s’adrelsèrent aux Séquanois, qui leur accordèrent paflàgè
par lern-s terres. Les Eduens pren int le,| larti contr t j Ja Î i tu è rént. r i. rs Célàr, qui n’at cndcV
cinq lieues-4é Bibraâe & les défeit entièrement : [ i] . L e vainqueur força cjstté malheureujfe
pation, réduite; cent mille hommes. de plus.' dè trois: cents];, qu’ils étoient avant leur
!* Ce qui confirme’ la conjeétuf’e 1 de $amfon, cefl: qué*
^m|om^roi^tâOTrehd' (/i. I^%djM'le'territoire' des
Aiveinesi& dfesMgquanôis s’étendpit'jufqju’an Bhin.;> lrR
^qm îndique^Mcefl: vc^s lesdDords de cç'flêuvff. que les
nEdfieiîs fuient'-entièEement défaits, eu voulant soppoféc
poegàiTage d’Arioviftea
| M iÇi le lieu de irelever une eireur de cdnféqüence
qui’ fe^' Bolivie dans Afli/Zo^e'aA/e^-ee </e- .Bort^o^/ze £
(P* 1 ^^^^^^^?üjiteur'm^^^tquë
we)combat^d’^^gétobrie a^été mtmÂ^Moigtc <&xfîràÿe>
.entre-Jés feuls^^ânois & les^Eq^^^g^>;@Ae||kby
GourEHNEMENT de Bourgogne. ■
^?êritrée d’Ariovifte dans les''Gaules, qu’après là défaite
des .Helv^tiens par Géfar. Mais alors il y aydif déjà qjjjnz^
-ans’ qù’Ari^®ip|.étôit- étalbii ^an^fësi'Gâiiues, fur lèfquëLl'ë's
il appéfantifFoitjJe joug du defpotifmc3 ^dôi^xl^^aflbif-
less' 'liabitans po'iïr do’ririèf'’'leurs-terres aux Germains. L ’Auteur
n*a point entendu les Commentaires dé Céfar, ôu
. les !'a ‘point lus'. ' ; | '
[ i]‘ Oifa^ éja îemarqué dans l’introduiâion, que cefte
i éeè^r es de^C^^^^Colonn e}
& que ce monumênt ëft regardé par plufîeu'rS écrivâînà
c^rniine ' l'èbitj-dpflée' de ïi|î||a:l|fliem©râbi
I