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,-gldrieuxjn ) n- <1 . Pad fyuei 's^&iS' ok li-bien mérité, H a re te les Sujets dont lés Brincès
font
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i r i - < d \ .M t ) ; i q ) o i ^ é p C ^ ^ i ^ m i am u tA ru ié y | ( ,-i-Yîjfa«X,£.Maiii-
Thibaiid-i Gi nd ( omte de 'Champagne: Jaloux de conferver lesdroits de fe fuzerainèt , il
obligea ic Gomtc -'foWbcàu-pcre-, de venir lui laite hommage des Al bayes dé S ihit-Germiiim-
d'Auxerre , de' Saint-Florentin , &. de la ville & Comté de Troyês,-comme mouvans de fon
Duché Deux ans après, le Duc alla a\e ç quinze mille hommes , au fecomrs d’A lfonfe Roi de
J’ omi^ l,»h î^^UTîjftl^b tï' <■ 11 or îlu r |pu\dj.dd h d^ Lill omu. ifrv, MO*
if^ S p r i iu rC ',© n j eut dire : la louange- dén o s Ancêtres- ,• que de 'toutes- le .guerres
■ ton re les Infidèles, celle des. Bonrguignonscoiure les M ture dans les Etats du Midi, fut la
plus jufte & la plus heuretrfè." '
- Bette >ur d in f fes Etats, Eudés'fe trouva é ï r f r q d , à Vézè la y, où les difeouts pathétiques
de; S. Bèi îard allumaient- fenthbiifiàlme des'Princes & des Grands- qui s y nt àffemblés.
Elides -réfilta- à l’éloquence du f in Abbé ; & fens. fe Jâifîèr ci-iti îner à 1 exemple du Roi
Lo us _i ë-Ji qui 'avoir pris la ;Crçiix av so plüfieurs’-Seigneurs ,- Prél it St Abbes ^ î , il-
pïëféral boiiheür de• fes Sujets & ta gloire plus folide de les-.gouverner pat hïi-même' eh
bon Prince lient d i' grandes-côn efetions; avec Geoll’roiE\ que deEangres , qui exigeoit
qui le Duc lui“ fît ’ hommage en perforate!, & qui le lit cirer à la- Cour de France. Les deux
Parties pMdèïemt leur' caiife devant lî Roi dans Une grande affiynlilée convoquée» 'cet effet.
Apr s une remife o'tï lé Duc n jnj ;ea~_p i . i propos-de pomparqître; ihfut condamné à faire
fatisfaélion à ‘l Evêque p d Jugement de. la- C -cur dtefiEi;nice î c ndu à Môre't en-1 1 J 3 . Il paffa le
relie dé fe vie à t rire des aumônes - & de bonnes oeuvres. [2] . Ce Pringé ’.ipacifiqiue St
1 eni ifent mourut âgé d f< ix nte -un ms en ' l i f e , & 1 nt rei‘ITT* : da s le û êmi t nbe u
que' fon' père & fon aïeulr II lailfe.de Marie de1 Champagne ; H oc l fon fece'effeut ; Al il a d
4u]OurÆhui S.’ Julien 'dê^lpijon ; du Puy-d\Orbe 3 de Lan- ?
charre, delàBuffière-fur-Ouche, de'Maiziere presBeaune,
de ’Quincyh, de1 Sept-Fonts, ;de' F^fftên"a|i;p^s Montbard , J
'de Tar,d-fdr7©üche transférée à Dij|^èji|r623 3‘ de Sainte- j
Marguerite ; du Lieu^Dieu, &c. La îéforme de l^Abbaye
He4>^4tf4ui;’^ ^ û r lè premier '
[ 1] I l falloit que lé Duc de Bourgogne qui venoit
d’obtenir ~de fi brillans fuccès fur les 'Maures ^d’E(pagne ,
l’exemple, îpour refufer de fuiyrè,'fon Roi [qui étoit
venu prendre la ^ÉGix dans fes Etats,. rG%-te||ie,uïe manie
paffac'des 'Seigneurs au peuplevë£)n epioit de tous; cptés;
là Croix, la Croix. On'- envoyait même une quenouille
. 8£ u b M f p a s . Lesi filles,
» les Châteaux-^ deviennent déferts écrivoit S. Bernard
x> au Pape ;yf,ën^vpit< par-tout; des veuves dont 'les époux
» font vivans , &c. Le Généralat dé*'l’armée des Groifés
fut offert aU zëlê Prédicateur; mais l’exemple .malheureux
de Piene l’heimite étoit >trpp, r é c e n t& Bernard avoit
trop de prudferïce pour s expofer au meme ridicule. Il Iailïà
partir feuls cês dévots’ foldats qui pilloient les Chié tiens,
égoigeoient les Jpil|>/fur leur paffage, & qui Te firent maf-
Éçrer eomirie: dèsj brigands';
[2] L Auteur des. Additions à mon1'Abrège deJ’Hiffoife
de Bourgogne, dit que ce Pûnce, s’appliqua à rétablir la
paix entre Ponce Ab.bé-de Vézelay, & les habitans vexés
;/ p -, les Mo'ines ;l;»^;®li^di©Hna à M ;bi>*aye de Cîteaux $a
maifon de la Ducheffe Mahaud fa mèie^ avec une vigne
& u ri-’pré hors des murs de Dij on , qui., formént-.apj aur-i-
d’hui le pecu Cîteaux, &ÇijJ2es'fortes *dadditions,pax lef-
quelles l’Auteui', a qiut]|e^r îemplacei 1 omillipn^ d une
infinité de faits effenticls, ne font pas affez importantes
.pour, les rapporter toutes. On fe contentera d’eiî eiter
quelques-unes en notes'^, lorfqu’el’l'es 'en vaud‘ront,la peines
:"1 D p ■ *' 'm
épôüfi Robert Comte d'Auvergne • & A lix , mariée à Archambaud de Bourbon &
RjofflEH-'c'ili'' d - h i,
Les règn s que nous venons de parcôu i f , & 'plqfieufs des fuivans,3 mrn ilTei* cil de
jfensp'di i
^ g^ jfe u^ v e rm s jB sM jli-s qujp6 dcsflYuplv^ftSaueploui.pÆ=uh
qui en fait toujours des viélimes 1% \
- n > i . L .
B r F Î (* i ijtu h tutJIô
d-^li'jlTOglTCiLÿAl^ Vofr l^lîi’u
nl|k|d X
t ? Q Ê t .Sfelfet .'~»'i.A||)idLJ|L l'lifi-™
i mdti à fe. j iBà'e , il exécuta fe promelfe avec magnificence , ,
lEgiife de la Sainte-Cl i| GP p*pXmI
Hl m i HmLui TiMnWi lira H
arma en H 7 2 , contre le Comte de Chalon dont Louis V I I avoit à fe plaindre, s
Ils dc*l hi rBt ncjjig o f é Ac|aaB m s , hüt S i. u
Roi. l ia i ma de i-ùmveaii en r 1 7 4 , ,pou-r obliger Gui Comte de Nevers, à lui faire hommage7
de fes fiels , le fît prifonnier , & né lui rendit la bbert ■ qu’après fe foumilïion. Il fut m'oini
fon château près Nuits. Ce Seigneur eut recours àPi-iiLipiT.-AuGUSTE, & lui promit l’hommage
qû ‘c Chatillon où il fît
yrtmc^facbiVara de ^îlulibaiijt.iu.rçsv Vil«- , , "Ôi c^Jgin.
' [1] Lgs ^Et^s étroites que je fuis forcé de>me preferire
dans une entreprife auffi vafte, où 1 on doit donner l’hif- »
toire Ta d.efeription d’une quarantaine de Piovinces^ne1
me permettent pas de m’étendrg fur une infinité de tiaits-
particuliers & d’anecdotes, qui jetteroien't- plus d’agrément
& de variété dans?.le taM^l hi'ftdriquS.de.Eey fiècl rs téné- ’
breiix, de barb^^^& d'’j^0^n^^l^@^^^âjai-'GOficerne
les jugemens de Dieu ; les' duels judiciaires : les épreuves
parlé fej? rouge, • l’eau^feicle'', i ’eau j les tribunaux
'cccléfiaft iques '8||Gi-yils ; lesjugemens par pairie ,
la formation d‘u<d>io‘it fépda'l 3 J|giâgine de nos coutumes, &ci
rendroient cet abriégérbièir, plp|ii®tereffant, fi je ne devois à
poinniéhrenfermer dans i f r i p iyo pages,
afin d^‘|c^nferver l’efpace néceffaire à th'iftoire parties
lière des autres ProvincesraHH
Il en ef^^^même des c o Ifô.rg c
..comme il?^6rt--fe_,la réfur^^^^S^te^fed^sS§"
Egides ; la /ère rfc ou celle des /okj efpèce de faturyLn\
iMi.£i i m BoufieàçNÉ,
W|îès îéceléfiâftjquesÂ'qui fcfjifoiént depuis^^d^ à^l’Epipha-
nie ; la danfe Ydes|®teTO^x|^êonhW‘f^^^mqmr^ë ^ ^’
:.^<$/YM^9^^p^&^Qoddes' À m jjtèrcs j &
^^MQt-icefdesggmnds Homm^ Sc ^îüyj|a^ei, ^éte;^
^^^î^o^-mà^é^moi toüs^^^ofej^fs^m^feprësSàf révéxl^j
' lér l’attéutim^ ^ àj piquer'
l ’Huft^e^^fale - de la-Mon'archFe', foif à la France
moeEr^i|]^|rtuihes & ulages^
qui doit fe trou ver | la fin Hiftorique dont
,,ehaque>^|*?fiil^^|par département fera àccompagnée. Ce
n’èft ^ n ^ ' qu’après l’entière ^ex^utiosn de la iîç/crçirxo«'"
généfale &. jwtizuliïteïM J&tfyiza/n«?,’ que léon^ferâ - en ■ état '
toutes lés parfies/ qul^upiyënt^nîfér
dans la comppfition de cet ouvrage immenfe. Que penfer
donc de ceux qui fe permettent de le critiquer ayant qu’il
en ait rien paru ?
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