I ? $ D R s - C h R 1 & T 1 O :N '‘
fcientSt-Mjtxn rolu x ruTuqum E n a^ ^ u r^ - iq q D t ipW Lotiisiy/
isccffuii’ , - ,
CGriEd^-s-di K'afiS&mfc 'Cour:, :dbf'dcnFu luphir l it v jg iL i j. i>le■ Brabjp|j|
cu le Due le requt avec honneur & lui die: I Prince, mes foldats & mes finances font a votre
i) fervic-, ,t\t«ptdf^OT^PS^' il ' . . in u dc reformer fon Confeil, cc ne
, U .»rfi.ud'-IjEqWifp^ notl» 11- £illU3tl9
»4)1 Ltjix id L-H^iiigK^S^IiE^enaii q j uiJofiKq h i >t,«.nlu -»le Jm SMul'dot na*/H^®B4-t-auK3 |
<3^a|$ Jnppr&& Bin* li „ .?$|{d A^t.djmffi^us\dKf^p<ft ftipoBr^^^^ tn?J^rCTVt'ctil-on?i
l*_Vl,<pwtroa^iji3u>ani|yut?rdflftuSpMii'arall bien.ufflmfcxd l
'riffoi^tmtri t'\ ■ £"'-* i .» j o < g j L ii u l - t , It Daupbmme tarda -pal'-aB i^ gm l
-n s
I .,?t;appnv
i.d/-pap 1. i ififii jfd a iism 'l^ ^ ^ j j^ -o i^
u ' g c ^ ^ ^ p f^ .n w y 'M ^ M ^ i r a a B c ^ A ) - m |av-jtt-|Biut.'c!i7
B^jijgo^uc. . i
rt^pfcyjbejrAi‘ j.jfi!O T |# i ,) j^ ’I r fa iiv .p iy fl^ y rS u l& fo iK p ’tiiirt h -n iJ n
<1 iqu 1 il.-K n n K ifi 1 V) 1 ^(a.l\*?t JlCTa)Bhilf^pc.TlgB.oa. Rar. 5 & pju^
feijuu-jdoijntl^ui^'ji*; i^toiijdt’ nc l-fn-«uu J S ^ X s d3*
les Eonferv er en-place. Lou£; X I q it lui avoit des obligations ffiiarqpeesj rnais qui ne- gaettoie
S ict.1Si& ,'.i Ly-_Jc> .-i.'i> « T i^ ^ p t
pcifrjni ^ ^ ‘‘ IV ^
k.;d j e
ddpenle royale S-Ibn hotel d’A i tois , & eut- un'e- Coin: fcrii. iraee;-(|i» eclipfok >eette d'u nouveau
Mon u jud" TvJh). tc puS
Un petit enfant tout nud fur une roche , dit Olivier ,
piffoit <eau xofe continuellement, &c. Le^ Duc fidèle à
fa pidmelTe , & élu cHg| dé la Croifade, paffa en Allemagne
pour en concerter fês moyens ave,e l’Empereur.
Uepénâant éettey;:Æn^ë|.riCe? n’eut .aucune fuite. Il
tenta d’envoyer des vailTeaux au -féçours des Chevaliers
- ,
. [ i] C’eft -. pendant le^fé i^ rM ^ te Prirtcê K Genaps. que
les cent Nouvelles Nouvelles furent, faites -pour l’amufer.
Ce titre leui fut donné pai oppoiltion à celui du Deçà-
méroi2 de Bocace qui charmoit depuis long-tems l’Italie
fous le titre de Çentii N o v e ll J miche. Philippe-fe-Bon,
' le Dauphin Sc les principaux 'Seigneurs de la Cour^de'
B.o1irgf*gnf- en fant les-Interlocuteurs. Ces nouvelles pleines
de feu 3 i d’imagination & de gaieté 3,& éerites du flyle
le plus naïf - & ?ïe,splus agréable, fo-nt les plus anciennes
tpi<»^^^^^.ayons en notre langue. Elles ont fervi de mo-
,'dèle.à la Reine de Navarre qui y a même puifé des fumets,,
& aux Auteurs<par- qüi>elle a été.irakée^&'fujyrer'Laf^-
^ainR y a également pmfê:^Ky^l'iaipa^t..'d'e feV iContes, & a
relevé le mérite dé l’invention, par le cliarme' des-,vers.-,
fa] A u paflage 'du Roi & d‘a .©up fur le Pont-au- '?
Change, on lâcha deux cens douzaines d’oifeaux, chofe
mp«/i yoy««7fe à vo^r, dat Paradin, (^7. 8ya). Un Bourgeois
'lui, ciia : « Franc & noble Duc, foyez le bien yenu
g àPaus,long-tem«-aque vous n y fûtes, bien que vous1
p| y avez été moiilï d'éfiré ». De cette exclamation.devant;
,deVRdir,furënfspr^fe|%0'^ . ( aÆ/zj - I
v^Rouis,. X i rac©nitar aux Députés de 1 Univerfîté j en
préfence de Philippe 3 > de fon exil3 les
aCurant qu’il-avoit 1’®blig.a't-io'n' dé fa vie & de fou Royaume
au Duc’ de iBourgognc. Il'.aj^ltài^u’il n?ét©it .forti du
danger ■ qu'e par l’intereeffioa d-u Meàlieureux Claarlemagne'
(Crev/e/j- /ii/?. ro/ra. ^
ÜLarmême année, fc-yillffe-de Rheims.s’étant foulevée à
l’occa’Gon^des nouveaux impôts établis contrekla paxofe
•fftlemnellë ~|[U;i£^enoitMé^d(&w ~^M lfa ç re^fe \ Rôijfqui'-
tsvoiéoit accoutumer fes fujets à une obéiffance aveugle,
& non pas à intei prêter fes ^©tpntés S/fit un 'exémiple teraux
autres 3 à la prière du Duc de Bourgogne qui l’en
follicitoit, *
D s m ? N a p ï r a .m ® & ■ * M
S »yb itV'^;' (^Ph':iKi^pas; ^ 1 ' àl) j*- lon^tiiriS ,êii{sjML\, { n» l'to^Î
. -Les h ni < urs, la dureté & la m luvaife foi .de Loiiis X I , allumèrent bientôt 6|ffièihllteteMrè
B'Ar/w. de
C c rollois uni dé [ i -] , brâl J v!i^ S ju Ju£^® ^ 2 u k les r é g i !® , payoit par=
tou t , & tenoit fes troupes dai s une exaéle difcipline, afin de g igner le > peuple. - Philippe
de.Cou Inès; aIRtre que c’étoit-k plus fière aiaitée que 1’ n- puiflé voir. La riche/le des habil-
lemens, '11 fomptut fîté des équipages & la multitude des chariots étonnoient ; «m iis, dit-il *
i^i’piSi ' .‘iJW ^ y^ 'îm o iiiS -d y lt •J^plrSnp’ÿ%BùîTcr m ^ i l ‘ 3# itiWv py»|lfc|^l^t
». no'bleSè Bourguigaon ave it éré élevée à l’ombre du repos; 1 préfomption & le courage
» tenoient lieu d’expé:rience & de la fcience militairf ». La réponlè du Comte de C l arollois r
H S y v ‘lyi.'l q®bv^Æ^"SiIjÏLe'-.luoe d-1 eb
Mon i pie. L’E\êque reprod oit au-Comte d’avoir pris les armes contre Louis l'd tjnteîJiJti
«“jIOi ^ u^' iuJ'Mu .æ t .udi 4 Et?ro1'i.ff3tlitiJOji d&L uiiriülarg'ljad .'i. o dît-ou r mB'-'qÉiî
» qui fait e m p l o y e de trom .V '
i» (bonne compagnie en-chemin: au-refie, ,j,e nai pri s les armes contre lui qu’à la follicitation
»^d^^ a i p i y ^ d a P ^ y ^ d ^ id ^ l a e f 'C Ç > il' . u K u t U ^ ï p r e *
paratifs & ces menaces II Hères, fe terminèrent en 14.6 J à la bataille de Mondhéry, dont
chacun s’attribu l’avaiit ge ;.il y- eut beaucoup de fang répandu ; le champ de bataille rel iuk
Bourguignons; mais la-victoire ne fut à perfonne, & cette journée ne décida rien £2].
^ y S p tv^ t in iS iflJ ’ fïhnip<^iu®(iHrytap$l!^i*-™Jf 4ÿ^T,,'o^t<lUri/-l’ - qull vôul j e
forcer. Mais l’intriguant Loui XI conjî ra 1 orage, en. divifant les Princes ligués. Il força le
Co urs é toit fur venue
Roi avoit'envoyé ipo'urNfen'Ieyêf-iê'Chancelier de Bretagne, 1
'retiré^aqprès' ^p^Qomte' de Cnaroliois.’ LotiissfcCe-y ^ ig n ^
,& t'émoigna fo up^ n n e^fe||© u g^'^ ^ Müloiif s’allier avec
fes ennemis. lccP©,üf'rnoi;,^iépôiidit noblement Philippe '
ai- jë-nai' jamiis' domn’c de fou-pçon, & je n’enkeonçois'-’ pas
oeu&^f&amës'rl <
m ffi$0$jai$àîs, aux hommes. ^Pja^m^^e^olxit^d^QHa!^.
irM^s^arfc^pq^^)Wndfe le^^q f^CT és^il^rr^cong^
,;de^fon\ipè~ré|qûii,-lS^ (li^ ^M S ^ ^ en e^ i^ srd 1^ i^ g^ o !i@
m vous fortez 1 mort glorielife à
pif ù'h^f^^ awnreufe^ 'SPymis^- êre^m d âw è r j è ' marcherai
55 à la' îtêfe''de'-||n(?'"mille horiimcs pour vous délivrer ».
[a] «Du côté’du Roi, dit Gommes, un Officier Géné-
^ ^ f - s ’enfüit' ÎLu-fîgnân fans.1 ^êpliîtré-i >^-’dt|wrè*i
ia dii Comte \ ‘homm’e’ délicat s’enfuit à laride'abattue
55 jufqu’au Quefnoi. Ces deux tô;avàiënt'‘$iïr0 é jN fe : fito fdiiiè
[3] Plus Louis XI étoit îdîffiniulé, plus i l afFeéfoit de
'•f|||ÿeiïfe. I l-V în t rl^ V é^ l^ ^ om te
fon mamp poui 'corffciei /avec *luV. ’Paus le vit paitir , &
fut1'fans>inquiétude. Les Bourguignons^dîfoient en liant;
s yoiÉ ï 4©i au pouvoir d’e''>n'oÏEêf Prince. Le C ointe pour
répondre a ces procédés, re'e^ifdiui'St^refque feul le Roi
jufqucs fous lesi nuits de Paris. ¥©;ù«fh rarmWpB’o^güi-
!^M ^ r è feb la :,poutd)ü;'i,'§ c 'd ^ é^% ^ le irevoir.
» 'allarmes'de^ltàufrK, St Jug^^te l^repiîMrori^ a is Heùx’*
baut dfi Neufchâtefv'Xfqntèo!^ le Général
v^pq^^S^p^cë':^ u ^ |^ i^lsy^ft^^^^S^ruden^,fpps^e^
hazardef les“ troupëàf^^ ^^pàfè^^MfqblWqéi ? Bè^Çonmè'
réwnf aigb 011^1^s
reproches du Maréchal, qui lui dit ; « bon & loyal Chè=
m ' valier, vous êtes le maître de vous per dre ; mais ' rien '
y troupes SOTT'iaÉBtrame'fvS^^
fw''fànta’i|^ i¥ ^ ^ h d f? vo'us ferez mon1 Sbüyera|^'je^ n’éfcçfc-'
&^fe8y S ^ ^ 15éira^M%'( '’Phîl. de CàmimÊgm
Le R oi prélfé atëotdt^adpt^^ort^l'ér,ésKcé'qu’ils v ou lu t
-frentv <e P v?« même Cofalmmf
St le Talrèr^^m
. mal^puMîffÆ
pris*
^s^u't'breh^pu ®^®a_rr^fM t y^Eliis^arax^en^iprchei's ^
etoiérif'' üéè ‘ femmesf^jpy’''^;pëcberéÆes& xrft*'
si 'Eés^rïfdnhiéhs' éfoiènt
achéflâ