apj " ï ’ rie"; comme u Louvre fous C 1 Les'V. Lés fc :es f -oté s par le P :e ,
trouvèrerit îles m a is prêtes à les .cultiver, & la Bc n'rgogne vit
Nous avons cru devoir donner dans cet Abrégé plus d’étendue au règne de Philippe-leguignons,/
-’qui ont »ajours;'-e# «enéraÈÎon la riicmoire de ce bon Prince. Lé révolte ! *Jj
■ !. » •> SL
l’a mort] rc 1 mirée dlfebelte de Bourbon Ci bru, remplirent •él’ai.nemnne les dernières années
de Philippe. U mon t à Bruges dune efquinancie en i \ 6 j , à lag e de 7 1 ns, avec les
fèntimens'd’im Héros <llwétien.'Bôn corps expofé deux, jours, fur vifit par un monde-infini.
1 y eut plus dé larmes que de paroles, dit Paradai , car il fa t !o ■ que chacun eût imevti fort
( Ifu'tr i|\-ltlp g î j (),fl::1|
alloue ç[u<ibn,LH:o^
d«fel'e* fi^î *1') ^utfiffivin tfil 1 Lfitn-rap
*] ê w i^ n iw d ^ i 11 r^rfcûxjR^lJMbfgTOi^^Tla^lj^^Ëd’- ^ H t T O ^ ^ W u^
< l i \ l r 'U .s 1y*t[irTOuFt*
ltü taire s dt s - ite ^ r S u - , "digTjm dJ *^® ,K ra l'.lirlp j 1” ll'iil'n* t'a îs lL
qkuautfpr*«lJ3ori,p.r^ &tdl,1foniiii.iilr M i1“ 1^
ir latMif-k.nt ib L 3p ' i jm aM y ; ,d 1 I cA u u ry k f l ÿ
f l B l B B i l d*]^ fe^ iïrfdéi^ (&*$$$}
. T Ce Prince, auquel l’Auteur dès-Zijpu's Hifionquës./ùr Par. , nap as re îdù ait /*d.^jutdd3 |
emporta en moût de fe sr pi uj’fHslô^iiJ'dii uçtt î c j^ tn ^ i^ lj^ b
l a rd ^ à è i î t 4 'd i^ lè s s i ia r L ù s f t t lo n £ à n f iS ^ ^ o i^ Æ l^ i r f e r> d u r j» ^ ‘ n r o n ^ ^ ^ ^ ' ' î ^ l'^ ^ a ? a ^ p C s '
[1] Ï 4 fuffit d’en cîterd^uel^ûes^uns. Raoul Lcfeyre, Cha- ■
pelain de Philippe, Auteur des Hijioirçs Troyennes
d’autres ouvrages.1 Olivier de la Marc fie, -né au. •£M#àù
de- J©‘uxv mil?; *prigiqairé
rBal'lli,* fut-Hi&orien ^-Poëte , &c. Ses Mémoires font utiles
pour r,hiftoire des deux derniers IDucs.-L’Auteur des Cent
Nouvelles-Nouvelles, dont on a pailé plus haut, a ^uaM^'
un .riehe 'font^^avantures plaifantes contées' avec naïveté.
Pierre Michaüh Secrétaire du Comte 'de- Charolîois',.
Poëtê :& '<dfïte>i^jéï|' Auteur du- Doctrinal de Cour & dé
la 4D'anfë 'des Aveugles ; on peut voir fur ce dernier ouvrage
ce quen dit M; de Laborde -, dans ?Mn“ ’ÉJfai -fur-:lct>
Mujique ancienne & modernePierre Bonféal , Confeiller
du Parlement de Beaune,, excellent Jurifèô%fudÉé. Jean-
Germain, natif d'è1 (Çluni, Evêque de Ne vers & Ambafla-
deurrde?'||MLpi|e"'âu''/Concile de Balle, Auteur d'exhor-
' tadons au ''Comte, de pour fe/porter-â’ imiter
fon père, &-de pluheurscautres ouvrages. Qûentm Ménard,
né -à-Flavignÿ-', Précepteur d e ' Bhilipp'e-le-Bbà, -mOrt
Archevêque de Befançon. Nicolas de Toulon, fils d’un Muflier.
, _ de "^p^n~fufejA irpux^ infar^Ævêque .d’Autun. Louis
. de, la Pallu de, V{arefhbon, Cardinal'. Louis Aleman, né en
Bugey, Archevêque d’Arle s , ,Cardinal & 'Piéfidint'<du
Concile; de Balle. Nicolas d’^pleine, Chanoine de Prémery
èfl Nivernois, mort- en odeur de* fainteté. NicolcCs iRôlin, ‘
Chancelier de Bourgogne, lî connu^par fon prédit, Tes
richefTes, fes fondations, &c. & q,ue Philippe-le-Bqïf
ap'pe'lldit font père. °&hÛij)fe- Pof du Duc , & que
fon éloquence fit appeller la bouche de (Cicéron, mot heu-
reufement confervé dans fon épitaphe à Cîteaux,
. . Æneas fade, Tullius eloquio.
Guillaume Bourrelier, Procureur du)Duc, auquel l’Unï-
ver’fîté de Dole, diiafc %fc-‘ëtMblffement.,!/dÀn Régnier, Bailli
d’Auxene, Poète, Auteur dë 'plufiêurs "poéfîes : il fit;
fon teflament -en ‘vers, 'eu ’il déclare la manière' dont if
veut être enterré. I
Encore vouldroye bien avoir
; ’ ' Bës ménefriers trois ,ciu quatre"-! 1 '' :
;(^uï de éoïnèr fiffent; ■’âë^SÎÊ, : -, '
:• ©ëyànt le^or-ps,,. pçiur gens esbatre &e. >;
[ajj Quelqu’un fhi-è0nfeilleit“de''lgfu!lKer la ville de Monter
îeau, où l’on avoit affalfiné fon père : ce nejlpas îépondtt-
î l, le f ville quù efl coupable.'Il pardonna trois' ou quatre
fois "aux habilans des villes.’ de ICahd1,u 8c' d'c.'Bfuges qu&
lur* a voient manqué de ^parole & d’obéilfance, &c: jlf
icontehtoit de répondre" au» ‘d'énaandes indiifG^erés de fora
^.’00 ' millèbli'yr es-de' rente, -fommej
:pi-ôâigieufe .p'aü'r le téms, cefl trsÿ^ Ràlin,
^ , M 0 %i 4 v i 7} k . A i it> c , ' $ 4
montra digné, en s’occupant uniq.u:emeht de leur bonheur. « I l mit fes pays, c£i Saint JiflietQ,
.tomHËtËgrib y |W ce ■ jn^ifbt} bonr-
>). geoife en fes Villes, où on.ne. bât & .mangeât en vaiflèlle .d’argent». La NoblefTe Boürgui-
-gnone le . ple.wra Ymçèretnent -,
Ç)elle ?iili|ip«! >. Ont/
1.iiâcriiA.*>]iHn ‘ j . i i r x ^Ttniifinfîh i t ‘m' "i^-1- 1 'W ^ c ’c *»^ < à n P S ^ 8 :'4$
ïntUç écus fl’oxtnon* .
- 11 jK s :ii'JJt@SBS9'deïjW6ables.
.tyntm i îjjlh . r-ânllij fi^jn . i y jp.UCs,t ni. ^eutsprojs, ôls,dKàb6lJ4 dé
P. n ;?11 troifième . aime [ x ] , Ante \e Si' Jqffe., morts en b âg , & C harles j^M M Î
lùccéda.
C M - T N A 'E't
, - ù t S 0 l , f 1 1 j r f y t y ' d i ï f y — ù iv to
/jw & v ii”] i-', ik fMij ïrb*eJiq35Ç*!&.'l ’fvi/ en 1 b in®1 f, 1L>, tu tù iL ‘ l 1
pt e le même jour le-titre de Comte de Ckarol i s. I l eut pour Gouverneurs les Se gneurs
d’Anxy & de Fromel, qui.ne püt it jamais lui fairt appr ndre le L i nma i s feule lurAl
l’Hiffoir A !.. jll'IlA diIiUtilüîI ' M W m l ] 1 h U- Jt *11 iV Üip k ilt' êi1 k f s
vil I 11 école moît
sSW 1 5wf\pSWn 1 , ' iW f f l îH ‘ jv .^ u îK î y l ni li! SiiT i m t i , X I
jl ^l\^u^l-ïV/b^Kj*y<‘j t,Mn: d . l o n o i i^ - u x ^ ' î i ' tix fon'te™^liKi®aE*
n l’arc & plus fort j que nul de ceux qui étoient nourris avec lui ; jouoit aux barres à la façon
n de Picardie, & elcouoit les autres par terre & loin de lui ; il fut nommé moult bon i
Son génie inquiet & retnnant, qui fut la-caulè des chagrins de'Pbilippe-le-Bon. fut auffi
la fource ides malheurs de là vie. .Son ambition, à laquelle il ïàcriiîa tout, lui mit fins cellè
[1] On a déjà remarqué -qu’il avoit époufé en premières
Midhél|l|ei'itde.v'Fjan6e.. Æl^q.-^U'^oi^Gharles
?fâçbhdfls^h§gés oflne {, d’A ï t P 4 S { c ’
^^'fon.^(ùûèiqe inaçiage >àvec Ifabelle de.?PortîueSd^|âu-iI;;
prit la devife , autre -nlquraï, 8c qu’il inftitua l’Ordre de la
Toifon d’Or. Ifabelle eut Ia plp^ grande part à la. paix
»d’Abras f ë |d if â ^ ia , comme fon 'naar^pa^i&Mbbnfé
& fes vertus : elle fut inhumée près de lui aux Chartreux
de Dijod. Ælle fe rendoit à la Chartreufe les Jeudis des
wQ,natreT-Tem]S rdans qu’ofl^iffbht^rr
jourd’hui. Elle .p^tijiCoit^îl^^çiême des pains auMi^^oâ«
s^foife,-des pâtés de.>p‘ôiffQn^||^|fe^diftfijbuoit -hux*.Reli^
, gip.uYff|é?.pmmé elle a »vouli^/l^jiMiièi jouir à^petpétüitel
de ceb^vtîntàge ,-êlle a légifé;-d^;fo^s„pour..'qtfà,mïéÛ|
jour on donna à chaque Religieux un pain au lait & un
pâté qu^ S .'nornine .pâté de là DucheJfe j ce qui s’exécute
fort régulià^^^raBÉ^^ft > cette tpâêjq'eJ^Bfinf^(&,' ' A
ijth^|y^^perIesi^^J3hafu|>lptquJon)fait voir'djuîx bdlfeux»'
;>^BnSq|^fêutî}auffi|M® -poncubin^à '^i^lran e -à -|q.
fp,u|ÿ;'quatbrze
i^ n s.^m i^oe ^ d an^ fe^ ^ ^ i'rB à s ,: JD'avid'Sc EMlÈ^pé-tom
»ideux fucceffivemenf- Eÿep^^^Mpch|,ffifi:èflt- des P ré l^ h
feéié§f.& fevans ; Ertfnke?^Ël^m'/^ahd-,|^.bge,- du derniâîj
\Mji£àiner’t&céJB'audotiin -3 deux .autres-' fils' naturels- dii.-^Ûe^ç
|fùre;h^^^ôkj&(|par ledr ïpèp^àfïfpcbkiiS^âes ■ Chré^^si
d’Orient avec deux mille hommes de troupes , en' aquitte=
ïflenti*4uVoeu' q^ py^lrop^; ivôît .fiife !de-'d| ictoifer-ÿ &
. qù’il,.né^p_uÉAé^el|t6î‘|'
■fâbï©- eh i?Elandr és.'fï'Scm ^petit-fils1 Æt^^v^e^BdÏÏr^qgn e'^
Seigneur de Salîis en Hainault,' devint un Proteftant déclaré.
Calvin lui adrefTa plufieurs lettres ; mais on prétend
.qu éte ' jdd^'^d^jç’èy
itménsàà^fqù’il rentrai, jdà'ns.ele-fetn 'dêillÉglïfè ( Vpy&£.
\l£$ouïnal).de' LréyQufs's uipât*liq-44j l-pagi