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r S i ? 681 0rÌgì“f ìre d“ Sénéga1’ dans la troisième 6ec«°“ de ce genre, caaue
VHordeum Cr°l1 'dentique avec celte esPèce> offre bien le port de
m’ ! ses caractères s’accordent avec ceux que M. Kunth
a decnts dans son espèce. Seulement l’arête est profondément tripartite et non
simplement tnfide, et non articulée avec le sommet de la paillette. Nous pensons,
en consequence, que cette espèce doit être placée dans la première sec-
ARISTIDA CURVATA. Nees ab Esenb., in Hochst. pl. Schimp. Abyss.,
sect. m , n° 4796.
a r is t id a v u l g a b is . Trin. e t R u p .
Var. : Abyssinica.
A. culmo erecto, gracili, a basi ramoso spithameo aut pedali ;
folus hnearibus convolutis ; ligula piloso-setosa, brevi; vaginis
lævibus, panicula contracta, elongata ramis erectis ; lepicenæ
valvulis lanceolato-linearibus carinatis et subscabris , apice sensim
acutis, exteriore breviore; palea angusta lepicenam duplo superante
dorso cannata spinuloso -scabra ; ariste tripartite ramis triquetro-
subulatis denticulato-scabris.
Crescit in montibus prope Tchélatchéranne et in provincia Chiré
mense Octobre ( Schimper).
Observation. - Plus petite que l’Aristida Adoemis, de couleur violacée, comme
elle, cette espece eu diffère par ses feuilles plus étroites, par les valves de sa
lépicène aiguës au sommet, et non terminées par une soie courte.
ARISTIDA MAURITIANA. Hochst., inpi. Schimp. Abyss., sect. n , n° 10i7.
A. culmo a basi ramoso, geniculato, gracili, spithameo, glabro;
folus linearibus convolutis acutis, glabris, kevibus; ligula piloso-
sericea brevissima; panicula contradainterrupta, subsecunda, ramis
brevibus : lepicen« valvula exteriore lanceolata acuta, dorso carinata,
scaberulaque; interiore paulo longiore florem aequante apice
subobtusa; arista tripartita ; arista; ramis triquetris basi quasi alato-
marginatis scabris, intermedio paulo longiore.
Crescit ad pagum A ile t, in provincia M e d a t, mense Martio
(Schimper).
ARISTIDA DELICATULA. Hochst., in pi. Schimp. Abyss., sect. ili, n° 1830.
A. parvula cæspitosa : culmo 1-3-4 unciali gracili : foliis lineari-
lanceolatis, scabris ; ligula pilosa ; panicula ramosa ; ramis capilla-
ribus scabris, semiverticillatis; spiculis violaceis minimis longe
pedicellatis ; lepicenæ valvula exteriore flosculum «quante apice
seta terminata, dorso carinata et scabra ; interna longiore angustiore,
acuta; palea exteriore triquetro-subulata, scabra; arist« tripartii«
ramo medio lateralibus duplo longiore, omnibus triquetro subulatis
scabris.
Crescit in Iocis arenosis et graminosis prope Kouaieta, in provincia
Chiré (Quartin Dillon et Schimper).
Observation. — La ressemblance la plus grande lie entre elles l’Aristida de-
licatula et VAristida capillacea de Lamarek, espèce originaire de l’Amérique
méridionale. C’est absolument le même port. Cependant la première de ces espèces
est encore plus petite dans toutes ses parties. Ses épillets sont constamment
de couleur violacée ; les valves de sa lépicène sont proportionnellement
plus larges ; l’une et l’autre se terminent par une soie dans VAristida capillacea;
les trois branches de l’arête sont très-inégales dans l’Aristida delicatula, et à
peu près égales dans l’espèce américaine.
II. Arista trifida cura palea articulata. ( arthratherum.)
ARISTIDA MACRATHERA. Nob.
A. annua ; culmo cæspitoso, gracili, lævi glabro pedali ; foliis
linearibus angustis acutissimis glabris, margine retrorsum læviter
scaberulis ; ligula pilosa vaginis glabris, lævibus ; panicula terminali
subcontracta, ramosa, ramis appressis elongatis; spiculis subulatis,
angustis longissimis; lepicenæ valvula exteriore lineari-lanceolata
apice sensim angustata et acutissima dorso carinata et scaberula,
interna paulo longiore apice sensim in seta longiuscula gracili
desinente; palea exteriore basi pilis cincta longissima, apice tri-
quetra, spiraliter torta scabra ; aristæ longissime trifidæ ramo
intermedio paulo longiore, omnibus subulatis scabris.
Crescit in locis ^genosis provinciæ montos« Chiré, mense Octobre
(Quartin Dillon).
Observation. ~ L ’Aristida macralhera Nob. a une certaine ressemblance avec
l’Aristida stipæformis de Lamarck. Mais cependant elle en est bien différente,