PLANCHE VINGT-SEPTIEME.
UN LABOUREUR.
C ette planche repréfente une efpece de brouette dont fe fervent les laboureurs
en.Chiné, pour des articles pciàns qui font ainfi attachés deffus ; et
qui eft d’une conftruâion infiniment plus légère que celles dont on fait
ulage cii Angleterfe.
Ils ont auffi une autre brouette qui eft particulière au pays.' "Elle eft
très-grande, et exige le travail de deux hommes pour la conduire, l ’un
étant placé en avant pour tirer, et aider d’autant celui qui. la pbuflè par
derrière. Lorfque le vent fouffle vivement du côté oppofé à célûi où va
le laboureur, alors il place une natte quarrée entre deux piquets droits qm
fontattachés des deux côtés de la brouette. Cette voile déterre rend inutile le
travail de l’homme qui tire par devant, et même celui de derrière n’a guetes
alors d’autre peine que de tenir la machine fixe et de la bien diriger vent
arrière.
On voit dans cette planche la maniéré de porter le grand chapeau quand
la têtéen çft fatiguée.