PLANCHE TROISIEME.
• T p f r Ç F E S E , l l S,JL D E j , B A S - .
' Pj“'%jy3as des .ÇJûnojs f ^ t d’étoffé, - c&füê et^iwBIée..<Iè(!:cotOH)j sfyec un fit
d^ür^en^auf.jjjCes bas,-quoique d’une fouine pçy> élégante, font'4tiès chauds.
; A LjCJiipc, Phabilltment de toutes les elafles de la* foçiété annonce une
1u* !l quelque d’àtŸrâyàhL * Les femmes poïtérif'îftîy ÿj^fcljL
érrSîujnSit ïiïiécs autour du cou,1 avec Ses manches qui'llur dbli^cfifr'les
m&S^ftij'^SMig|.aàlèçôns,vquifietefdifce^fea(f-ju'fquîaüx'èi^fIles üêi
pieds. Chelles à qui leur fortune le permet, ont des^bopUesjd’oreille-, d’ofy1
e't dq^|.r^s^hr|cdéte ;de même métal., .
.Les cheveux desgjh^ isjTgcit généralement noirs. Les ftmi îcs.lcypfci-,
gnçnt afôec gri^-min, les treffènt et les nouent avecgri.ce âtMltflSs''^pl^lïh :
éllës les’aftachent quelqueroil%vè'c une du’tfëîÈF épnîgîSs rdîo¥§' fetLlê^orifet
commiinément de fleurs, ou naturel les jUu artifieiellés; plaldlS'liiraht le goût
de celks'qut lesqibrféht. vL’uïagê- obligedes jeunes fi-lle-, et tou tesiFe si fernnÆs îj
non-ma’rié'cs à laiflcr.tomber leurs cheveux lur lc^frong^cqùp'és poufàtet
e ^ t , .et,kréduure leurs fournils à,læj|u;geur dfün fimple trait de pinceau, '1
P n>I à que femmes .d’un rang inférieur, qui confcrvent icin s piecls', i
tels qu’elles les ont le«, us de la natuie. Les ^ r ^ ô u 'le s nom?ît^®s^ran^J
ïitlts de'diflmciron ne manquent jamais de i%)htfuf(3®Wt^î/e‘cls*îôi^S^
doigts de cetfc partie drfPf&jK,'' a l'exception du'gY®^|?erp^WÎ^iïîtS«^ç
les empêche bientôt de' retoùyrcr jatruisj^uf jormfc ef Iqur'p’olitidhfintiii'
relk. ilc& liabitaits.du papoue deunent pôintl^Uiu’^lpour.acttüvéérmue
difiprnntq,! et il nVfl^pas aisé d’en dé^uvr^qîtSKpifiiff^jufiifior'het^utagcr. 1
Si par ee niojcn les finnois s’imaginent r e n d ie k s^ ti^ e^ ilu çu tiS I^ ^ ^
lë.jùéhagej'ils manquent'*cii'ig^Sufe' putie h btft qu’il*
puifique- eetfe- opération les prise de raéhsit&ncdéflrrré "jfôffi
toutes l&'ëfbnâiWs?domefti'qu£s. Si ‘oeïïê''p'ârtique Vk^^tle f i delîâ'Sü^-i
et du défii de s’afliirc-i de la fidelité de loin s compagnes ;. n.’efi^il^pa^^oh'“-;
nant qu’une pareille coutume ne le tiouvc.jii.chez les TuicsSmicEfe'lés i
autjes-peuples Afiatiques, ^qui ne font pas moins jaloux
Il parait probable que^-foit habitudeT foit préjugé, l!^e®9ëis"âtîS"chent
desfdéés ‘étranges à cette qprtfe du'colps huinain/'ét qû’*a^ür^-fêux’
elle s qudéjüé^chbfifdé bas et' méprifabl?. Les EuiopétMè1 abufêftf*J3é:oeffi
difformité, qui n’eft fondée que,fur la nfode, pour'tournêr ’eiWidrculë"’ lès
femmes Chinoifes j et ils ne réflécbifïënt pas que, toutbifarre^que partit '
être cette méthbdfe^ e lk s ’accorde parfaitement avec les principes rigides de
modeftîe et de décence que les Chinois' fuivent avec le plus grand fcrupule.