PLANCHE CINQUANTE-DEUXIEME-.
| UNE PAYSANNE.
O n doit confidérer que ce n’efl pas un léger foulagement des tournent
^ leur pauvreté que les payfans font'doués d’un ufage jslüjrparfaiftde
leurs niembresque la généralité de leurs fupérieurs, affûbïïs par l'es vÔkptés
et l ’indolence. C’eft là plus particuliereîngnt jl®fetpw#re
Cbinôife, dont la condition baffe fe f i t f a n u * « * p^C^réffe^dfc.fo'n
piéd. marque d’un état greffier que la « le . même f u n marchand ferait
affligée.de montrer. Pendant les mois^été,-la jeune-payfanne né.-porte
ni bas. ni fouliers, ni habilktaent qudcanqwC ,à^’exception-d’une feïpîe
vêtement avec de longues manches’; etellékgagnentde pdftÆURrqui lft.;
fait vivre, par des travaux pénibles et de^mplois-défagréàbles/ ;€eHe qui
eft repréfentée dans cette eftampe, porte fumier dans-&s -féaux de'bois;
pour le jardinier ou pour le laboureur.
On voit conftammènt fur les rivières de la Chine ces pàuvresÆnffiies
maniant l’àvimn ; il y a une quantité innombrable de bateaux .quelles
feules font aller à la rame. On dit qu’il y a dans-quelqiies'provihces de la
Chine des femmes mariées <pii font affez robuftes g aflêz
tirer avec des hamois, une charrue bu une charette, au milieu de la bour
tandis que l’époux Afiatique fe contenté delà guider. -