PLANCHE TRENTE-CINQUIEME.
F A IS E U R D E T O U R S D ’E Q U IL IB R E .
L es Afiatiques font tous d’une adrefle remarquable dans les.tQÜrs’de main^'
mais aucun peuple ne paraît avoir, porté l’art de balancer au'Sè^âf de perfection
comme les Chinois.
• L’homme repréfènté dans cette planche, donne à une jarre de «parcelàihe
l ’apparence d ’une faculté ^ motrice. Par une action imperceptible' des1
mufcles, il la fait gliiîèr fans aucune autre force impulfîve le,log^rdetfes,'
bras, pendant qu’ils font étendus dans une pofition horizontaleY*.alors, fa
balançant fur un pied, il tient la jai*e en équilibre iur* 1® jointicires de fb*
doigts, où elle demeure fixée fans mouvement.