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P LA N C H E TR EN T E -Q U A TR IEM E .
U N M ARCILAND D E '-F L 'l^ ^ f e J
- J L e s flûtes dontÿ>^fe‘;fert en Chine, o n t ‘environ deuxr,-pieds/et' demi îeic.
■longcur, ct«ont douze trous. Elles font faites d’une clpece ’der-loi’friljqa^cf^
■J’on en tire un fan* doux et agréable. Les Chinois. JJipiennèntîèn général
itôtfs leurs-aîrs par routine, mars on Hit quÈfdepuis quelq ucs année âun'petit
nombre de leurs muficicns*ont appris la méthode Jîuropcenne de notei leîft
■mufiqiie, I l . y'. a;ime grande monotonie, et un 'grand, ‘défaut’ d’expreflioti
clins le Ion tics inflrumcns des Chinois, fi l ’on enYexrepte le fracasjque
fait a la fois le bruit réuni des tambours ’-et dësriynabales ,qu’éH«82jibàt par
Intervalles, dans leurs‘concerts. ^TUne troupe de muficiens 'jouenUtodiours
a la répréfentation de leurs comédîës et autres.divertiflèméns, 'Au-.lpedtâclê,
.■ils font toujours places .en face dans le fond du théâtre,’: difpofition qiii èft
bien éloignée d’ajouter à l’effet ou à l ’intérêt de la pièce-.
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