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-ÏTElÉ F A ^ E ' . .
■ IÆditeur de cetOuvrage, en fafisfaifmîtTon gaûtfjfm-JeS reckerches,
avait à combatt^Oatre les^ffi®^'dêfifettièntiohhésvla faibleff^Wûrie
conftitution affaiblie dafis le Cajfaaf&f etlpour'-le retabliffemi nt de laquelle
^es-sMdtcms' ’de Ivïadras lui^kierit’preferit Fait du' midi-de la» ©•fiin^' qui
;malheurèuKMerit"lüt'ïkns êflèt pour lui. '
: - L*Editeür,tJpendànt uirféjduride plufieurs rn&ist>reçut de l’hofpiuhtc' de
î^ r 4 d i¥ g S lè è fe s compatriotes f qui refilaient alcas'd^ny^f'i^gf&rie Bu-
tanniïffie ,*non feulement de&h$gés et des marques d’attention défintéreffées
.^MÆr’oiMitYa jairkis’/'mais encore blautoup»d^nK^ation|®!^Ma^:e.
•11 fut admis; foiistfes aufpinstde-.ees meffieuis, à plufienFsffê^'xfôn^s'
par ks nt'gorians de h Hongrie, dans kurt“proj^eS..majdofi^'^rnvift.tn
■de ie s ‘.ivantagis, ‘de quelques préfens, d'une-aaivité.jàfap-itaa ^ | ^ ^Æ-
quens effoits de patience, il obtint une eonnaiffanei allez et^Uue dt_sftHËl^
rüujpays.
I L<s finnois, pris collcclncmcnt, parailfont et$e, ingénieux; dans leurs
arts paifibles ; polis et affables d.ins leuis manières.; <nffî^aux.erbium, de
fe gliffa au travers ds 11 multitude qui l'entourait,. et comraenç i à monter 1I hauteur en quef-
tion. ’ ’ 11 fut arrêté près dufominet par deux niturels du pays forts.'et vigoureux; deux des
perfonnes de la compagnie, effayant de le fuivre, ftrent interceptées imméd itement, et un
détachement de foldats rartares lui tant avec vivac tés d’une des portes, conduifit le premier
délinquant en dedans des portes de la ville. Les perfonnes de la partie,Apn' reftàiënt,
employèrent auffitôt toute la rhétorique des lignes, cai on ne pouvait fo faire enten Ire ] ir
paroles ni d’un; côté ni dé l’autre, afin d’obtenir l’élargiffemènt du jjjfâ â ÿ S k p ou-dêllè fui -
vre, ce qui fut inutile II leur était également impratiquable de fe faiivei- de force,' et ils
furent obligés de fe retirer précipitamment au milieu des huées, et des cris,’ : de 1 1..multitude.
Il s’écoula quelques heures avant que le prifonnier fut':relâché;ftt il ne fiït alors qu’à
la follicitation des marchands de la Hongue* auprès dût pouvoir -exécutif; il fut' mieux
traité qu’on ne s’y attendait, car à l’exception de plufieurs tentatives répétées dé lui voler
fa montre, et après avoir été coniidéré avec'Une curiôïité ignorante, - il rentra à laiFaétorerie
fans autre moleftation.
Cette aventuré eil rapporté ici comme une preuve convaincante des difficultés, pour ne pas
dii:e des dangers, auxquels font exposés les étrangers! cutiëdX lén Chine. |
J l f Particulièrement, deMeff. William Fitzhugh, Jaques Drummond, et Thomas Fitzhugh.
* Compagnie de négocions Chinois' qui régie tout l’immenfe commercé de Cànton. -
dans; Iqurafemflitiition^' ciiVjîcs: ; jfufîe&et politiques? dans leurs lois
ptmk ; eeWasbi1|hcfonî ik'ncîijauti(Scliûfc'què;dû bonheur-de;connaître
I B w p B w É H tJée, pixfifêtrc umd^püpilC’fè'S pfiiss heured^del’univers.
ü ; - . i " d e s W ^ Ï ' S ^ ' d f Æ s - amis en Europe?, L'Editeur
f p î ïjcm Ctpnoisulàn^.leurs h a l^ ét'd an s leurs
! qLeup.ijjprff; 1i \ oui nerss arqbulans,; dont,'pik trouvera
ks tonus' t x i J i f o i u l f L^ s l (tïuantes*.» CtsiidLflttns n’àvaiept point*
ctej défîmes»^ iff-C^fruicmen?,, a» Cftêf îtndugt public». I t s inftânces de-
ttatJqyu f de tu mine I§?Tprbpnctairef a! les' tlrëk1 déf fon;
tyèbpü^dli-; dix- arts } et- il préfqrpe qu^l ^é’OTera à la fois;
a in om ^ p y -ld o ï^ ^ ro ^ p ï^ u ri anîûfcmtnt g é n ia l tÇeki repré (i ntation exicte
dès lubituJcs domefliquts et muchftuqucs d ’up mfiion oyginil et éloigné,
’Ô ô u ' v e r ' l ? d b p u i ’iÿpEîs? tfe: 5dct aos^,‘ nfëffencore q,ué peu
uouAlidt%Mïu)péerist
^ Konânuvcim* al ce but, il'était ab/olumertthiéufîàirc de jomdic quelques
lignes àfe »haVjiieyul in tlîoqcm fi^^HTcxpIicatidfl> toutes lesr foisi <Jue la
IJhcmoiie dl‘ Lliditcui1 aÿcté inlûfTS'fnH'g il y' ï? fîqfp’ïu? {fit un: choix fait
aV t forn-Ldè--, rel itions’dc.'prefquc 1^3^ (,kpu'S Nîéûfioff ets
Na\aiélh'-jififqîi% StifQnfon-et- Vin Braam. ÆinfBk'sïgimr de kttics trou-
\m m ff ce# cluvï'age'- diverfe-s circdtiffauees4 relatées par auteurs,
fôrtifu * notisfillc’s pç®vi'“?-. :
Il cil pcuPctR îicGoflnri>que 1Tdite ur tvciRljuc toutes prètintions à voie-
|BB| êlreucg irdc commql’lullqiun de*li nition fehiuoLfi. Il % dcj'ït tXposé
IdfriTotifdi flïWcnfiGpiifcî; cé» noue qu.fùiî«5> a n n le pu tic dît l ’imprimé
cônfifte ërr’cltàfloîîs’ qunl.ri’<v'jTifrpî^cuiu tfla'i:i d’indiqua’, pirce q u ’elles*
auraient dafiguit le texte, et’qÆ le? ùm o rt' iprucnt fuicfi ug^ ks mal^ïëi
Ecs"ptrfolinis inftfuijEesiet les hommes de génie paidoimer« n t fans doute
avec la candeur qui leur, eflrèrdïnaire, les-- ineiiadtitudes dànS ces diverfes
* A . D. 1295. Les premières, relations de la Chine, furent, apportées en Europe, par
Marco Paulo, Vénitien, qui avait pénétré en Chine par la Tartarie. J