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I fZ/mbria, oU terre à* Ombre..
La-craie.
L’Agaric minéral, ou Lac Lutta, appellée Steihor
marga ^ï.^AgricdU^
La terre noîrë; fÜH ™
La bonne terre de Jardin*
La terre forte*
La marné..
lu& loam, ou marne mêlée avecuft peu defable.
M. Woochrard, pour fe conformer à ceux qui1 ont
écrit fur les foffiles-ajoute aiîx terrer y
Le, gravier, qui eft un amas de cailloux de-toutes;
| fortes de façons, & de toutes fortes* dè-.éôù-
leurs, mêlés, avec quelques pyritès& dulàble
commun.
Le fable commun, ou a r è n e 8c qui eft de quatre
* * fort«?, i ;
!• Celui qui eft compofe de tres-petits cailloux ^
dontiesmns-font tranfpareiïs, 8c les autres n e
le iont pas. •
2. Celui qui eft eompofé dé la Douflîérë des pierres,
qui en demèure ieparée;
q. Celui qui eft une efpéce de /par,- en formé de
fable blanc* :
4. Celui qui provient de lapouftiére, ou des f e g -
mens de coquillages rompus.
L E S P 1E R UE S.
Les Pierres font auffi.de deux ejpêcer. La prei
y , d e s f o s s i l e s . *3
mîere eft formée de toutes icelles qui font en
grandes maifes* 8c difpofées'par c o u c h e ^ c e qui
ne doit point s entendre dune maniéré-ii generale
ou il n y ait point deidêptioris). La feqondetâfr
pce^omprerïd les pierres qui fe trouvent en plus
petite maife..
Dans la première ‘effeçe^Qm, Auteur range
d’abord g fl| PW8SBB B
& qui ont> h grain plws,gràs' & fins, rude au, toucher jg
telle’Sque font ?
Les pierrés;dè moulin.^
Les grandes pierres àaiguifer.
Lés petites p itre s ^uiguifer.. ,4
Le grès^
Lé caillou.'- ‘ *
La pierre 'de taille;. •l<
La pierre çf ardoiiè, ainfï appellée en Angleterre:
parce quon s’eir fert comme des ardoiies pour
couvrir les malions.
La-chaux.
L’émérlc;
De la première efpéce font encore,:/« pierres qui
ont leurs parties un peu plusJerrees>r$çusF.-’'gp'ain un-
peu plus fin &*plus:doux y, & qui prennent mieux. U
poli: telles font r
L’ardoifei-' ♦
La pièrre de touche;'
Les pierres-à repafler les rafoirs».
Les: petites pierres à repafter.