
i 4 a LETTRE SUR UN ELEPHANT ,
„ qu’on y eut cr-eufëàla profondeur d’environ?trois
„.piedsi
. ' J d e ü arrangement omcet état dey difïerens lits
„Tous lefquels-s’eft trouvé l’Eléphant y à-l'a profon-
„ deur- dê?vingt-qUatre> pieds, fnit voir é.videm?-
„ nTent qu’on? n’a voit jam&is-nretifé là une fàflè
,, pour cet abîmai, puifquen la colline avoir été ‘
„ croulee dans cet- endroit 8c remplie, dernout-
„ yeauv, - après -que le'Cadavre y aurx>it\été jet?
„ t é f oA y auroit fûrement trouvédes lits-’ dé-r
„-rangés^*" Outre .»'celât,von- conçoit ibeaucoup
„ moins- Comment le tufhs’y feroif'for£iïé»d’e -nou-
„ v e à ij &'aqtoit pûfe'lier<& fd duircirfofàft.- Il „y
„auroiteu>auffi daose#*Gâs dq l ’interruption^ dans :
,, lds veines, & entre les'/acines dèifaïteocollô J„
,, <& cette pierre fabioneufo rf aurait p‘as«pû .y^ cpoî-,
,,-tre en teilê; quantité q f elle formâLuoedoueh©,
j, de -deint-pieds d’épaitfeur au-milieu du-gravier-
-, qui cbmpofoit le- foË*ëriel 'lit-fopériê'ur-,- &rem-~
,, plir au-deffoust’eïpace de cfeuic pieds, 8cg.~
,, M.'Terit^èlius ayant ainfi-faityoir q^exlllloon-
„ jeètures étoienk-’hazar-dées, tient qUe;ëe&rélé~
„ phant e§ l ’un- d f ceûx qui périrent avêt^fe&aû—
„ très animaux dans* le Déluge", 8c qSë flottant for t
„les eaüx, ilferencontrifdanslàcolonnequicou-
H vroitr cet endroit de - la ’terre, lorfque ISsi eaux-
„ commênçoiènt à- bailler, 8c qu-ayant- gagné j;e ■
„ fond efiës le couvrirent desfables qui formèrent
ÿ jjm difïerens lits:, 8c furlefquels une terre'nôita-
tre. s’amaidà, après que. la furfacefut defTéchéè.-
P E T R I F I E ’. r 4 r
r TÂuteur.prétend qu’on ne peut? explique!* cqt-te
vdld@ïâ-v'^te 9.ue par -eëfctfegç^Ëâftrophe univerîel-
f# ïk 8c ^remarque qu'ëidivers* lits de fables %u
d’arénes prouvent que la colline de Tonnen a
étêifesmée- par le Déluge 3 St quèda profondeur-
dë k te rre ^ t^ l^'trouvê’iau-deifes^,-'coriflirfîe;
„«ufliscette v éritç. -Ojeflc equihexplique, & qu’il
établit'dans les derniéres-pâgès delfoLdifre*.'
„ .jVdûs- avouerez , M Q^N S LE U R , (“queti
;,foppofant l^quelette & 1a Colline -dans l’état où
n rHiftotiographe^axon nouS les a repréfehrét,-
,ÿfth'$jetfx déjà Nature, 8c les îfiminia de quelques
„ .Pflilaciéns?'«® peuvent - guéresrlîgurer. i©k avec 1
, .^feonneu^^Leu M. Ipliri, Doéhçur 8c Profeff^ur
,VeruThé@io,g^^ la L ettr^de M. Tent- -
,^^'ius ' n’avoinpaS- éèhappqv me Ltf’honneupde .
* „ TntenparleLà 1;ëccâfon -des Lettres. Phmjiffiique&i
,pde*M. Bfiitrguef-qu’il vit/én Manufcfit ; '6c il ne'
. dqu?oif'Çbinlique^qi fquelette d’éléphant ne fûtP
,r üiteîæeAique' du Déluge,. .
- ^..^dus^àvéz„ M (îiN SIR U R , fclansdfe*Vdif£»*
- (.„nage de Valangin j.ùriëi^fpécW de foute rrâïn d’n ù -’
„ f ’onuke.un fable fin, & qui fort aux mêmes -ufo--
„ gês que celui de Tonnen : n’y découvrira-t-on
. J3,point aufli quçlque.animalpétriflé’? Iby a'encore
’jyà^une.çèrlainè^Hillâhcemelfâiquelques-^ipifes'.de'-
»roU mt(tes tapiffées de coquillages, 8c l^Spier-
jjfeS.fdont le Ohâ^a^i de 1 Talangin eft bâtit, en
,,-étaient parfemées. Les réflexions judicieufesque
^ÿ&*v.GÙ& ai, oui faire, fur eés-- pétrifications,, md