
$Z DISCOURS SUR Ï/O RIGM E , &c;*
eaiJiojix: ; pour ’fervir à-la falob.mé'îde Pfeau dés Tri—-
viéres 8c des lacs / enfourniflant uhpayé naturel à-
leur-lit ; 8c pour former èjSwftlêine Jems' en une in-*
firiité d’endroits des digues'ftatur elles contrel’im*
petuofité des- vagües'dela mer. Ces cailloux &.c@
fable mêlés dans les terrés, lesrrendentpropres à
la nourriture’.dês végétaux, errempêchant^ces ter^
-res 'd'efo trop afîàiflèr, 8c del devenir parconfé-
quent trop compactes'ï'jbé qui efi; un.autie trait
bien remarquable de la Providence dans leur < d istribution.
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T out lé {àble& les cailloux, quf dans les'vâëS’d l
la Providence r rênÔdï#nt par lèur-fitüation primitive,
notre Globé pTopre'à’étreldilïbut.une fois pat
Peau, fêrvent à préfentdansleur portion cdWilé-
rable, qui depuis a été liée emmalfè/ à préfervér le
meme'Globe d’une'nouvelle inondation^'<& contribueront
beaucoup un four àfon embrafementr-11
Enfin ,,les'd ivérsulàges à quoi lés hoitîmès,'eïn-i
ploient le fable 8c les Pierres, qui forement nient
pas été oubliés par la Providence!'/'font fi nom*
Dreux & fi différons *, qu’ils nousoccuperoient trop
fi nous voulions* nous~y: arrêter* Le peu-que bous
venons de dire des'denèins généraux de la Providence;
par rapport à l’origine des Pierres, montre
allez combien D i Eu*k daigné s’intérefler ens faveur
du1 Genre humain, datas la formation' 8c far-*
rangement de cette forte de productions du régné
miherakm
L E T T R E
S U R I /O R I G I N E
DES PETRIFICATIONS
lq ü i r e s s em b l en t Ï ux co r p s m a r in s . ,
A Â4anjïëur^jAL LAB£RT'^^^^^ûr.en:Pmle^Mhie
/ experimental &_en Aîathématjque.^Genève.
| ^ X q ’M s i E u R * v
V o u s m’avez fnvité^pius d’une fois,,-flaire'
patt a.q.x ^tuieu-x,dqs^^fo^vations que j’ai faites de-s t
puis„ quelques ann^s; fui: ie|.,pétriffoatSop,s;qui fe>
tro^enturt/fii'grand nombre dans fa Pryioipaùtéj
^dUjSîeuQh^el 8c Valangin, 8c dans toutes epsmon,*-,,
tagneS &ees ^vallées qye feu$ le plaifir de .pafoou--;
rlr-a!ÿec yous 8C aÿ^ec Meïïiéurs Bernoulli, en, nous-
iendmt a Bâle par l’Evêché.- Jéyous avouerai*',--,
M O NS IE U R , qple^comme ie,knJavoistpas,, y û.
alors la • Géographie PhifîqUfiA&M..
^gardo^comnièm^^b^s: pfofieursvobferVatfons
que fai trouvées dans cet OuVragk; 8c qu§;dès,lorsperdis
de vue le deflein décrire for- , cette matière.
J’ai e^tefollicité enfuite^dejfournir une pie/;
ee pour Te Traite que notre 'Journal Helvétique^