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Plantes, où la végétation eil fi peu J ^ iâ h k , w -
elles onç divers c^raéléres communs avec léspro-
duélions minérales - cette gradation quîjL
conte à découvrir, mais qui, une fpjs; découverte 3
ouvre nn va|ie çhamp à. nos rèflqxipns 3 & hoùsj
conduit, comme par iatqain^.des créatures les plus
chétives aux plus excellentes,
- On a l’obligadon du çpmmencement de cette
échelle qui regarde ifi? minéraux àdeux ^ç'ayans,
qui y travaillèrent enmêmetems a l ’infiçuTun de
l’autre : M. Bourguet communiqua en 17 13 , la
fienne écrite en Latiq à M. J- J., Spheuchzer, qui.
lui envoya une; çppie-de celle qu avoir drejtTé M.
Wodward * M.Waliifiiieri a depuis pquffé Cette
échelle julquadhomme.
On a vu pat les pièces précédentes , que dans
le rogne minéral U; y a une infinité, çle corps qui
appartiennent aux deux .autres, & il éft.certainement
bien remarquable que del dépouilles cfe-
plantes", de zoopnytqs! d’animaux enlevelies &
confondue?, dans une même couche dèjqeher,
ayent çonlèrvé des marques fi mapifefte's "de leur
origine, Çeft pour mettre les Curieux en état de
décerner fûrement les foiîîles qui font proprement
& originaiiemem du régné minéral, .d’ayec ceux
qui viennent d’ailleurs, quon en donne, ici fine
diftributiQn méthodique 1
On trouvera d'abord celle qiû rçgafcje lès fof-
fiies proprement dits. Elle, eft prife des deux.mé-
thades .dont on a .parlé ci dedus^ qui dans, ,1e fonds
D E S F O S S I L E S , 7
reviennent W mêmef O h a ;cru devoir placer ici
quelques oblervations préliminaires, qui ont paru
avec les deux- ipévhories qu^qn pourra;y ^M lepai
rément. '• L On ¥orb<lénrjy^he dih’a bord qu^o gveunoeor ail çOment mus
les corps du régné; minéral n ont pomt f "*■
$c que.leur origine vient des fituplès loîx generales
de fô ;QCWmuf^a£iü$,# . 1, ; f
I L Quiî éif arrivé un ch^mrnmt extraordinaire
dans le: régné*minéral » d | » e | q u e cq fhangemçhti^%||
a caulé de^or%^^. 4 ^
fiirprenante de'fofîiles. ; • ; u* ; /
pieryes & des rpetaux
portent des marques évidentes âé çé changement.
Car on,trauve [les mqt;aux avec
laires, ou diverfément dàneïes & meles avec d autres,
corps; dqqs différentes couche? de la terre.
I V./ ,ÎLes crjjiaUi^,t)ons des pierres & des mé-
nyn y J, formées par le moyen deslels;& des c iy ^
taux qui y font, mêl^s«lesquelles approchent de la
figure 4eS ,Çomu^ & dcsipôralloides |o n t de tout*
tems donné-iiept <.•—
croire: quele? produélions min érale s yegetent : Sc
M. de Tournefortz expliqpq ;CP paradoxe par^une
erreur pire q u ^celle.df ceux qpi .1 pnî p r^c®4e T -
car- il prétend qnpies pierrps, dtl(e,S métaux ont leur
jemencty Sc qu ilscroiflent -comme les plantes Sc
ies animatqq ., ;; y .-.L .•■■ijvr r j - -
V. 1+zÿQuJfiêrey.e. diffère.de la,terre •qqe Par | |