
i 4* IËTTRE SUR UN ELEPHANT
que'l’Auteur l’appelle ; car quoique lses molécules
de la matière du ftratum éuffènt déguifé quelques-
uns deç corps dont il s’agit, en s’infinuant dans lès
înterftices ae leur fùbftancë ôfganiféé, & enl qn-
Velopant , il falloit fe. ctfyerlès yèùx volontaire-
metitpour ne point voîr'qué,'le^r ^gure extern à
Si interne, Si. toutes |eYât||res' marques de ftr-uéturè
organique, ne pouvôieAt'vdéligner.qué aes'parties
de fquelettes de divers animaux.. Ajouter a celâ >
qu’une legèfjjcomparailondès corps-déguiTésavec
ceux qui n’§ÿoiérrt ‘lutu aucun changement fenl-
b y z étoip très^Mcïlè à faire, & ne pouvoit manquer
de forcer à conclure <gueles uns Sc Tés autres
étaient de mênîè nature f c ’eft-à-dire, _<|ue f ê taient
de^oflemeàs, desjmaghpires & deS dents y
j qui avoient furèmént appartdnua des», animaux de
differentes elpéces.
Je ferois aufll ridicule que. ces Rhificïënsyqui-
attrîbuoient la formation «ûftàrit d’o^înèns à quelque
vertu plaftique r ou â' quelqàjaut-fé .prmfcipe
auffi chimérique , fi je m’ainultn^prouver qué dès-,
mâchoires avec des dents ^encore inférées dans
leurs alvéoles:, ne fçauroient s’être’formées dans
des eouches-de terre, ni dans des bancs de rocher..
Il elt plus ceurrenabie' dé'remarquer que lesofîe-
mpqs. de Canfiad s’étant trouvés envelopés dans
an f t d’une matière qui les avoifi rèfiaus cajfi&ns
p ourla plupart* il leur eâ arrivé commeja, fëlér-
i.pfânt^de Tommt S t même encore pis, ^parce que
les. Ouvriers, de Canïtad n’ayant pas u£é d’autant
ÇE’ T R I F I E ’. 147
de MI Ï V i . « * les
M l àfi Wirtembprg, .1 y » b™ de Apparence
quUsenbriférent un grand iwmbre ! W M
,Ant oar-la la difficulté de les, reconnottre ^*
^ p e r f ? n î ^ | j a P ^ |y ^UÊS df'fauffes idées fur
i B l B i expepté les dpno, B |
I— &quei-
pues' offemens qui ont étégaranfï? comme par ha-
zard les couchés de l’Europe ne font pas, a beau-,
coup près W Ê favorables à la popfe ry^or id^
défesjès& des autres os des elepha^ ^queles H
oum W mÊSbÈ fa H W S aisrlesl l®$hpS ü
l ’Europe ,' p f e de$.%mens eQjifc
W H M I M H I 4’éléphans trouves en Italie,,
ils' épient en tel état qu’on n’aurort pu les em-,
I ployet a en former quelque ouvrage , & la petri-
laftru&ure des dents machelieres
cifoÿes^rLVjl^^'nullementprQF e- ■ ç
Il ne refte donc que les Dflèmens.& lesdelen-
fes d’éléphant quon découvre en 'quantité en Sibérie
'mupuiflènt fervir à faire d iv e r s fortes d ou-
v r a g S u e les'Ruffes vendeptàfa Çhine. Et lans
W H I WÈÈÈMSSm I I ;^ e î eW énormes
quori trouve en divers endroits.de la Sibérie lont
certainëmcqt w B B È S B Ê È Ê Ê È à ü P P
ceux qui ont U défenfes 4^ pMeurs Pieds de
long 1, ^ Æ de fhypopotame ou dç la vache
^nariné, ou du rhinoçerot , cpmme quelques hcriyaiasd’ppt
% f^ om é ; je me q o n tf^w d e tH jÿ f