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i?ii Pdiiiiis n’Ai'TdJiM:.
F e iillle s »Ii|>ulnîrns frfiqUOIllCS.
Haillons à fru il pcIils, coiiiiiuos, lin poii aiiguleiix, nn peu aigus ; éraillos
tl’nn marron foncé.
F irurs pptilcs; pétales arrondis, bien concaves; divisions du calice Irès-
roiirles, étalées; pédicelles courts, forls, prcstpie lisses.
Feuilles <ie.s iiroiliiciions friiliiércs lin poil pIus grandes (iiic Celles des
linnsscs d’é lé et dc dimensions bien difl'érenles entre elles, planes e ï se terminant
bnisiiucment cn une pointe conrlc, bordées de dents Ircs-rmes, très-peu
profondes et bien aiguës, soutenues bien liorizontalement sur des pétioles
courts, bien grêles et bien roides.
F.oruciérc s.-iiiinui de l’ariire : roidctir des branches et des rameaux;
tous les pétioles bien roides aussi; presque toutes les feuilles des productions
fruitières exactement planes.
Fru il petit OH presque moyen, piriforme-allongé, alleignant son v eiu sa |)lus
grande épaisseur bien près de sa base; au-dessus dc ce ptiinl, s'arrondissanl
d’abord brusquement, p n is s ’alténuaiU par une courbe, concave en une pointe
longue, très-peu épai.sse ot bien aiguë; au-dessous du mémo point, s ’arrondissant
brusquement jusque dans la cavité de l'oeil.
F ra u épaisse et ferme, d ’abord d ’un vert parsemé dc poinls liriins arrondis,
assez larges ct apparents, mais dont on n ’aperçoit qu ’une très-petite étendue,
car il est souvent presque culièrcmcnl recouvert d ’une rouille épaisse, rude au
toucher, écailleuse à la liasc du fruit. A la maturité, fin' irociobn- ot ooni-
■iionociiiont do .laïomi.ro, Ic vert fondamental passe au jaune foncé, la
rouille s ’éclaircil, ct sur le côté du soleil elle est plus coridcuséc, c l souvenl
aussi les poinls sont biirlués eu creux,
OE li moyen, ouvert, à divisions longues, bien larges à leur base, bien effilées
ensuite et aiguës, souvent chiffonnées, placé dans mie petite cavité qui le
conlionl à peine.
Qiiono courle, peu forte, souvent un pou charnue, continuaiil ordinairement
un peu obliquement la poinle aiguë du fruit.
fUiiiir jaunâtre, bien fine, serrée, fondante, cependant nn peu grcmicvers
le coeiii', abondante en eau bien sucrée, vineuse, baiitcmcnl parfumée à la manière
du lieiirré d’Apremont.
POIIUÎS n ’A n 'O M M î,
DOYENNÉ Dlî MÉRODE
t s - ,SI||
Congrès pomologiijuo cJo Franco.
DOUl i tÆ Pl l l l . l l ' l ' I î
Ja rd in (ruiUor da Muséum. Ui'c.viPXK.
Album do pomologie. B iv o r t . Tomo I.
DOP PE LTK P l I [L I P l \> P n iNK
{DOUBLl* PIIII.H'PK)
H liislriiios Ilandbur-h dor Obstkun lo. Ton'iO II, page .4'¡5.
^)0Y1^N^M‘: P . dUSSOCK
Pomologio do. la. Soino-Infcrio.ure. P r k v o s t . Pügo 105.
Tho F n iils and Iho. fru il-Ir e e s o f America. hnw.M.xc, IBG-'i. i’ago ![‘>ü.
Tito f r u i l Manual. lln i iK R T iloru;, 1807. Pago 281.
Obtenu p a r VAN MONS, e t dédié à M. lo comte
DE MÉRODE-VBSTERLOO.
Ar iir c d ’mio faible végélalion sur cognassier, réclainanl la greffe sur franc
loulcs les fois qii’on vonl on ob len ird e s formes d’une ccrlainc étendue; du
resLe, sa ferliiilé sur cc sujet est presque aussi précoce e l aussi grande que sur
cognassier. 11 s ’élève facilement cji pyramide à large base, et sa liaule tige
n ’atteint q u ’une dimension moyenne.
V a r ié té à multiplier dans le jardin fruitier et dans le verger. Elle esl rus*
tique ct fertile; son fruit, de belle apparence, ressemble à un Doyenné blanc
presque doublé de volume, el s ’il ne l ’égale pas pour ia finesse de sa chair, il
peut lui être comparé pour l’excelience de son eau
D E S C R I P T I O N
R am e a u x do moyomio force, peu coudés à leurs enirc-ncpiuis rougeâtres
au soleil, et d ’un vert n oiselle à l ’ombre ; lenlicelles arrondies, blaiichàlre.'^.
Uoiiton»« il tm is moyous, à direclion écartée du rameau ; écailles presffue
entièrement recouvertes de gris l)ianehà(ro.
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