
 
        
         
		efpéce,  c’eft  pourquoi  nous  allons  rapporter  ici  celles  des  citations  
 pag.  î 5 ÿ  &  x <5o  ,   qui  appartiennent  à la  Phalène  Comma. 
 Les  principaux  Auteurs  qui  l’ont  décrite  ou  figurée,  font: 
 Linné,  Syfl.  Nat.  ed.  X I I ,   torn.  I ,  part.  I l ,   pag.  8S o ,   n°.  iS S .  
 Faun.  Suec.  ed.  nov.  n°.  i  i g i .  Comma. 
 Cat.  Syfl.  des  Pap.  des  env.  de  Vienne, pag.  7 6 ,   Noä.  Fam.  K ,   n°. g .  
 Kleem.  pag.  197-204 ,  Tab.  X X I V ,  fig.  1-6. 
 Naturforfcher ou  le Natur. 9 e.  cahier, pag.  1 1 7  ,  nJ.  42.  Remarques  de  
 M.  de Rottemburg  fur  Hufnagel.  Voyez  la  citation  de Hufnagel  à  l’efpéce  
 précédente. 
 Fuesfly,  Cat.  Inf.  de  la  Suiffe,  pag.  38  ,  n°.  733.  Dans  les  Grifons.  
 Goe^e,  Sup.Ent, part.  I l l  ,   tom.  I I I  ,   pag.  15 4 ,  n°.  i 5 6 , pag. 9 9   &  
 100 ,  n°  107. 
 Fab. Mant.  Inf.  tom.  I I ,  pag.  183  ,  ra°.  303. 
 Kleem.  &  Mad. Alman.  de  Chen, pag.91  ,  n°.  261 . 
 Gladbach -,  prix  cour.  d’Infl.  Ph.  Acetofæ. 
 Be  Fillers ,  Ent.  Lin.  tom.  I I ,  pag.  a3.8,  229  ,   n°.  2 1 8.  Le Comma.  
 In  Breffîa. 
 P l a n c h e   CCXCVI1 1 ,  N umé r o   5 0 5 . 
 C H E N I L L E   D U   P I S S E N L I T   CO-  
 L A   B L Ê M E . 
 É T A T   P A R F A I T . 
 ET T E   Phalène  eft  commune  aux  environs  de  Paris  ,  mais  nous  n’en  
 avons  jamais  trouvé  la  Chenille.  Si  tous  les  individus  repréfentés  fous  ce  
 n°.  y o j   ,  ne  font  pas  de  la  même  efpéce  ,  ce  donc  on  peut  douter,  au  
 moins  eft-il  certain que  parmi  eux  fe  trouvent  la  Pallens  de  Linné  ,  cette  
 efpéce  fouvent  confondue  avec  nos  deux  précédentes,  quoiqu’elle  ait  cependant  
 des  caractères  diftinCtifs  très-marqués.  Ses  ailes  fupérieures,  d une  
 feule  couleur,  n’ont  point  de  veines  brunes,  comme  celles  des  deux  autres;  
 elles  font  pâles  &  portent,  fuivant  Linné ,  un  ou  deux  petits  points noirs.  
 Suivant M.  de Rottemburg ,  dans  le  p°.  Cahier du  Naturalifte ,  page  +2  ,  il  
 y  en  a  quatre,  mais  dont  deux  à  peine  vifibles,  ce  qui  les  réduit  a  deux  ,  
 comme  le  dit Linné, D ’après cela M. Hubner  eft fondé  à  foutenir que  le mâle  
 &  la femelle,  Fig.  yoy .  a ,  b,  ne  font  point  la  véritable P allens de  Linné,  
 car  ils ont  trois  points noirs  fur  chaque  aile  fupérieure ;  de  plus  ,  ces  ailes  
 font  un  peu  rougeâtres,  &  les  inférieures  brunâtres,  ce  qui  contredit  la  
 defcription  de  Linné:  au  lieu  que  le  mâle  &  la  femelle,  Fig.  yoy.   d,  e,  
 dont les  quatre  ailes  font  plus  pâles  fit  qui  n’ont  qu un  point  noir  fur  les  
 fupérieures,  s’accordent  mieux  avec  ce  que  dit  cet Auteur.  Les  ailes  inférieures  
 de  la  femelle,  Fig.  yoy.   e ,  font  entièrement  blanches;  c’eii  une