rieures de la queue sont larges et d’un vert-grisâtre
, frangées de gris.
Une tache jaunâtre oblongue colore l’oeil en
dessous. La gorge, le devant du cou, la poitrine
et le ventre sont d’un roux brunâtre uniforme,
plus clair et tirant au blanchâtre sur le bas-ventre.
Les couvertures inférieures de la queue sont longues
, rousses, ainsi que les plumes tibiales.
La queue, qui est ample, arrondie , a ses
deux rectrices moyennes vert-doré terminées de
blanchâtre; toutes les autres sont d’un marron
clair dans leur plus grande étendue, puis un noir
métallisé naît sur leur bord externe, occupe,
sous forme débandé oblique, leur portion terminale
, excepté la pointe qui est blanche. Le dessous
de la queue ne diffère point du dessus.
La femelle du colibri à brins blancs a été figurée
par Audebert, pl. XVIII, du tome premier
de ses Oiseaux dorés.