a . u i s lo liityry, ati->U'S>ii-s du gi-mipo oxforclien, à l;i paiiic
iiiH ricuro i!u grou|.o cornllicn , ct nun ci.nns TiÎtagc oulilliiqnc
i i n p r r i p i n - ; 3" l;i (li^lrriiiinalion des cspôccs de poissons qui
¡ t i s q u ' i i l o r s fivnicnl l'Ui Ifoiivcs , à ma connaissance, dans le
^ i s n n c n t quo je signaliiis.
E n ISiiO, d;Misiinn secoiulc n o l i c c ( l ) , j'ai donné lalra-
(Idulion de la dcscriplion, fiiilc par M. de Moyer, de denx replilus
incdils provenant ó-alemciit do Cirin ; nnc nonvollo
lisio, boancotip plus nombreuse cjue c e l l e d e l 84S , dos po'ssons
fossiles de celle localité, cl Tcmmicralion des anlrcs débiis
o r g a n i q u e s rccneillis avec ces poissons; 3° rcvcnanl cnsuilo
s u r la question écologique, j'ai combaltu , dans ce nu'nioirc ,
u n e opinion qui venait d'êli'c émise pour qu'on plaçai les l-ouc
b e s de Solcnbofcn dans le groupe oxfordien, ct non dans le
g r o u p e corallien. Le témoignage des géologues qui ont étudié
le plus spécialemcnl la succession • d e s assises dans le Jur a de
FAlbc , m a servi à prouver la superposition des schistes lilhog
r a p b i f j n e s anx couches à nér inécs , à diccrates el à polypiers
(lu coral - rag, ct par suite l'impossibilité , si Ton admel tai t à la
fois im étage corallien ct un étage oxfordien , de faire descend
r e dans le dernier les couches à poissons de rAl l emagne mér
i d i o n a l e . Or , comme ces coucbcs ne sonl que la prolongation
h o r i z o n t a l e de celles de Ci r in, ces dernières ne sauraient non
j i l n s npparlenir à Télage oxfordien de M. A, d'Orbigny.
.'i® Enl i n j'annonçais la multiplicité des gisements à icblhyolit
h c s dan-i le Lugèy, -en rnppclanl le fait do la préscnco des
r e s t e s de poissons (hns les schistes hi lumincus d'Orbagnous ct
d u lac d'Armaillé , schistes que je n'hésitais pas à placer dans
la pani c inférieure de l'assise des calcajres lithographiques,
p a r conséquent toujours dans le groupe du coral-rag.
D e p u i s ISaO, i'ni poursuivi l'étude de ces gisements el de
l e u r s fossiles , cl Je puis dire f[uc je n'ai fait que m e confirmer
d a n s les opinions que je viens d'exposer. Le synchronisme des
s c h i s t e s lithographiques de la Bavière avec les calcaires de
C i r i n ct les schistes d'Orbagnons esl désormais incontestable.
La place de celte formation dans la partie supérieure de l'ét
a g e moyen du terrain jurassique , le groupe corallien , n'est
pas nioins hors de doute (-2).
. 11 i , Jcs .-í/múlc-i dos jcíoHcí.( 1 ) Voy,.7. le s ph^s. i , publu-cs par
In Sociilù J'agriculliire lic Ljon.
(2) M. G.-H. Dronn , ilnns b noiivelte «Jilion qn';! piiMic m cc momcnl de son
livre classique , le Lcllntn googioslica , atlinul bien l'iilenlilo cic rorm.Mioii cIpscoucIics
(le Cirin ct de celles de Solenliufen ; mais (|Uinl à la li-;alioo du niveau séologi,](ic de
l'assise, le savant palionlologisie aime mieux s'en tenir h la valeur oxfordienne des A.
polyplocns et flei i iosus qu'on y trouve, que d'admettre, pour le momcnl, les
d(3nnées stiMtigrapliiquos qui ont dùtorminé MM. Quensteill ct Fraas, les géologues de la
riunion do Uatisboiine , en t8-i9, et beaucoup d'nutrt-s.à placer les scliistea do Soiciilioren
dans le groupe corallien. Veul-ùtrc aurail-i! olo plus conforme aui balnludes
(l'e:iactitmle de M. Rronn, de prévenir ses lucleurs que, sur ce point, c'vtail son opinion
qu'il leur donnait, et non l'avis dos trois giiologues dont il place les noms en télc de
la formule de la série jurassique de la Souabe qu'on trouve dans so
Mais allons droit au fond de la question ; el biefl ! je persiste à p
d'ammonites qu'on trouve daosJes couclies corallienocs, KimmOridsienn.
diennes , n'olTrent pas du tout , pour la détermination de ces groupes nt
lion (T.avec'lo groupe oxfordien, un moyen dont la sûreté égale celle que
clicz les ammonites do l'élage du lias, par escmple, quand nous \oul
l>aléontolD-iquemcnt les trois subdivisions de CCI otage, il semble qu'en
dépôts oxfordims et le commEucement de l'étage néocoinien, l'évoluti
d'aiiimouitcs ail subi un temps d'orrèt. Le fait de la rsrelé <1cî indiv
x^iscs intermédiaires, appuie l'idée qtte co type organique .'prouvait i
¡r que les furnies
;l portlan-
In lin des
: dans les
t pass.-is
•réi
Lit pubiicati'
nui est relativi
de la Palàoulcloaiù . d'Orbigny ,
s des étages n-' J3
e ia parti 5 frau; de M.
; IG de I
venue nie confirmer dans celle opinion Les formes de ces ainmoniles ne me ropriiseiitent
en eflct que des variétés d'espcc:es oxfordicnnes ; elles ne s'éloignent pas des types
d'où elles procèdent dans une mesure qui dépasse ccllo des modiiicationa que ces
types présentent au sein des couches oxfordienncs elles-mêmes. Le savant |inléoniologiste
français est le premier à s'y tromper. Ainsi, il reconnaît que ses A, La II ieria n us
Cl longispinus, qu'il donne pour corBfiorisiijwM de l'élago kirameridgien , jmrcc
qii'elb-s s'y irouvent en France, remplacent dans la synonymie les A. in 11 a t us (Rsix.) e
b i s p i n o s u s (ZiET.). bien
1 oifordiennc
Allemagne comme en Bngey. M. lironn peul-il s'étoni
beaucoup qui- k
lA.polypIoc
el llexuosus remontent des couclies oïfordienues d
groupe corallie:
quand on voit des espèces qui ont p.iru en même lem|
proupe du kioimeridge-clay? Les T, incoiisiniii et la<
ment un trop v.istc domaine verli(al pour qu'ily ail rier
lu coral-rag. lin résumé, les objections paléontologiqi
nasa de Solenliofen ont ¿galcc
siirprensnl à les Iruuver dans
M a i n t e n a n t je doi s rect i l icr l'une des d o n n é e s stratigraphiques
d e ma notice de 18-18, quant à Tordr e dans lequel sesuccèdonl
les assises coralltennos du Bugey. Mais cette rcoliiication
n e fera que rendre phts evidente la position des gisements à
poissons fossiles au-<lessns de la limite supérieure du groiip<;
o x f o r d i e n . En efl'et, cc nV'sl pas immédiatement sur les marnes
e t les calcaires m a r n e u x schistoïdes qui reconvrenl les calcaires
h spongiai res , que* reposent h>s schistes bitumineux el les calc
a i r e s l i thographiques ; n.ais le véri tabl e r a n g d e celte dernière
a s s i s e c s l a u d c s s u s d e l a pisolithe eoralUenne cides couches sab
l e u s e s à faciès dolumiiiqiic par lesquelles je croyais, on 1S4S,
q u ' e l l e était recouverte. Les calcaires de Cirin forment donc
la base de la grande masse des calcaires à Icxture lithographique
, en bancs épais , auxquels ils passent insensiblement , ct
s u r lesquels on Irotive ensuite la zone à polypiers, à dicératcs
el à nérinécs du üugey.
E u résumé, le g roupe corallien dans cc pays se partage en
t r o i s divisions pi'inci[.alcs, dont l'inférieure commeuoe direct
e m e n t au-dessus de l'assise des marnes qui recouvrent les
c a l c a i r e s à spongiaires, cl se termine vers le haul par les calc
a i r e s à pisolillies et les bancs sableux à faciès dolomiliquo.
L a division moyenne coniprend les calcaires compartes à
t e x t u r e lilliographiquo et les schistes bilumincnx à poissons.
La division supérieure est celle des couches à polypiers, diccr
a t e s cl néiinécs, qui sont recouvertes par des calcaires comp
a c t e s h nér inécs , ct par des marnes que quelques géologues
c o n s i d è r e n t comme roprcsenlant déjà Télagc jurassique supér
i e u r . Ainsi , lorsque les trois divisions principales du groupe
c o r a l l i e n sonl bien développées dans ce pays, l'assise dos
s c h i s t e s bilumiiieux et des calcaires lithographiques sépare
les deux autres. i\lais il faul s 'at tendre à voir , d'une localité
l ' a u t r e et à peu de dislance, de grandes varialions dans les
é p a i s s e u r s et les autres caractères oryctologiqnes de ces trois
d i v i s i o n s . C'est preciscmenl parce que , sur le point où j'ai pris
l a coupe que j'ai donnée en 18-18 pour le groupe corallien ,
q u o i q u e ce point ne soit éloigné que de 2 on 3 ki lomètres seul
e m e n t de la carrière de Ci r in, les calcaires exploités en lits
m i n c e s dans la carrière sonl représentés par des bancs épais ,
q u e j'avais été condui t à assimiler les p r emi e r s aux slrntos minces
, fissiles et a c c idenl e l l ement compactes , qui v iennent , dans
l a même coupe, un peu au-dessus des marnes supcriein'cs du
g r o u p e oxfordien.
A Oyonnax ct à Nantua la grande assise à texture lilhogi-ap
h i q n e paraît manquer sous l'oolithe subcrayeuse qui contient
les polypiers, les dicératcs, les nérinécs, etc., en sorte que
c e l l e - c i vient reposer sur la série inférieure des couches à
p i s o l i t h e s cl ù faciès dolomitique cl sableux ; seulement parmi
CCS d e rni è r e s sonl entremclces des strates de calcaires souvent
c o m p a c t e s , h la vérité , mais dont la texture est plus grossière
q u e celle de la pierre lithographique ; les schistes bitumineux
o n t également disparu. A ces courtes observations se réduira
c e que j'ai à dii'c ici sur la partie géologique de mon élude.
3° Malcriàux acluellcmenl recueillis pour Vétude de la
paléontologie des gisements du Bugey.
A v a n t d'aborder la question paléontologique, j'exposeiai an
p r é a l a b l e quels sont les matériaux dont j'ai eu la disposition.
Mes explorations depuis IS.tO m'ont permis de porter le
nombî'C des espèces de poissons que je connai s dans les gisem
e n t s du l îugey, à plus de cinquante. Les reptiles et les cmsl
a c é s , quoique beaucoup moins nombreux , m'ont aussi montré
j j l u s i e u r s formes qui n'avaient pas encore été rcneonlrées dans
n o t r e .Tura. Pour ne point morceler excessivement mon travail,
je renvoie h une autre not ice la description de ces divers débris.
Heidelberg oppose h la position do Solenliofen <•! par conséquent de Oirin dans les
coucbes du groupe corallien , no peuvent pas inlirmer la valeur des données «tratigrapbiqiiM
qui nous onl conduit h admcUro celte conclusion.
J e ne ci terai , pour le moui eul , qu'un hiiinérus de ptérodactyle
d é t e r m i n é par iM. II. de i\Ieycr (1) , cl dont on peut prendre
i m c idée par la ligure que M. A. Wagner a donnée récemment
d ' u n os semblable , dans les Mémoires de l'académie de Mun
i c h (2) , sotts le nom de l'ierodacl/lus s'cundai-ius (.Moyer).
La présence d'un animal de cc genre parmi les fossiles de
C i r i n mérite irèti'e annoncée , nou-sculemciit [larce (pie c'est
le p remier pu'rodactyle, à cc qu'il parai t , qu'on atu'a découvert
en l'ranee, mais encore parce que M. de Meyer cl M. Paul
G c r v a i s m'avaient, chacun de leur cote, prédit que les espér
a n c e s que j'avais manifestées à ce sujet recevraient certainem
e n t leur accompl issemcnl ; tant ils avaient trouvé frappante
la conforuiité de la faime des calcaires lithographiques du
Diigey avec celle des couches de Solenliofen !
Aux matériaux de ma propre collection , je dois à la confiance
de M. Jules Iticr du pouvoir momentanément réunir ,
p o u r 1 é t u d e dont je m'occupe, ceux que ce savant , durant sa
r é s i d e n c e dans le département de l'Ain, avait lui-même rec
u e i l l i s . Les schistes d'Orbagnonx sonl principalement roprésonli^
s dans la colloclinn do M, Ilier par leurs végétaux nomb
r e u x et variés; mai.s ils avaioul aussi fourni au zèle intelligent
d e l'explorateur toute une série de. Thrissops, Loplolepis,
A s p i d o r h y u c h u s , Calurus, Pycnodus , ct autres poissons que
j ' a i cxaminiis avec d'autant plus d'intérêt qu'ils m'ont donné
l a pleine conviction de l'idenlile de la faune ichthyologique
des schistes bitumineux avec cell(2 des calcaires lithographiq
u e s . Celte identité, que je n'avais annoncée en 1850 que sur
des preuves moins décisives, no peut pas plus cire révoquée
e n doute, aujourd'hui, que celles de tout l'ensemble quien
r é s u l t e avec la faimc de Solenl iofen. A ce propos, je mentionn
e r a i en passant la présence à Orbagnoux dcsAplychus, si
c o m m u n s dans les calcaires de la Bavière, et dont, par une
s i n g u l i è r e exception, aucun exemplaire n'a encore été Irouve
il Cirin.
O u i r e les poissons d'Orbngnoux, M. hier m'a communique
u n magnifique fragment d'un grand Lepidotus inédit, qui
p r o v i e n t de la montagne de Parves cl du voisinage du fori de
P i e r r e - C h à l e l . C'est une nouvelle localité à ajouter à la liste
d e colle des afîleurements des couches à ichlhyol i lhes aux env
i r o n s de ISelloy. Le Lepidotus Ilieri constatera ce gisement
et rappellera le nom du géologue qui l' a signale' le p r emi e r . Je
r e g r e t t e de n'être pas en mesure, ;i cause de la lenteur de
l ' e x é c u t i o n des figin-es , sans le secours desquelles la publicité
q u e mér i tent ces fossiles sornil insuilîsante, de c omp r e n d r e dans
les descr ipl ions qui vont suivre, colle des espèces recuei l l ies j)ar
M. h ier ; mais je saisis, du moins, l'occasion de lui adresser
p u b l i q u e m e n t l'expression de ma gratitude , pour m'avoir permis
de compléter mon travail par les résultats de ses propres
r e c h e r c h e s dans un champ d'o!)scrvatioa où ses pas avaient
p r é c o d é les miens. Malheureusemenl pour la géologie du
B u g e y , je me vois appelé, depuis peu d'années, à recueillir
l e s legs scientifiques des trois h omme s qui s'en étaient occupés
(!) Voyci Ud.or dio /feji/.Vían uud Sacug^thie
iicfort, J852 .. 135.
Voye?. aussi A'. JnhrUch (iir Mweralnijie,
( i ) r . V l , pl, XIX, fig, 2, JStSQ.
I dur rcrschicdan
1, 1«. 852.
ndcrErda.
avec le plus de sui te, de dévoucuicnl cl de succès. L'éluigucment
de M. Hier, la morl de Sauvanau cl l'airaiblisscmctil de
la santé de M. Bernard (de . \ a n t u a ) , sont des pertes véritab
l e s pour cc pays , cl les plaintes de la science Irouvctil ici leur
é c h o dans celles de l'amitié.
Ordre des vuitih-es el de la ¡niblieulion.
I par ce qti
1 csl de fair
On a
p u b l i c a t
p o i s s o n s qui sonl parlicul
d u moins n'ont pas él
qui se sont occupé de
:dc que l'objet principal de cette
a i t r e les genres et les espèces do
aux gisements du lUigey, ou ipii
s u d i s a m m c n t décrits par les auteurs
u x des gisemenl s du Jura bavarois. Jo
c i j i i j p l e beaucoup sur les planches que je joins à mes descripl
i o n s , potu- que ces nouvelles formes ichthyologiques soicnl
a d m i s e s au nombre de celles dont les caractèi'es sonl clairom
e n l établis. La l i thographi e paraîtra sans doute satisfaisante.
E l l e a le mérite de n'avoir pas été exécutée sur des dessins ,
m a i s directemenl d'après les pièces originales. J'ai accepté la
t â c h e de faire comprendre au dessinateur l'importance des
d é t a i l s qu'il devail reproduire, et de ne conduire son crayon
q u ' e n passant par son inlelligencc. J'ai été heureux du reste de
r e n c o n t r e r un talent assez souple pour s'être plié de suite aux
e x i g e n c e s d'une pareille lâche. Me sera-t-il permis d'ajouter
que le genre de vérité que je recherche n'est pas celui d'imo
p h o t o g r a p h i e , mais sans jamais rien inventer, je veux que
l ' a r t i s t e représenle l'objcl Ici que le voit le paléontologiste,
l o r s q u ' i l en a scrute tous les détails la loupe ,'t la main, el exam
i n é comparal ivemenl les d i i ï c r cnt s échant i l lons qu'on possède.
J e reviens au texte de l'ouvrage. Le lecteur ne se ferait pas
u n e idée exacte de l'ichlliyologic des gisements du Bugey, si
je me bornais à faire passer sous ses yeux les formes inédites
qui s'y trouvent. Je commencerai donc par exposer quelques
d o n n é e s sur l'ensemble de cette faune , el je làchcrai de mont
r e r par quels points principaux elle se rapproche ou s'éloigne
des autres Humes fossiles cl de la faune acluelle,
Q u a n t ;i l 'ordre dans lequel je présenterai mes descriplions
d ' e s p è c e s nouvelles cL les p l anches qui les a c compagnent , il ne
peitt pas être bien méthodique, car il dépend avant tout dos
m a t é r i a u x que je possède pour l'élude de chacune de ces form
e s . La priorité est pour les cspèecs dont les exemplaires soul
les mieux conservés et qui oil'rent le plus d'intérêt paléontologi([
ue. Le relard auquel les aut res restent soumises, me permet
d ' c s j j é r e r que les explorations qui se poursuivent m'en apport
e r o n t de mei l leurs échantillons , avant la c lôtur e de ce travail.
Du reste, comme il ne s'agit ici que de combler une petite
p a r t i e des lacunes d'un très-vaste sujet, peu importe l'ordre
qui sera suivi dans la product ion des faits à intercaler , pourvu
q u e le point soit bien indiqué où chaque intercalation s'appliq
u e r a .
L a seconde l ivraison, qui se p r épa r e , renfermera probablem
e n t la (in de mes recherches sur les poissons fossiles dos
g i s e m e n t s du Bugey. Pour compléter la paléontologie de ces
g i s e m e n t s , il restera à faire connaître les données qui se rapp
o r t e n t aux plantes, aux animaux invertébrés , el surtout aux
r e p t i l e s dont les restes sonl mêlés à ceux des poissons.