:ulc esl (ígnicmonl h(
lì arriÌTC cl asso/, pi
l'sales soni visibles à
i i c o n p plus I
Hill aux d(iti>
1 siiiTiicc. Ce
: I;>i
; o p , n
r o n d i
t r a n s v
r c s l c , très-miililos; on ne voit pasd'intcr- t:
Les os de ta ceinlurc linmcrale ne sont pas
je ne puis rien dire des scapolairc et suri
d i s p a r u . Les pièces lumu'ralc cl clavicntai
c i c larges ot épaisses, niais lem- portion
p l u s , cl le reste est masqué par des debris d'ossclcls qui apparl
e n a i c i i t sans donle à la nageoire pectorale.
b o n i s ; tics stries
deux os sont , dit
i de snb-opcrctilc.
e n meilleur cl:U ;
s i ' î i p n l a i r e , qui ont
•e paraissent avoir
i n f c r i e n r e n'exisle
(¡m (
nlVi
Le squelett e |verli'brHl et les pièces apopiiysaircs
p e n d e n t , sont partagées en deux moitiés, siipéricii
r i e u r e , par rcspacc longiludiiial qu'a laisse vide Tabsorplion
d u cordon gelalinoiis qni formait l'axe dn syslòmc. La rogiou
i u l a r i e i i r e . ou ventrale éiail plus développi'e en liautciir que
c c l i e du dos. Lîi diiïcrence est cvidenle surtout à l'avant dn
I r o n c , la colonne vertébrale se relevant dans la direction de
T o r b i t e qui est placée, comme nous avons vu, vers le haul de
la tête. La corde dorsale était recouverte, soit par-dessus , soit
p a r - d e s s o u s , par les deux séries d'ecnssnns osseux qui servent
d e base aux apophyses et aux côtes , cl qui représentent les prem
i e r s rudiments du coups do cliaque verlebre. Les bords des
écussons sont découpés irrégulicremeiTî en forme de disques,
e t leur surface est marquée de grosses stries rayon nani es qui se
t e r m i n e n t en deulelures sur le pour tour de la pièce. Du cculre
d e IVcnsson qui m dedans était sans doute embouti en demic
y l i n d r e pour s'appliquer sur la'corde dorsale, s'élève ru
d e h o r s la lige de l'apophyse épiticusc. Chaque lige est d'uuc
s e u l e pièce, elle est traversée près de sa base par le canal de la
m o e i l e cpiiiière eu dessus, ou celui de l'artcrc principale en
dessous de l'axe. lîieu n'indique qu'elle fut Uibulcnsc : vue à
la loupe, la coupe Iransvcrsalc de ccs ossclcls nolTre pas de
c a v i t é intéi-ieurc (I). Mais i! se peut qu'elle ait élé furméc
d e plusieurs couches eoncentriqucs , cl il est tout à fait probab
l e que son extrémité libi-e n'élail pas parfailemcnl ossiiieo,
• il en juger d'après raplalisscmenl que la pression a fait
s u b i r à celte partie de l'osselet.
U n peu au-dessus de la base des apophyses épineuses, tl
s a n s doute des canaux névro et hémo-spinaux, les apophyses
a i - l i c n l a i r e s .se délaclient de la tige, cl s'avancent de pari cl
d ' a u t r e vers les liges qui précèdent ou qui suivent. L'apophyse
a r l i c u l a i r c postérieure d'une verlebre c>l recouvert e par l'apop
l i y s c articulaire anléricurc de la verlèbi'C suivante. Je [larle
ici des pièces névro-vertébrales , car lordi-e est symélriiiiicm
e n t inverse pour les élémenls hémo vertébraux. Des la.ucs
osseuses Irès-ininccs s'élèvent dns apopliyses articulaires antér
i e u r e s , le long du cùlé cor respondant de la lige de l'apophyse
é p i n e u s e . Ces lames occupent à leur base toute la dislancc
d ' u n élément vertébral à l 'autre , mai s elles d iminuent de larg
e u r à mesur e qu'elles s'avancent vers l'extrémilé de la tige :i
l a q u e l l e elles sont adossées. Leur forme est celle d'une faux
d o n t le dos serait recourbé en arrière au lieu de l'être en avatil
d u tranchant . Comme l'a dit i\l. Agassiz, il résultait de l'ens
e m b l e de ces lames ou crêtes osseuses, une sorte de cloison
m é d i a n e qui séparait les deux masses musculaires qui form
a i e n t les flancs du poisson. On peut présumer que l'effet
d ' u n e pareille cloison devait être de diminuer beaucoup l'amp
l i t u d e du mouvement de Ilexion de la colonne verlébralc dans
le sens vert ical . Il est à r ema rque r que les six ou sept apophyses
é p i n e u s e s supérieures, les plus rapprochées de la lòie, ont
. une courbure un peu différente de celle des autres. Le fait se
r e p r o d u i t chez tous les squelettes de Ty e n o d u s que ¡'ai eu
l ' o c c a s i o r t d'examiner, mais il y a quelque variation dans le
n o m b r e des apophyses nuchales ainsi redressées, suivant les
uMin feslmisilzendon JFirleP.nagen
1« oigsn sind. — Silsunjsíerícltlc d.
l. V, p.lii.
(1) M. Ilccliel dit [lourlaDt i Einrnchrig«
eúujchcillo Domforlsaftzc aihn Pyaiodot
/llath. natunvUs. Ctusse d. K. K. Aliadcmie,
e s p è c e s . Le nombre total des apophyses épineuses supérieures
dn P. Saimmausi csl de trente-deux ou trente-trois ; celui des
i n f é r i e u r e s de quatorze, indépendamment des vertèbres qui
d é p e n d e n t de la queue. Les cotes sont au nombi' c de douze ou
t r e i z e pour chaque côté. Comme à l 'ordinaire elles n'ont pas
l e u r s lames antérieures aussi dévelo[)pées ijuc celles dos ai>op
h y s e s épineuses.
Les osselets inter-épineux ou povlc-rayons dos deux nageoires
v e r l i c a l c s , sont deux fois plus »ombreux que les grandes
a p o p h y s e s des vertèbres, et suppor tent chacun un rayon. Leur
. l o n g u e u r s'accroît sous les lobes aulériciirs des nageoires dors
a l e et anale. La première do cos nageoires se compose do
d i x - h u i t rayons pour le lobe ou l'aileron, et d'environ trenle-
( j u a t r e pour la f r a n g e qui réunit l'aileron à la queue. Des rayons
d u lobe, c'est le cinquième ou le sixième qui est le p lus long ;
les quat r e ou cinq rayons dont il est précédé s'al longent success
i v e m e n t , mai s ne ralleignent pas, cl les douze qui le suivent
d é c r o i s s e n t d'abord d'une manière insensible et plus brusquem
e n t ensui te, de manière que l'aileron est arrondi en ai'ricrc.
I l est d'autres espèces, telles que le P. c legans, chez Ics-
(¡uclles la courbe postérieure du lobe csl rentrante au lieu
d ' ê t r e saillante. La nageoire anale élait plus reculée que la
d o r s a l e , et par conséquent moins longue; mais elle est trop
u u U i l é e pour que nous puissions faire le compt e de ses rayons.
La caudale est ampl e , v igoureuse, cl devait être symélriq
u e m e n l bilobée. Ses rayons les plus développés devaient att
e i n d r e à près de 50 cenlimètrcs de longueur , et leurs extrém
i t é s d'un lobe à l'autre , être écartées d'environ 2o. L'échanc
r u r e du bord postérieur esl plus profonde que chez le
P . c legans , mais un peu moins que chez le P. Ilieri,
c l à plus forle raison que chez les G y r o d u s . La courbe rcn-
( r a n t e n'est pas altérée par un allongemonl des rayons du mil
i e u de la nageoire, tel que celui qu'on observe entre les doux
l o b e s de la caudale dn P. e 1 e g a n s et du P. p 1 a tes sus . .
La disposition des osselets qui composent cette- nageoire est
à peu près analogue à celle que l'on observe chez le P. clegans
Les apophyses épineuses du dessous de la corde dorsale sont
b e a u c o u p plus grosses que celles du dessus, et elles se lermiu
e n l par une partie d'autant plus fortement élargie,, que l'on
c o n s i d è r e celles de ces pièces qui se rapprochent davantage de
l ' e x t r é m i t é de la corde, Les trois dernières sont déplacées et
m u t i l é e s , et cependant les rayons qui devaient s y ratlacher
ont conservé leur position. Il est à remarquer que les rayons
d u lobe supérieur s'efîilcnt vers leur base pour s'insérer entre
les apophyses épineuses, qui sont elles-mêmes courlcs et term
i n é e s en pointe. L'insertion a l ieu, pour les trois ou quatre
r a y o n s les plus g rands , au-dessus de l'extrémitc de Taxe vert
é b r a l , les autres se raltachcnt aux apophyses épineuses infér
i e u r e s . La formule des rayons de la caudale ne paraît être
dilTérenle de celle du P. e lcgans quo par quelques rayons
d e plus soil au-dessus , soit au dcs.=iOus du pédicule de la nag
e o i r e ; je trouve 6 , 1 , 9 , 10, 1 , 7 . J'appellerai rattention
s u r les rayons cpinevx dont est précédé le plus grand rayon
d e chaque lobe. Je dis épineux., parce qu'ils ne sont pas du
l o u l partagés en articulations; mais par leur fonction, qui
n ' e s t autre que de renforcer et d'augmenter on siiperncic la
b a s e des lobes, ccs osselets représentent des espèces de grands
f u l c r e s . Aussi verrons-nous, chez d'autres espèces, que ros
r a y o n s se bifurquent inféri en r ome n i . Ils soni re m a rqua hi os ici
p a r leur direction plus incl inée que celle des grands rayons des
lobes qu'ils précèdcnl.
J e renvoie à la planche oîi est représenté le fossile, pour
des détails encore plus étendus que ccux où je suis entré ; on
p e u t consulter avec confiance cette figure.
i l ne reste pas d'autre trace des écailles que les fdcts osseux
e t art iculés , dont les rangées qui recouvraient la nuque élaicnt
b o r d é e s anléricurcment. Ces rangées pleurolépidécs n'étaient
p a s nombreuses chez le P. Saxminaiisi : dix à douz e seulement.
M. Agassiz a compté quinze de ccs osselets en V sur le
P . clegans. Comme j'en trouve vingl-cinq oonslamincnl sur
u n e autre espèce du lîugey, qui est pourtant très-voisine de
l ' o l e g a n s , je ne crois pas que ces nombres soient dénués de
v a l e u r caractéristique.
J"ai fait ressort ir, dans le cours de celle description, les
d i f f é r e n c e s qui séparent le P. Saiivanausi des P. c l e g a n s el
P . p l a t e s s u s ; j'aurai soin, en décrivant les autres espèces
n o u v e l l e s , de menlionner les détails par lesquels chacune
d ' e l l e s se dislingue de celle-ci.
Pycnodus BiitiNAnDi (Thiol.).
( Vojoî! In Pl.->nc!ic [lorlanl co lilrc. )
C ' c s l l'espèce de Pyenodus la plus a b o n d amme n t répandue
d a n s les calcaires lithographiques de Cirin. J'en ai réuni une
d o u z a i n e d'exemplaires dont la taille diffère depuis une long
u e u r de 0 à 6 centimètres, jusqu'à 38. Parmi les pièces
f o s s i l e s recueillies par ¡\I. llier dans les schistes bitumineux
d ' O r b a g n o u x , et donl je dois la communicat ion à l'obligeance
d e ce savant amateur , il se trouve également une plaque vom
é r i e n n e qui a d û apparteni r à u n individu de la m ême espèce,
e l donl la laille pouvait être lui peu plus développée que cclle
d ' a u c u n de mes échantillons.
La ressemblance entre le P. Bcrnardi cl Sauvanausi est
assez prononcée , pour que l'on soit amené à se d ema n d e r si le
d e r n i e r ne représent e pas l'étal complètement développé , et le
p r e m i e r les formes jeunes d'une seule cl même espèce. C'est
j>ossible; néanmoins, comme je n'ai pas obtenu d'exemplaires
qui rcprésentenl les degrés de développement intermédiaires à
ceux auxquels sont arrivés l'imiquc individu du P. Satioanausi
d'un côté, cl de l 'autre les plus gi-ands d'ent r e ceux du
P. liernardi que j'ai recueillis (ces derniers n'alleignant
g u è r e qu' à la moitié de la taille du p remier ) , cl comme je ne
vois pas, en confrontant les divers individus de cette dernière
g r a n d e u r avec ceux qui soni plus jeunes, que l'accroissement
d e la taille soit accompagné d'une atténuation graduelle corr
e s p o n d a n t e , dans les différences de détail d'après lesquelles
o n peut séparer les deux espèces , din'ércnces dont l'âge devrait
p o u r t a n t amener la disparition, d'après l'hypothèse, je crois
q u ' i l faut s'en tenir à l'indication toute naturelle qui résulte
d e la persistance de ces caractères différentiels, dans les limites
c o n n u e s , el conclure h la réalité de leur valeur spécifique.
Voici d'ailleurs en quoi consistent ces caractères : le P. Bcrnardi
distingue du P. Sauvanaxisi P en ce que ses dents
incisives médianes sont beaucoup nioins fortes relativement
aux dent s en pavé , cl leur tranchant , moins oblique, est plus
a c é r é cl m ême un peu échancré dans le milieu ; les lames
osseuses du sphénoïde et de l'ethmo'ide ne présentent pas les
m ê m e s formes et proportions relatives ; 3° le lobe antérieur .
des nageoires dorsale et anal e csl beaucoup plus aigu ; enfin,
les rayons non articulés qui précèdent les grands rayons de la
c a u d a l e n'offrent pas la direction aussi différente de celle de
ces grands rayons eux-mêmes, et n'atteignent pas le degré
d e d éve loppement , soit en longueur , soit en épaisseur, qu'ils
possèdent cUcz le P. Saiimnausi.
L a forme général e du / ' . liernardi esl un peu moins courte
ot renflée que celle du P. Samavausi. C'est un ovale plus
a r r o n d i en avant qu'en arrière, cl dont le grand diamètre csl
a u petit comme 6 est à 4 , au maximum et par exception
c o m m e C est à 5. Le museau fait saillie en dehors de l'ovalo
cl s'incline vers le bas. La queue qui esl grande, largement
é c h a n c r é c en arrière ou même plutôt bilobée, se rat tache au
c o r p s par un pédicule étroit. Le lobe antérieur de la nageoire,
d o r s a l e occupe la partie la plus élevée de la courbe du dos ;
l ' a n a l e ([ui lui est opposée est cependant placée un peu plus en
a r r i è r e . Le prolll de l'abdomen décrit une courbe plus ouverte
que celle du dos, el la région vent ral e est plus développée sous
la colonne vertébrale que ne l'est la région dorsale au-dessus.
U n e portion de Posléologic de la tète s'offre à mes yeux,
avec une netteté qui va me permet t r e d'entrer dans des détails
u n peu étendus.
La hauteur assez forte que présente le crane, à la parlic
p o s t é r i e u r e , pourrai t faire suppos e r que la boite cérébrale élait
s u r m o n t é e d'une crête verticale, analogue à celle qui s'élève
s u r la tête de la plupart des Acanthoptérygicns, et en particul
i e r des Sparoïdos, Ce serait une e r reur . Si l 'on ne pout préciser
a u j o u r d ' h u i quels étaient les rapports entre les dimensions en
h a u t e u r et en largeur du crànc , puisque la pression des dépots
s u p e r p o s é s l'a toujours réduit à peu près à l'épaisseur d'une
liime de couteau , on voit , du moins fort bien sur quelques-uns
des exemplaires du P. liernardi, que les parois externes de la
v o û t e étaient dépourvues de toute espèce de crêtes saillantes, cl
( ¡ u ' e l l e s étaient lisses, comme chez les Cypr ins, les Esoces, etc.,
s a u f des stries rayonnantes el légères qui burinent la surface
des plaques osseuses dont eetlc voûte esl formée.
J e ne t rouve pas non plus d'indice qu' i l y ail eu de fortes apophyses
sur la face postérieure des os occipitaux : car je ne suis
pas certain qu'on doive a s s imi ler aux crêtes donl ces os sont souvent
pourvus, morne quand elles s 'al longent en arrière, comme
c h e z les muges , le faisceau de filéis osseux fort minces qui se
voient à l 'arrière des os pariétaux, et qui vont en rayonnant
p a s s e r sous les cordons de nervures des premières rangées d'éc
a i l l c s de la nuque, el sur les apophyses épineuses des prem
i è r e s demi-vertèbres du dos. Les figures des P. plalessus
e l e l e g a n s que RI. Agassiz a publiées dans le tome II de ses
liccherches, montrent Ircs-elairemenl les fibres osseuses rayonn
a n t e s dont je parle; mais l'auteur n'en a pas fait mention
d a n s son texte. Les mêmes filets existent certainement et chez
l e P. Bernardi ci chez deux autres P y e n o d u s de Cirin dont
il sera question un peu plus loin. L'état imparfait de mes
e x e m p l a i r e s ne m' a pas permi s d'en constater l'existence sous
l a nuque des P. Sauvanausi et P. hieri, mais il n'est pas pres
u m a b l e que les deux espèces que je viens de n omme r en aient
é l é dépourvues.
A part ces faisceaux de filets osseux, le bord postérieur du
ci'àne paraît clrc coupé nettement en ligue droite. Comme je
n ' a i pas obtenu un seul échantillon qui m'ait montré la tête
a u t r e m e n t que de p rof i l , je ne pui s rien dire des os qui ferment
e u arrière la boîte cérébrale; mais on suit bien les contours
des diverses plaques qui en constituent la paroi externe, et qui
s ' u n i s s e n l entre elles par suture écailleuse. Une première
p l a q u e forme le sommet de l'occiput. Cet occipital supérieur
o u cet inlerpariétal clanl impai r , on ne voit que la moitié de
son limbe. Il se présente sous la forme dos écussons osseux de
la nuque et du dos des esturgeons. La surface en est aussi
m a r q u é e de stries qui rayonnent du centre vers les bords. Il
s ' u n i t de chaque côlé avec les pariétaux , et en avant avec les
f r o n t a u x principaux. Les plaques qui représentent les pariétaux
sont demi-circulaires; le côlé qui est coupé en ligne droite
c o n s t i t u e le bord postérieur de la paroi visible du crâne; le
c ô l é antérieur, qui décrit le d emi - c c r c l c , s'unit avec quatre os,
savoir : en haut avec l'interpariétal, en avant avec le frontal
p r i n c i p a l , un peu plus bas avec le frontal postérieur, et enfin
avec l'os surscapulairc. Le frontal postérieur semble recouvrir
le mastoïdien par son côlé inférieur, cl en remontant il forme
le bord de l'arcade orbitaivc jusqu'à la rencontre du frontal
p r i n c i p a l . Ce dernier os est c omme à l'oi-dinaire le plus grand
do toute la voûte cérébrale. Il est l imi t é en arrière par les trois
p l a q u e s donl j'ai déjà parlé, sur la ligne moyenne par son
c o n g é n è r e , et son bord externe recouvre , à la suite du frontal
p o s t é r i e u r , le bord de Pareado orbitaire, ainsi que le pilier