m i c r e c s i ) è o e l e / l / o ) n i 7 ( a v m B M U > ï ( ! r s Î ! l ! r o i i g n . ( l ) , i l c l'Oolillic
J e Jliiiiiers, qui reproduit lo m ême lypc cl a clé retrouvé dc-
|Uiis dans le Cornbrasli d'Élroclicy, près de Chalillon-sur-Seiiie
( C ó l c - i l ' O r ) , c t d a i i s l'Oxtorilien d'Aiiglclcrre parM. CarruUiers.
Ce sont des Conifères d'un aspect fort é t range, présentant des
f e u i l l e s charnues ou coriaces, plus on moins épaisses cl relevées
en un mamelon saillant dans leur jeunesse, mais pren
a n t ensui t e la forme d 'écus sons rhomboûlaux, principalement
s u r le v ieux bois ; ces feuilles son! toujours disposées dans
im ordre spiral régulier, souvent compliqué de |ilusienrs
s p i r e s secondaires. Il faut donc relranelicr de ce genre nons
e u l e m e n t les l'achyphnUum ([Ui s'en rapproclient effectivem
e n t et que M. A. Brongniart proposait, avec nue certaine
l i é s i l a t i o n , de réunir aux BrachjphyUum (2), mais on bon
n o m b r e de Cuprcs s inees à feuilles déeussées, subdéeiissées ou
i r r é g u l i è r e m e n t disposées à la façon de cclles des Wiiklniiglonitt,
que l'on y a successivement englobées. 11 f aut encore
éliminer du genr e comme n e lui tenant en r ien, les Braclnjphylliim
MansleiiciarfmcSdienk(Foss. Fl. ê. G-raisrfi., p. 137,
tab, .13, Cg. M ' î cl 13-20), pour lesquels mon ami M. Sebimper
a créé avec raison le genre Cheirolcpis{Trails depal. vég.,
11, p. 247, pl. 75, fig. 8-tO). Malgré ces retranchement s on
r e n c o n t r e encore dans le Corallien de Saint-.llihiel et de Verdun,
ainsi que sur l'horizon de Cerin, de vrai s Bradigphglhim
(Br. moiMiiimlirongu. — il/orcaiiia Ikumkks Pomel), car
a c t é r i s é s comme ceux de l'Oolithe inférieure cl qui démon-
Irent que le genre s'est prolongé jusque-là. Pent-élre même
a - t - i l persisté plus longtemps encore si l'on y rapporte, ainsi
que cela paiait naturel, le Smcliiiphyllum oi-bignyanmn (3)
{Fiicoides orbignyanus lirongn., Hisl. des vêg. foss., 1, p. 78,
pl. 2, fig. 6-7), des lignites crétacés de l'ile d'Aix, dont les ra-
• mcaux à feuilles épaisses présentent les caraelères distinetifs
d e ceux des BradiyphyUum jurassiques.
Les Brachypkyllum avaient dans le port quelque chose de
l o u r d et de t rapu; leurs rameaux, promptcment grossis, rev
ê t u s d'une sorte de cuirasse à eomparl imcnl s régulièrement
t a i l l é s à facettes; leurs feuilles jeunes plus ou moins saill
a n t e s , mais toujours épaisses, courbées les unes sur les
a n t r e s et disposées en un crochet obtns et court , leur commun
i q u a i e n t un aspect particulier que les seuls Arthrotttxis rapp
e l l e n t , quoique de très-loin, dans la natur e actuelle. La conn
a i s s a n c e seule du fruit et de son organisation extérieure
pouvait guider l'analogie, en assignant sa véritable place à
u n groupe sans liaison directe avec aucun de ceux que nous
avons sous les yeux. Jusqu' à présent les cônes des Brmhyphylliim
étaient demeurés totalement inconnus, sauf des eonj
e c t u r e s émises à propos de certains organes ou écailles isolées,
rencont rés eà et là dans les mêmes lits que les rameaux
d e BrachyphyUum. M. Pomel , à <|ui la paléontologi e est si redevable,
en me communiquant une plaque provenant des
c a l c a i r e s coralliens de Chàteanroux (Indre), m'a mis à même
d e résoudre en grande partie ce problème.
La surface de cette plaque montre, en effet, parmi des ramules
de BrachjphyUum, deux cônes encore attachés à l'un
d ' e u x , et, de plus, des cones pareils ont été observés sur îles
plaques d'Orbagnoux à c ô l é d e s empreintes desiracAjp/ i j i i i im.
Ces cônes sont tous petits, ovales ou oblongs, formés de nomb
r e u s e s écailles disposées clans un ordre spiral, ils rappellent
s i n g u l i è r e m e n t , d'une part, les cônes du Lycopodiles Williiansonh
Brongn. (4) (Fachyphyllum WilUamsoni Schimp., Traiic
depal. Iié9.,ll, p. 251) et, de l 'aut re, ceux des JFukhiaei des
Ulmannia, soit i)ai- leur aspect, soit par ragcncemenl et la
(1) .4HÍÍ. Se. wit., tresÉrie, IV, pl. 10, Dg. 0,
(-2) Tub. des ¡¡mrsi de lég. fou., p. 0Ü.
(3) V. Bi-iniBiart, T.l. da ¡„m d„ wj . fo
(4) Liiirtl. et Ilutl., Foïs. FI, U, p. 33,
Gen. si sp., p. ;
03.
forme des écailles, dont la partie visible se prolonge en
u n e apophyse lancéolée, faiblement carénée dans lo milieu et
é t r o i t e m e n t apprimée. La r c s s embl ane e avec les d eux derniers
g e n r e s , dont l'un caractérise la base, l'autre les parties
m o y e n n e et supérieure du l'ermien, est si complète, qu'elle
e n t r a î n e nécessairement l'idée d'une affinité q u e l c o n q u e entre
ces genres et celui des BrachyphyUum, en sorte qu'il serait
liossible d'admet tre que ceux-ci représentent le type des H'nicMa
dont ils seraient le dernier prolongement an sein de la
p é r i o d e jurassique. Les cônes de Brachyphyttam paraissent
avoir été le plus ordinairement persistants, c i rconstance parf
a i t e m e n t en rapport avec la raret é de ces organes, demeurés
i n c o n n u s jusqu' à ce jour.
A la suite de ces genres, plus aisés à relier à ceux des pér
i o d e s antejurassiques qu'aux types actuels, il faut en ment
i o n n e r d'autres qui reproduisent au contraire assez bien les
c a r a c t è r e s des genres que nous possédons encore et peuvent
l e u r être assimilés sans anomalie, ,1'ai signalé le genre Araucaria
comme ayant laissé des cônes et des écailles attestant
s a présence, à part i r de l'Oolithe inférieure ; les Sequoia, Arllnvlaxis
et Cimninghamia ont également fait leur apparition
d a n s l c cour s de cet t e période. Cependant , on n'a guèr e signalé
d e vestiges certains de Sequoia qu'à partir de la Craie infér
i e u r e {Segmia Kmhenbachii lleer, S. Gardiicri Carr., S. Woodwardii
Carr.), à moins que l'on ne considère comme appart
e n a n t à ce genr e le Pinus primoeva Lindl. et Huit. (Foss. Fl.,
t a b . 135) que SI. Carruthers et, après lui, M. Schimper ont
r a n g é parmi les Cycadées. Il n' y a rien, du reste, que do fort
p r o b a b l e à ce que le type des .Arlhrolaxù, aujourd'hui relég
u é dans l'hémiS|)hère austral,ait autrefois p r é c édé en Europe
celui des Sequoia proprement dits. A ce point de vue, les
f r u i t s trouvés à Solenhofen, encore attachés à un rameau,
s o n t faits pour éclairer la quest ion d'un jour précieux ; d'aut
r e part, des erreurs de détermination et d'attribution sont
v e n u e s accroître la confusion et il est indispensable de proc
é d e r à un examen critique des faits, avant de s'appuyer sur
e u x .
Les Conifères de Solenhofen ont été décrites et figurées
d a n s le g rand ouvrage de Sternberg, comme étant des Algues
e t sous le nom de CaulerpUes. M. B r o n g n i a r t avait déjà insisté,
dans son Tableau des genres de vég. foss., p. 8 et 72, sur la
n é c e s s i t é de reporter ces prétendues Algues non loin des
Thuya, lorsque Unger, dans deuxnot ices successives (5),insér
é e s dans lo recuei l de Dunker et Meyer, entreprit leur class
i n c a l i o n , en y joignant des empreintes tie Nussplingcn, loc
a l i t é qui .se r a p p o r t e au même niveau. L'auteur allemand a
d i s t i n g u é plusieurs espèces, auxquelles il applique le nom
i'Arlhrolaxiles; il a en m ême temps attribué à la principale,
Arlhrolaxilcs princeps {CaulerpUes princeps Sternb., Fl. d.
Voi-U!.. 11. p. 22, tab. 5, fig. 2) (6), les fruits trouvés récemment
à Sol enhof en, qu'il avait lui-même signalés peu aupar
a v a n t dans une note particulière et dont il avait fait ressortir
la ressemblance avec eux des Arlhrolaxis {T). Une deuxième
e s p è c e , Arlhrolaxis balioslichus {BuiiosUehm ornofasSlernb.)
l. e., lab. 25), parut à Unger encore plus voisine que la préc
e d c n l e des Arlhrolaxis par l'aspect des rameaux, la forme et
l ' a g e n c e m e n t des feuilles. M. Schimper , dans son Traité de
paléontologie (II, p. 330), a suivi à peu près le même ord
r e ; seulement il adopte le nom générique A'Echinoslrobus
pour désigner les fruits de Solenhofen, qu'il compare à ceux
des Thuyopsis, elles rameaux qui Ictn- sont allribnés; il est
disposé à r éuni r en une seule espèce, sous le nom <['£. Stern-
(ti) Pflioeonio,
roVoirp.iirl
p. 22.
(7) IM. ISiO, p. 3Í1
iynonymcs Jo Sturnborg la
bergii, les Arlhrolaxitei princeps, balioslichus cl m ême l'A. Frischmanui
de Unger; enfin il figure très-exactement les l'am
e a u x à f rui t s de Solenhofen. Maintenant, si l'on soumet ces
d i v e r s matériaux à une étude comparalivc, il en ressort que
VArthrotaxiles princeps de Unger, très-bien figuré par eel aut
e u r , représenl e une Cupressinee à feuilles un peu inexactem
e n t déeussées, mai s généralement opposées deux par deux,
à laquelle correspondent elTcclivement les synonymes de
S t e r n b e r g , au nombr e de six. Mais celte Cupressinée diffère
e t du rameau à fruits et de VArlhrolaxiles balioslichus Ung-,
qui n'est autre que le Balioslichus ornalus Sternb.; au cont
r a i r e , l'A. balioslichus, dont Unger avait lait ressortir l'ext
r ê m e affinité avec les Arlhrolaxis actuels, ressemble au ram
e a u fruclifié et cette ressemblance est tellement étroite
q u ' e l l e entraîne l'idcndification des exemplaires respect ifs en
u n e seule espèce, qui ne serait aulre qu'un Arlhrolaxis, si,
comme j e le pense, après M. Unger , les fruits eu.x-niômcs off
r e n t les caractères de ceux de ce genre, surtout en adniclt
a n l , à cause de l'éloignemcnt extrême des deux époques,
c e r t a i n e s difféi'cnces secondaires, com])alibles pourlant avec
n u e véritable parité de structure. En effet, les cènes des
Arlhrolaxis, quoique plus pet i t s que ceux de Sol enhof en, sont
disposés comiric eux aux sommets des ramules latéraux; et
l e u r s écailles, assez peu nombr eus e s et insérées dans le même
o r d r e , por tent , à l'égal de cclles des fruits fossiles, un append
i c e en forme de mucron épineux, plus ou moins prononcé
s e l o n les e spèces ; la présence de cet appendice est surtout
v i s i b l e dans l'Arthrolaxislaxifolia Hook., celui de tous juslem
e n t qui rappelle le mieux le type secondaire par la forme
d e ses ramules et la disposition de ses feuilles. Je n'bésiterai
donc pas à placer parmi les Séquoiées les Echiîioslrobus
Schimp. ( eme n d . ) , ainsi compris, et près desquel s j e signalerai
e n c o r e un Cunninghamiles; en sorte que l'existence de la
t r i b u elle-même ne saurait paraître douteuse.
P a s s o n s maintenant en revue ce qui touche aux Cupressin
é e s jurassiques afin d'en établir le classement . Le premier
s o i n doit être de limiter l'ensemble du groupe qui consliluc
d e nos jour s , dans l'ordre des Conifères, une tribu facile à dét
e r m i n e r . Ce n 'est pas uniquement, selon nous, la situation
é r i g é e des ovules qui consliluc le caraclère essentiel des
C u i i r e s s i n é e s , mais à ce caractère, dont la valeur est contest
a b l e , s'il d emeur e isolé, il faut j o i n d r e avanl tout l'opposition
des écailles ou bractées ovulifères, ordonnées par deux, par
t r o i s ou par quatre, dans le fruit, et ordinai rement en relat
i on directe avec l'arrangement des feuilles, qui sont aussi
d i s p o s é e s par quatre, par trois, ou s implement déeussées, sur
l e s rameaux. L'ordonnance des teuilles, sujette à moins de
fixité que celle des parlics du fruit, tend à deveni r spirale ou
m i e u x encore irrégulicre et inexactement opposée dans les
Widdringlonia, ainsi que chez un assez bon nombre de
C u p r e s s i n é e s fossiles. Le l'ruil iiuadrivalvc des Widdringlonia
p e u t être considéré soit eoninic un verticille de quatre l>ract
é e s ovulifères, soit comme une spire raccourcie de quatre
écailles assez rapprochées pour revêtir l'aspect d'un verticillc.
Quelle que soit l'explication que l'on préfère, le genre
IJ'iddringloma, on doit le constater, tout en faisant incont
e s t a b l e m e n t partie des Cupressinées et possédant même des
f e u i l l e s déeussées sur quelques-uns de ses rameaux, manif
e s t e une lendance vers l'ordonnance spirale, en rapport, à
ce qu'il semble, avec son ancienneté, et de manière à opérer
u n e transition vers les Taxodiécs. Cette transition a dù sans
doute avoir eu lieu autrefois au moyen de quelque prototype
a p p a r t e n a n t à la fiore liasiquc ou infraliasique, mais dont
cclle-ci ne nous a pas encore livré le seerel, bien que la fréq
u e n e e des formes de Cupressinées analogues aux mddringlonia
puisse en faire présumer rexistenee.
La plus ancienne Cupressinée signalée jusqu'ici est effect
i v e m e n t le ÎFiddringlonilcs Imiperianus Ileer, assez répandu
dans lo Keuper des environs de Bale et de Wûrzbonrg. Mais
le type des IViddi-ivglonia remonterait encore plus haut, si,
comme je le pense, on doit y rattacher des empreintes fort
c u r i e u s e s de ramules épars, qui m'ont été communiquées
par M. Tcrqnem, et qui proviennent du Concliylicn inférieur
d ' I I a l l a i n v i l l c , dans la Mcurtbe. Le type des Thuya, un peu
plus récent, se montre pourtant dans le lihélien sous une
forme très-analoguc il celle qui distingue les 'Chuyopsis, avec
des feuilles apprimées et déeussées, les faciales obtuses,
compriraées et dillércntcs des latérales navlculaircs et point
u e s ; c'est lé Thuyiles Schloenbachi de Selienk {Foss. Fl.
d. Grenlsch., p. 191, pl. 42, fig. 14-17), mais l'cspècc parait
e x t r ê m e m e n t rare et fort isolée, car il faut redescendre plus
i e u r s étages pour retrouver ce type des Thuyiles ou Cupress
i n é e s à ramules étalés dans un même plan, com|irimés et
p o u r v u s de feuilles squamifornies, ¡ilus ou moins exactement
d é e u s s é e s .
Les Cupressinées sont à iicine connues dans le Lias, oi'i il
faut pourlant signaler le IFidiringloniles liasinus Schimp.
{Cupressilcs liasinus Kurr, Bcilr. z. Fl. i. Jjiraform. IVUrtemh.:
p. 10, lab. 1, fig. 2), qui reprodui t le type des jnddringlonia;
se mulliplient au contraire dans l'Oolilhe,
mais l'absence ou l'excessive rarelé des fruits rend leur dét
e r m i n a t i o n des jilus incertaines. Aussi ont-elles été tantôt
c o n f o n d u e s avec les Brachyplixjllum, tantôt rapprochées des
Arlhrolaxis sous la dénominat ion i'Arlhrolaxiles, sans compt
e r les anciennes désignations de CalUerpiles, etc. Toutes ces
C u p r e s s i n é e s peuvent être partagées en deux groupes : les
u n e s ont des feuilles inexactement opposées, et rentrent par
e o n s é q u e n t sans anomalie dans les genres JFiddnnglonia on
JJ'iddringloniles, suivant que leur fruit est connu ou non ; les
a u t r e s présentent des feuilles squamifornies, opposées ou
même déeussées, mais le plus souvent d'une façon beaucoup
moins régulière que chez les Thuya véritables; c'est-à-dire
q u e , chez ces anciennes Cupressinées, les ramules, au lieu
d ' ê t r e compr imés, disposés dans le même plan et garnis de
f e u i l l e s faciales distinctes des latérales, sont plutôt cylindriques
et portent des feuilles monolaxiques. Il arrive donc que
ces derniers organes empiètent plus aisément l'un sur l'autre,
d e manière à ce qu'une paire déplace la paire suivante, ce
qui jette un certain désordre dans l'ensemble. Il est probable,
du reste, qu'il existe plusieurs genres [larmi ces Cupressin
é e s jurassiques, et les différences génériques, ainsi qu'il
a r r i v e ordinairement chez les Conifères, doivent se relléler
s u r l'aspect et l'ordonnance des rameaux en l'abseuee même
des fruits. On conçoit pourtant combien une pareille dist
i n c t i o n doit être difficile à pratiquer et sujet t e à des erreurs
dans l'application. Les fruits observés sont jusqu'ici en Irèsp
e t i t nombre ; ils peuvent cependant servir de guide dans
l ' a p p r é c i a t i o n d'une partie au moins des Cupressinées jurass
i q u e s .
J e p ropose d'établir, sous le n om de Paloeocyparis, un genre
c o r r e s p o n d a n t au type du Thuyiles princeps (1) {Arlhrolaxile.i
princeps Ung.), qui comprendrait également le Thuyiles expansus,
Sternb, de Iloncsfield, le Thuyiles robuslus Sap.,
d ' E I r o c h c y , et le Thuyiles clegans, d'Armaille. Toutes ces
formes paraissent avoir appartenu à un même type, pi'oba-
H c m c n t éteint, mais dont le feuillage rappelle celui des
Chamoecyparis oblusa et squarrosa Sieb. el 'Zuce., et dont les
f e u i l l e s sont adnécs, appliquées contre la tige et déeussées
'S tlluüi-íciiliií Stfii'lit IS (te ïCÈÎtaux fossiles, page 1ÜG.