ce sont le quadruple et le simple braspenning4 ont
parle cet acte.
Les documents qui suivent sont ceux de 1 an
i 5i6 (pièces justificatives H, I, J , K). On y trouve
la mention de nouvelles espèces, savoir : le
negenmanneke, le demi negenmanneke, le demi
oirt stuiver et la pièce de trois sous. Il est évident
que le negenmanneke et le demi oirt stuiver ne
sont autres que le muterken, qui n’a fait que
changer de nom, ce qui est prouvé et par le titre
et le poids de ces pièces et par le fait que ces monnaies
sont désignées dans les ordonnances de
cette année, tantôt sous l ’un et tantôt sous l’autre
nom. Les deux ordonnances (pièces justificatives
I et J) ne semblent être que des avant projets, car le
duc convoque le 8 juin (pièces justificatives H) les
villes principales à une assemblée pour y traiter
des affaires monétaires, ce qui explique la différence
faite, dans ces deux actes, entre maintes espèces.
Nous pouvons, au contraire, considérer l ’ordonnance
du 14 octobre (Van d e r Chijs, p. 320, Z)
comme le résultat de cette conférence, résultat
dont le magistrat de la ville d’Arnhem est informé
par le duc dans sa lettre de la même date (pièces
justificatives K). Si nous voyons maintenant, dans
les comptes rendus (Van d e r Chijs, pp. i 32 et suivantes),
que N. Nyber resta en fonction de i 5i 6 à
1527, nous nous croyons autorisé d’attribuer à
cette époque les sous (Van d e r Chijs, nos 26 et 27) et
le demi sou (n° 33). Cette attribution est justifiée