semble être de la même famille que le n° 24. C’est
pourquoi nous sommes porté à croire que le sou
doit avoir été frappé vers cette époque. Il en est de
même du demi sou {Revue belge, 1874, n° 28) décrit
à tort par nous comme devant être un quart de
sou. Le type en correspond parfaitement à celui
des monnaies des autres princes de cette époque.
- L ’an i 5og nous apporte de nouveau bien des
changements (pièces justificatives G) ; nous voyons
par l ’ordonnance du 7 octobre que, tant pour l’or
que pour l ’argent, le type au cavalier vient d’être
introduit en Gueldre. Ces piècesn’étant pas datées,
excepté le Snaphaan de i 5 i 3 , il est impossible de
fixer l ’époque de leurs émissions. Celles aux
armes de Ruremonde doivent, ainsi que le Clem-
mergulden dont nous avons parler plus haut,
cependant dater de l ’an i 525. Cette ordonnance
nous apprend que le double woecheij, voecheij ou
wucheij, que M. Van der Chijs n’a pas connu,
n’est autre que notre double sou et, quoique nous
n’ayons pu trouver un exemplaire de cette dernière
année, ceux de i 5i i et i 5 i 5 qui se trouvent dans
notre collection, nous fournissent la preuve que
le modèle n’a subi aucun changement.
Le pouvoir exercé par Charles dans l’évêché
d’Utrecht nous donné quelques monnaies mentionnées
dans l ’ordonnance du 4 juin i 5 i i . Ce
sont : le florin d’or (V a n d e r CHrjs,pl. XV,n°8) et
les monnaies (pl. XVII, n° S re tp l. XXIX, n° 12).
D ’après le poids de ces pièces, nous croyons que