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die obem küraem Dekfedern de» Scliwanzc* schwarz mil einem
violellcn Glanio und aschgrauen IFindem, die liiigem und die
Schwanzfedern mit einem grünen Seliimmcr; Brust, Bauch und
unter« Dckfcdcni des Sciiwanzcs aschgrau, in* Hathlichc »iiic-
Icnd, mil .schwarzen Schäften; Schenkel zeliwarz; Kiiße und Nägel
gläjucnd scliwarz.
Die Flugeßpilzcn erreichen die Sclisvonzsintzc.
Xringo 1. Fufs 7. ZoU; Breite 3. Fufs.
Do» vor uns »teilende Weibchen unter«heidel »ich von dem
Münncbcu durch die hellere aschgraue Farbe, und durch diegros-
zcro Strahlen, in welche die schwarze Bnut autläuft. ihr
ALTIISTILILT
ß t Europa und .\*ien. Auch soll «io in Nordamerika «ngc-
troifen werden. In DcußcbUnd wohnt »ie in Ebenen, Fcldbal-
zcm und baumrcichcn fiegendcn um die Dörfer, und mehr im
nördlichen als im »iidlichen Thcil. In den leztem kommt sie gegen
den Winter in großen Herden im Oktober, und zieht im
März wieder weg, und zwar nach unserer Erfahrung zuerst in
gebirgige Gegenden, und nur dann erst in die Ebenen, wtim hoher
Schnee und starke KiJie »ic dazu zwingt, ’.leisten» 1 .ßl »ic
»ich nur in »tarken AA'inlem ichcu und fliegt dann vom Hunger
getrieben , in Gcselßcliaft der Uabeiiktilic «uf die Landslrar.en
in Dörfer und Städte. Des N«i fus sezt »ic »ich «uf hohcßiuuie,
oder »ie bezielit hohe Schlösser und Kirchen.
EIGENSCII-IKTEN.
Sie »oU nach ändern Naturforschera eben soeeblaii und noch
schlauer als ihre Galtungsverwandlen »ein. Aä mbabcii aber be-
mcrll, daß »io sich leicht mil der FUnte erlegen läßt. Ihre hei-
tchere Stimme lautet kräh, ki-äh. So oft sie diese liörcn läfst,
macht sie allemal wie die lUbeuLrähe mil dem A’crdcrivibe eine
tiefe A'crbeugung gegeu die Fjde. Iung «afgezugeii Icrnl »ic
AAorle nachsprecheu. Auch alt läßt sie »ich leicht zähmen. Sic
isl nicht nur gescllschalUicli unter »ich, »ondcra auch mit ändern
Ralcnaiten, z.B. den Rabenkrilun und Uuhlcn. Des Nachß ,
wenn »ic sicli zur Ruhe begeben, sondern sie »ich «her ab.
NAHRUNG.
Diese isl ziemlich mannigrallig und besieht au»Mäu»en, zuweilen
auch an» matt geiagicn Hasen, iungen Hünern, Enten,
Fasanen , Rcbhünem , AA'iehleln , I.erchen und ihren Eiern,
iungen Fischen, Fröschen, HeusrhrecLen, Raupen, Hegeiiwür-
mcm, Muscheln und Schnecken , Aas, AAallnüssen, Birnen,
AA'einbecrcn , Abgingen von Kartoffeln , Kraut- und Rüben und
ändern Dingen. Sie ß l übcrh.-.upliclir gcfräfsig.
FORTPFLANZUNG.
Das Nesl, welche» außen au» Ueinen Zweigen nnd Reisern
uadimveiidig aus AA olic und Haaren besteht, baut sie auf Wald-
und übsihäume. hold hoch, bald niedrig Da» \A eibelien legi
des lahr» »neinial und icdesmal vier bi» »ecli» längliche, hcllgriii
fcimn braunen Mecken und Strichen vcrseheno Eier,
eiche in achuchu Tageu «usgcbiütct »erden. Die .Ulen
de» hampe» de» plume»; le* couvertnre» snpérlonrc» de» aile» noire
» avec un lustre violet; Io* penne» de* aile» noires chatoyant cn
vert; les petites couverlurcs supérieures delà queui noire» lustrée*
de violet et li*éréc» de gris-cendré ; les grandes couverture» ctle»
] lûmes de la queue lustrée» de vert; la poilrine, le ventre ct les
couverture* inf'rieures de la quoue gris-cendré, avec une teinte
rougeâtre ct les hampes de* plumes noires ; les cuis»«» noires ; les
pied» et les ongles noir luisant
La poinle de» aile* va jusqu' ù celle de la queue.
Longueur 1. pied 7. pouce», envergure 3. pied».
La couleur gris clair cendrsic ct les rayon» plu» grands , qui
terminent la poilrino noire, distinguent bien du mâle la femelle ici
rcpreri'iitée.
PATRIE.
La patrie de la coraeille mantelée est l'Europe; on assure
cependant qu'elle se trouve aussi dan» l'.tmeriquc septentrionale.
En Allemagne elle habile le» pays plot» et les contrée» voisines de»
villages, ou il y « beaucoup de verger» el de bosquel» cnlouré» do
champ». Du realo ello est plu» commune dan»,le nord de l’Allemagne,
que dans le midi. Elle arrive par vol» nombreux dans
nos contrée» â l'approche de l'hiver ct pour l'ordinaire en Octobre
el elle en répart au mois de Alars. Lorsqu'elle revient dans nus
diiuol» elle gagne d’abord le» contrée» montagneuse», comme nou»
le savon* par nos propres observations, et cc n'est que lorsque le»
neiges accumulées el la vivacité du froid l'en chassent qu'elle so
rend dan» la plaine. On no la voit gucro» chez nous que dans le»
hiver» rigoureux, pressée par la fniiii elle vient accompagnée avec
la cornc'dle ordinaire sur le» grande» route» ct dans les ville» et
le» village». Pendant la nuit elle reste perchré sur les arbres le»
plu» élèvé», ou bien elle se lient au haut dea châteaux cl de» églûe».
QUALITÉS.
Plusieurs naturaliste» assurent, que celle corneille est aussi
nuée, que tous les oiscani de celte fomUle ct quelle l’empoilc
m 'me a cet cgard sur plusieurs d'entre eux, quant à nuus , nous
avons observé, qu'clJe se loissoil aisemeni tuer au fusil, fia voix
est enrouée et son cri ordinaire est: k raili, kraih . Tomes les
fui», qu'cllc fail eniciidro ce cri elle ineUne proFoiidcinent la partie
antérieure de son corps ver» la terre, â l'exnnpic de la cor-
ncillo commune. Prise jeune elle apprend à répéter dillcrciis
mots, ctm.'me déjà vieille elle se laisse aisément apprivoiser. Elle
est en général Irc* sociable ; car uou seulemeiil elle aime la compagnie
des individus de son espèce, mais encore elle recherche
celle do toutes les rsjvèce» de la famille des corbeaux, telle que la
corneille commune, le choucas etc. cependant ello »’en sc]ioru !<'
soir poiu- aller ¡iretidrcsoii repos ct passe la nuit uniquemeul avec
de» individu» de son espèce.
NOURRITURE.
Lauourrilurc de la corneille manlelée est assez variée. Outre
losiovreaur, for«« â la chasse et ép«i»i« do fatiquc, qui lui servent
quelque fois do pâture , elle vit de souri», de poulets, de canardeaux,
déjeunes flilsan», de perdrix, du cailles, d'alouettes,
d’oeufs de toute espèce d'oiseaux, do jeunes poissons, do grenouilles,
de »auteiclles, do chenilles, de ver» de terre, do moule»,
d’cscargul» el de l..uto espèce de charogne; do ¡du» cUo iimngo les
noix, ie» raisius, lea ¡>t lures cl resle» de pomme» de tcive, de rave
», de carotte» de elioux el d'autre» légumes, EUe est en général
excessivement vorace.
P llO I’AGAI’JON.
C’est sur les arbres dea forêts el des vergers tant-'d vers le sommel,
tanlùt plus bas, qu'ello eonslruit son nid, de petits rameaux
et do branchilies d'arbics, qu'elle revêtit intérieurement do laine
ct de poils. La femelle pond deux fois par onnéc, cl â chaque
poule de quatre â six oeuf» de forme oblonguc el d’un vert clair