VERSCHua)ENIlF.rrEN.
I.) Loxia Coceotliraiulcs alba.
9.) Loxia Coccotlirauslca fulvx
ANMERKUNG.
Wir fanden den .Augenstern des Kernheissera rolh; nacJi
BecJutein und der deuUchcn Omilliologie ist er grau. Rclaiu« sagt
«n der Fauna 8ucvica,d»f8 dem Weibchen die «cliwarac Kehle fehle.
E»ut uns wahrscheinlich, dafs er einen iungen Vogel vor »ich gehabt
habe, dem bekannlJich der schwane Flek an dem Kinne fehlt
V.ARlKTtK
s.) Loxia Coccolliraustcs fulvo.
OBSERVATIONS.
Sechstem et ron
ta pruuelic de couleur gi-isc; i[uiuil à nous, uou» l'avons Irouvco
dftin rouge. Rcsius dit dans la l-'aunc Suédoise que la fcmoJlo n’a
pas le jabot noir. U est probable, qu’il a eu »ou» le» yeux un
jeune oiseau, qui n’avoit pas encore, lu tache noire au utcnloa
D E R GIMPEL.
icbüs.r. RoUucbttsel. Sclioiel. ScbmegeL Pliffcbtii. Bromoiti».
Cuinpf. Hriüe- Hoylco. Uciü«. (im NatakcrjiKbca.)
Liicb. Ueliicb.
Loxi» Pjnhiit». Lian. .y>t nsU p»g. Joe. n-4.
LoxM Pyvrhulx Gmet. Uun. lysL nil. Tom. II. p.8«6. a.A
Tbo Balfiocb. Pean.
Lo BoBTTouil. Bnff.
Dm GimptI oder UompfriTe. FtUcb VoT»teUuiij de» Vós«l “ Tentttbl.
L E BOUVR EUIL .
Dompf.fie. Thoirpf.ro. Dorahorr. Thumborr. Dobm • pipa. lilut-
Got.l- L.ub- Lob- QaolKb- QnicUck- RolLfink. HoOigimpol. HoOi-
»cbUi«r. Hoih.clittsot. SclinioL Sclmiojol. Pnrdion. Brommei».
Gnnipr. llaUc. Iloylon. lloulo. (dxa. lo pay» do Kutom-
bevs) Liirh. I.iobiob.
Loxia Pynbola. Lino. «yit. n«t. p.3oo. n.4.
Loxia Pjvrhttta Cmol. Linn. .yit nat T. U. p.84i. n.4.
Tbe BuIBncb. Peau.
Der Gimpel oder Dompfaffo. Friirl VortlcUung der Vögel in Denüci-
. KENNZEICHEN DER ART.
Männchen. Oberleib helloschgrau; obere DeUcdern' de»
Scliwanics weiß; Unterleib rolh; Kopf, Flügi'l uud Schwan*
ichwarz.
Weibchen. Unterleib röihlicligrau, übrigens mil dem
Mäunclien gleich gefärbt
BESCHUEIBUNG.
Schnabel schwarz, kurz und dik, die obere Kiimladc etwas
übergehend, die unter» am Scilenrande eingebogen; Nasenlöclief
milFederclienbedokt; Augenstern kastanienbraun; Oberkopf, die
Gegend uro die Augen, Kinn nnd Kcble samroßclnvnrz; Oberhals,
Rücken undSchuiterahelßschgrau; Schwungfedern schwarz;
die der zweiten Ordnung am äusscm Rande »tahlblaui die grofscn
Dekfedern der Flügel »chillerndschwarz mit wcifseu Enden, die
übrigen ascligrau, Unlerriickcn weifs; Schvi’aaz schwarz, »lahl-
blniiglänzcnd, etwas gespalten; Unterleib karmoßlnrotii, Bauch
weiß; Fuße schwarz.
Länge li{ Zoll; Breite ii Zoll,
Die Flügel bedecken die lUllIc des Sciiwanzcs.
.AUFESTH.ALT.
Canz Europa und das nördlicbc .Asien, ln DcutscMand sind
sic bekannt genug. Sic bewohnen die gebirgigen AA aidungcn.
Beide Gcschlccliler leben hier fast beständig einsam beßammcn.
Erst im Novonber bilden sieb kleine GcseUscliaficn, die ton einer
Gegend in die andere slrciclien und bei grofser Kälte auch in
die Gärten kommen. Im März suchen sie, ohne daß sie aus
Dcußchland wandern, ihre allen Standorte wieder auf Man kann
tie (iaJier mit vollem UccbteunlerdiedcuUchenStrichvogel rechnen.
CAR.ACTÈRES SPECIFIQUES.
M i l e . Le dessus du corps gris cendré, les couvertures supérieures
delà queue blanches; le dessous dueorjis rouge. Lalcic,
les ailes et U queue noires.
Femelle, Ne diffère du mòle que parce que le dessous du
corps est d’un gris rougcilrc.
DESCRIPTION.
Le bec noir court et épais, 1a mandibule supérieure dépassant
un peu rinférieure doni le bord est recourbé en dedans, le»
narines couverte» de petites plumes; l'iris de l’oeil cliilain ; le haut
de la téle, la region de l'ocil. le menton et le jabot tout noirs.
Le dessu» du col, le raanicsn et les épaule» cendre clair, le» pennes
de» ailes noire», celle» du accond rang, sur le bord extérieur
bleu d’acier; le» grande» couverture» de» aile» d'un noir chatoyant
avec le» pointe» blandios; les autres grisccodré; le bas du manteau
blanc, la queue noire liront sur le bleu d’acicr et légèrement
fendue. Le dessous du corps crauioisi; le ventre blanc; le»
pieds noir».
Longueur 6^ pouces. Envergure ii . pouce».
Les aile» recouvrent la queue jusqu’à la moitié de la longueur.
Sa patrie est I'
PATRIK
e l’Europe et le nord de l’Asie. B c
Lo
à part. ■
lù il habite les forêt» des montagnci
mt presque toujour» cnscmblo cl chaque
qu’en Novembre, qu’ils se réunissent en
petite» troupe» qui passent d’une contrée dan» l'autre ct qui dan»
le» froids rigoureux viennent jusque» dan» le» jardin». Au mois do
Mors, ils reviennent dan» leur iiircmicre habilaüon, »an» avoir
quitté l'Allemagne pendant l’hiver. On peut Jonc le» regarder avec
raison comme oiseaux de passage appartenant» à l’Ailcmagne.
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