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Khmutzigflciscliroth; Scliwanz achwarz, an der Spitze mit einem
weiften Bande; Füße blaß ilciwUßrbig. Dio Fliigei hed«kcn die
lUmo de.Schwanz«». Länge 7 ZoU, Breite la ZoR
AUFENTHALT.
Der Kenibcißer ßt ein bekannter Strichvogel, bleibt aber im
Winter bei un», wenn er Nahrung genug findet. Er wohnt in
gebßgigcn Laubwäldern, die aiu Buchen und Ahorn bcatchen,
auch in den Gärten der Waiddörfer. Im eiiillichcn Deiitacliland
ßt er häufiger aß im nördlichen und auztcrdem auch noch in
mchrcrn ändern Lindem von Europa anrulrcfien,
EIGENSCH.AFTEN.
Seine Lokiümmc, die er imFrühiahr auf den höchrtcn Bäumen
aitzend, hören ßßl, be.lchl in einem durchdringenden ß,
zift! im Fluge aber ruft er zik, zik! Der Gesang de» Minnchena
ßt unangenehm. Im Sitzen bewegt er den ganzen Körper hin und
her. Er hat einen geschwinden Flug, obgleich sein dicker Kopf
und Schnabel nebst dem kurzen Schwänze nicht dazu geeignet sind.
IndesKn hilft er »ich durch da» äus»er»t »ciincHc Rudern mit »einen
Flügeln. Im Freien ist er, wenn ihn nicht der Hunger kirre
macht, scheu, und läßt niemand leicht nahe an »ich kommen.
Sind ihrer'mehrere auf einem Kirschbaum mit dem Aufknacken
der Kirschkerne beschäftigt, so verhalten sie »ich äusserst ruhig,
und man würde ilir Dasein nicht almden, wenn man nicht durch
die herabfallenden Kirscheniheilc davon überzeugt würde. Im
Zimmer dulßt er keine ändern Vögel neben »ich: er zerknickt
Urnen die Füfse, rauft ilmen die Federn aus und empfiehlt sich
aßo auch in der Hinsicht zu keinem StubcnvogcL
NAHRUNG.
Kirschkerne — denn das Fleisch der Kirschen vcrscbiiuht er,
— sind seine Liebiingsspeisc. Wciftbuchcnsamc, Husciuüssc,
NVallnüsse, Pflaumen, Schieben bricht er mit Leichtigkeit aufund
nimmt den Kern heraus. Ausserdem frifst er auch Massholdcr-
Aliora- Tonncn-Fichten-Rüster- und Lcindollcrsamen. Vo-
gclbeerkcmc, Bucheckern, Kohl- Rüb- Hanf- Heilig- und Sa-
latsamen. Seiue Nalu-uiig ßt also mauoigfallig, und doch fehlt cs
dem Fresaei- zuweilen an dieser'
FORTPFLANZUNG.
Gewöhnlich findet man sein Nest, das au» kleinen Reiscra
und zarten Wurzeln gebaut ist, auf hohen Buchen, übslbäumcn
und Gebüschen, worein das Weibchen drei bis fünf stumpfe, aacli-
grauc ins grüuliclie spielende und mit braunen Flecken versehene
Eier legt, die beide Gesclilechlcr wcchseUweisc iu vicrzefm Tagen
ausbrülcn. Die lungen sehen vor der ersten Mauser dcu .Alten
ziemlich unälinlich. Auch fehlt ihnen der schwarze Flek am Kinne.
NUTZEN.
Bir Fleisch hat einen vortrcilichcn Gcschmak.
SCHADEN
stiften sic in Gärten durch ihre Naluung. Ihre
FEINDE
sind mehrere kleine Raubvögel.
lAGD UND FANG.
Man scliießt sie am sicliersten aus Hütten, dio man in der
NlOie der Kirschenbäume macht. Sie gehen auch auf Leimm-
ihcn, Vogclhcide und io Sclmeufsen.
avec un liséré blanc. Ies pieds couleur de chair p&le. Les ailes
recouvrent la queue jusqu'à la moitié de sa longueur.
Longueur 7. pouce»; envergure ta. pouce».
PATRIE.
Le gros-bcc est un oiseau de passage tri» connu, qu! du reste
passe l’hiver dans nos contrées, lorsqu’il y trouve de quoi subsister.
U habile volontiers dans les bois de hêtres et d'érables de»
montagne»; on le trouve aussi dans les jardins des villages de
montagne. U est plus commun dan» le midi de l’Allemagne que
dan» le nord, ou le trouve en outre dan» plusieurs autre» contrée
» de l’Europe.
QUALITÉS.
Le cri d’appel, qu'il fait entendre an printcm», perché sur
les arbre» les plu» haut» est un iz, zif» très perçant, loriqu’il vole,
ce cri se change en zik, zik. Quand il est posé il remue tout
le corps tantôt d’un côté (aniôl de faulre. U vole avec beaucoup
de vitesse quoique la grosseur de sa lite et de son bec, ainsi que
la longueur de sa queue semble annoncer le contraire. Mais il y
remédie en ballani des ailes arec une grande activité. Dans l’état
de liberté il est très sauvage à moins qu’U ne soit mâté par la
faim et il nosc laisse point approcher. S'il »'en trouve plusieurs
»ur un cerisier occupé» à casser le» noyaux de cerise ils ié tiennent
extrêmement tranquille» et l’on ne le» soupçonneroil pas ri le»
petites parcelles de cerise», qu’il» laissent tomber ne le» trahissoient.
En chambre le gros-bec ne souffre aucun autre oiseau dans son
voisinage, il leur pique les pied», leur arrache les plume» ct le»
maltraite (i crucUemenl, que »ou» ce point de vue, onncsauroit
le mêttre parmi les oiseaux, qu'on peut garder eu chambre.
NOURRITURE.
Le» noyaux de cerise sont ce qu’U aime le micni i manger,
car pour la pulpe même il ue s’cn sourie pas. Les graine» de
charme, les noisetlcs, les noix, les prunes, les prunelles lui conviennent
aussi, U les casse avec beaucoup d’adresse ct en extrait
le noyau. U mange aussi les graines d’érable, de platane, de pin,
de sapin, d'orme et do cameline etc. les sorbes sauvages, les faines,
les semances de choux rave, degenvre, de radis ct de laitue.
Sa nourriture esl donc très variée ct cependant il en manque quelque
fois 4 cause de sa voracité.
PROP.AG.ATION.
On trouve pour l'ordinaire son lUd, qui est composé de petites
branches el de racines meuues sur le» grands hêircs, ou bien
sur les arbre» fruitiers et les buissons. La femelle y pond de Irois
âcinq oeufs üe forme ovale mousse, de couleur ccndrê-o, avec un
cliatoycment verdâtre et des (aehes brunes. Le père ct la mère les
couvent alternativement pendant quinze jours. Les petits avant la
première mue ne ressemblent guèrci pour la couleur à ce qu’ils
seront un jour el n’ont pas encore la tache noire au menton.
UTILITÉ.
Ou les mange el leur chair a un goul exquis.
DOMMAGE.
lisse nourrissent à nos dépens dans nos jardin» et nos vergers.
ENNEMIS.
Leurs ennemis sont la plupart des pebU oiseaux de proie.
MANIÈRE DE LES TUER OU DE LES PRENDRE.
On balit de peüle» cabane» au pied des cerisiers et c’est ds li
ni à coup de fusa On le» prend ausai
nux gluaux, au filet et dans les aires.