sí EIGENSCHAFTEN.
Nach Goeze toll der Goldamm«' ziemlich icheu sein. Wir
glauben diesem Unheil nichl bcialimmen zu können. In der Gegend
um Nürnberg i.t esc« wcnigalcni, auch «uftcr der Winter-
Klt nicht. Sam Flug ist «hncü. Un Sitzen und Gehen ist rein
Körper in bealiüdiger Bewegung Er zeigt überhaupt viel Gewandtheit
nnd Lebhaftigkeit, ob cr gleich im Käfig etwa* rehwer-
ISIIig sich botrigl. Seinen nichfruntngenehmen Gcmng läßt cr
vom Februar an bi» in den Aogtut auf der Spitze eine» IJaiim»
oder eipc» Heckcnatrnuiht sitzend , hören. F,r besteht gen öhn-
lieh aus »icbcn bu neun hellklingenden Silben, die »ich durch ti,
li, Ü, lüil, die lezte Silbe lang gedehnt, ausdriickcu laitcn. Im
Affekt *=hrcil er auch zip, zap ; im Fluge auch ziap xiap, zörre.
In Ocrellrehafl feine» Gleichen nekl und iagt cr »ich beständig mit
ändern herum. Im Zimmer wird er ziemlich zahm und lernt iung
aufgezogen, den Finkengesang,
NAHRUNG.
Er rebeint rieb mehr von Kömcm als Insekten zu nähren.
Zum Ausspclzen der Körner ist ohncdieesehon »ein Schnabelvor-
freßUeh eingerichtet Haber ist seine Liebüngmahrung Auser-
dem fiifst ersuch Gerste, Hirsen, Ileidekora, WcgbrciUamen,
Vogelweglritt- , Mohn-, Lein-, Haufsamen. Fliegen, Käfer,
Mücken und Raupen »oll er auch fressen und seine Iungen damit
aus dem Schnabel ftiUcrn. Im Zimmer mufs man ihnen öller»
schwarze Erde gehen, die »ie gem , vermulhlich der Vcrdaumig
halber, üessen; eben so nodiwendig. wenn »ic einige lahre dauern
jollcn, sind ihnen auch Insekten, indem »ie sonst leicht an der
Auszelirung oder an den Folgen der Mauser sterben,
FORTPFLANZUNG.
Sein Nest, das aufscn aus künstlich verwebten Grashalmen,
Grashlältera, Würzelcben, Heidekraut und inwendig au» \4 ollc,
Pferde- und Kühhaarea besieht, bauet er in niedrige Gebüsche
oder Hecken, worein das Weibchen drei bis fünf schmutiigweifse,
blaß- und heUbraun besprizle und geaderte Eier legt, die in
dreizehn Tagen, von beiden Gcsclilechlero wcchselsweise «usge-
brütct weiden. Das Männchen »izt tä^ich wenigstens vier Stunden
über den Eiern. Die erste Brnl ftdll, wenn warme Witterung
einrällt, im März und .April, die zweite im luniu». Beim
Füttern machen die erwaclisenco langen ein liemiirhc» Geschrei,
und verrathen dadurch kiehl das NesL Die Iungen »chia bis tue
ersten Mauser der Mutter gleich.
NUTZEN.
Sein Fleisch isl im Herbste, wenn er gute Nahrung hat, »ehr
»chmakhaft. -Man kann ihn auch mil lUfer, Hirsen, oder Semmeln
und Mücli wie die Ortolane mästen. Durch Vertilgung der
Raupen ,
Eigen
a welche frifst, wirdcr cbcnfall» nüzlieh. Ei-
SCH.VDEN
• iu Getreidefeldern.
FEINDE
m den Füchsen , Mardern, Iltissen, Wieseln. Katzen
M-ber. Auf »einem Kopfe fanden wir auch Pediculu»
!.
IAGD UND FANG.
I, da er nicht scheu ist, mil der Flinle leicht erlegt
uch kann mao meltrerc mit einander sehiefseo, wenn
QUALITES.
Suivant Gocze le bruant est un oiseau assez sauvage, mais
nous ne croyons pas devoir soucrirc à ce jugement ; au moins
dims les contrées de Nuremberg U ne Veil, ni en hiver, ni
dans aucune autre saison. Son vol est rapide. Soit, qu'il s'arrête,
•oit, qu’il marche, son corp» esl toujours en mniivcnienl. U montre
en général beaucoup de souplesse et de vivacité ; mai» il la perd
en grande partie en cogo, il y devient lourd et maussade. Son
«honl n’est point désagréable. XI le fait entendre depuis le mois de
Février jusqu'au mois d'Août, co se tenant pcrclié sur le haut dea
arbres et des buissons. Ce cbanl consiste pour'Tordinaircen sept
à neuf syllabes d'un Ion aigu , qu'on peut rendre par ti, ti, ti, ti,
t iiil, cn remarquant, quil allonge eilrêmemenl celle dernière syllabe.
S'il éprouve ipielqnc émotion alors il fait entendre un cri tout
particulier, uncertain l»ip tsap, qni se chango lorsqu'il se met à
voler en tsiap, tsiap, Isoirre. Ces oiseaux entre eux ne ces-
»enl de s’agacer el de se poursuivre. En chambre ils s’apprivoisent
aisément, et s'il» sont cneor jeune» on pont leur apprendre le
chant du pinçon.
NOURRITURE.
Le bruant paroil sc nourrir plutôt de grains, que d'insecte»,
et son bcc est parfsitemenl bien construit pour égrugcr le grain.
L'avoine c»l ce qu'il aime le mieux. Du reste il mange aussi l'orge,
le millet, le sarrazin, le plantain, la renouée elles graines de pavot,
de lin el de chanvre. 11 inouge aussi, à co qu'on assure les mouches,
les scarabées, les moucherons, el les chenilles et U lea donne
à minger à «e» peüts i la bequêc. Si on le üenl en chambre, il
foui lus donner souvent de la terre noire, qu'il mange volonüers,
»an» doute pour faire ladigisliou. lUaut aussiavoir soi», si on
veut le conserver longtem», de lui donner de Icms en lems des insectes,
parce que sans cela ii meuit du marasme ou des suites de
^ PROPAGAÏIO.V.
C’cst dan» lesbaisson» ou les haies basses que le bruant fait
son nid, qu'd eonslruit de brin» d'boibes el de bruyères, de feuilles
degranic-usct de pcütes racines entrelacées artislcment ensemble, et
qu’il tapisse intérieurement de laine, de crin» de chevaux et de poils
de s aches. Cest là, que la femelle pond deux fois par on de Iroi»
i cinq oeuf» d'un bianc »aie avec une quanüté de point» cl de veines
d'un brun pile et elair. Lo couvement doiU ie pète el la mère
se chargent alternativement dure treize joms. Le mile couve nu
moins quatre heure» par jour. La première couvée, si la saison
est favorable, a lieu cn Mors et en .Avril, la secondeen luin. Le»
peüls, lor»qui’l»6onl déjà un peu grand, font assez de bi-iüt enpre-
naiil ia bequéc, et se trahissent par là faeUcment lusqu’ à la pcc-
mivic mue iis icsseiublenl beaucoup à la mère.
U T ILITÉ.
La chair du bruant est 1res bonne cn automne, où il a abondance
de nourriture. On peut aussi l'engraisser tout comme Toiv
t„| m avec de l'avoine eldu millet ou bien du pain blanc et duiail.
S'il esl vrai, qu'il détruise ie» cheiüUe» pour s’en nourrir, c’vst ua
service éssenlicl, qu'il nou» rend.
DOMM.AGE.
11. causse du dégât dans le» bleds cn pillant les grains.
ENNEMIS.
Il a pour ennemis les riBurds, les martres, les putois, le» belette
», le» cbaU elle» épervier». I aria téle de cet
eauTespi'Codcpoux appeUcc, Pedicu.
1 l ' i
M.ANlIiKE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE.
Comme il n'est pa» fuyard on le lue niscment au fusil. On
peut aussi cn tuer plusieurs d'un seul coup en hiver, si, pour les