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er«tco um] zweiten lihr ß t das Weibchen auf der Dnist mit mond-
rdrniigen, bcUbraunvn Linien bczeichneL
Dio Iungen, von welchen hier ein» abgebil'ltt ßt, sind
anf dem (»herleihe aschgrau, schwärzlich gewellt; die grofscn
obtjn Dckfcdem der Flügel, und dß Raderl«lcru »ind braun-
»clnvarz, an den Spilzen weifslich; Unlerieib »ehmu(zig«.;irs, an
den Seiten in» Roslröihißhe übergeliend; Fiiüe bleifarbig, Sclina-
b«l am Grunde bläulici), vorne schwarz; Sclinabclninkd roslgelb.
AUFENTHALT.
Er bewohnt nicht nur ganz Europa,
Le» dcnx première» année», la femelle est marquée snr la poilrine
de ligne» bron-clolr cn forme de croissant
Le» pclil», tel» que celui, dont nou» donnons ici la ligure,
ont le dc»»us du corp» cendré, avec des onde» noirilre» ; les grande
» couverture» »upérieuresdcsailc» ainsi que le» penne» sont noir-
brun avec la pointe blonchilre; le dcssou» du corp» e»t d'un blanc
sale passant au rouille sur les flancs ; le» pied» «ont couicur do
plomb, le bcc blanchâlro i sa base cl noir sur le devant, c
angles du bcc d’uu jaune do 1 lUilte.
PATRIE.
icndem »uch Nordsmerika. Iu DcuUcbland bleibt er da» ganze
lahr hindurch in Gärten , Vor- und Fcldhölzcm. Hier sizi er
gewöhnlich auf der obersten SpiUc der Bäume und lauert »lun-
denßng »uf »eine Nilirung.
EIÜEN.SCIIAFTEN.
Ob er gleich keine bctriehllichc Gröfse hat, »0 besizt er doch
eine »olcbc Hcrzhafligkeit, und einen »oUhen Muth, difs er »ich
sogar bei gröfscm Raubvögeln als er »dbslßt, z, B. dem Sper-
ber in Anselicn zo setzen weiß. Au» Nahruitgsncid macht er
durch ein gewisses Geschrei: Irui, Irui, kleinere Vögel, die sich
vor «einer Gegenwart gar nicht »clicuen, auf dio Ankunft eines
Falken aufmerksam, woher er auch den Namen Ex'.uhitor, Wächter,
bekommen hat Außer *emcm Loklon: gihr, giln-, läfst er
noch einen eigenen flötcnarügen G«ang hören , wobei er die
Kohle wie ein Laubfrosch aufbläsct Er ahmt auch dio Gcsiingo
ondercr in »einer Nahe »ich befindenden Singvögel nach. Dio
Singzeil dauert nur vom März bis in den Mai. Sein Flug ist kur»,
abwechselnd, «clmeD auf und nieder schwankend. Zuweilen llat-
lert eraucJi «uf einer Stelle in der Lufl, wenn er unter sich eia
Thierchen bemerkt, da» ihm zum Fai^ noch nicht bequem genug
ist Seinen ßngcn Scliwanz hält er öftere in die Höhe oder
bewegt ilu» auf und nieder wie eine Elster. • Er lifst rieh iung
und all leicht zähmen. Einer der \ erfasscr ernälirtc einen lungen
mit Ameisenpuppen und geriebenem «ngcfeuclilclen weißen
Brod und tUzwßeben mit kleinen Stücken Oelisenlimge, dicvor-
luT mil heißem VA'asscr «bgebriiliet war. Die neisclif.icgen nahm
er vom Finger begierig weg. Seinen Scliwanz llieil er bcsUu-
dig in die Hölie. War er hungrig» so »ehrte e r: krek, krck.
.Anfangs, als er in den Käfig kam, war er zornig, legte »ich auf
dio eine Seite und blieb in dicicr Lage eine large Zeit. Seine
Efsluslwar ziemlieli »lark. AA cim er frafs, »o mufslc er sich immer
viele Mühe geben, bß er ein Slbkeben Fleisch, das ilim
gewöhniich an einem Zalm hängen blieb, in den Rachen brach-
le. Auch scbleakerte ec öfter» »em Slükchen Lunge an den Käfig,
mn e» bequemer aiq-ackcn zu können. Zuweilen Liell er »einen
Frafs mil den Zehen de» einen Fufse» in der Höhe wie ein
Papagei. Er »taiiil auch öfters lurr »uf einem Bein. Im AVasscr
badete er »ich sehr gerne. Ucberliaupt flatte dieser A'ogol viot
Drolliges in seinen Gebärden und Stellungen.
NAHRUNG.
Sie besteht im Sommer vorzüglich aus Hirsch - tmd Mislkä-
fun, MauKvutftgrillcn, Heusclirecken, FcidgriUcn, Blindsohlei-
clicn , Eidechsen , uud fehlen ihnen diese «He, au» .Aläusen und
kleinen A'ögeln. Im AViiilcr. geben »ie auf ¡die Goldammern,
Zeisige, Mäuse, Maulwürfe. Auchgreifca sic sogar Krammcß-
EIlc habite non seulement toute l’Eorope i J’exeopüon da la
Sibérie , mai» cneor rAmérique eeplenlrionale. Elle rcsto toute
l’année cn Allemagne, dan» le» jardins, le» avanl-boi» el le» bosquet
» entouré» do champs. Elle «0 perche potm l'ordinaire sur la
peinte la plu» élevée des arbres, d'où elle épio sa proie pendant
des Iteure» entière».
QUALITES.
Quoiqu’ elle »oittic petite taille, elle a cependant tant d’intrépidité
et do coui-agc, qu’cllc soit se foire respecter d’oiseaux do
proie beaucoup plus gros qu'elle, tel» que l'épcrvier. Ccst par
jalousie de métier, qu’elle avertit par uncertain cri Irui, I ru i les
pclil» oiseaux, que sa présence n'effarouche point, de l'arrivée du
faoeon, aussi les naluralUlea lui ont-ils donné le surnom il Excu-
b ito r , c. à d- »entiiicUc. Outre son cri d'appel gilir, gilir
elle fait entendre un chant tout particuber, qui a quelque chose do
flùlc ct pendant elle gonfle sa gorge comme la grenouille d’arbre.
tUe imite au«! les modulations de» autre» oitcaiix cbanleurs, quise
trouvent dan» son voisinage. La saison du chant 110 dure pour
clic qnc depuis le moi» de Mars jiuqu’ au moi» de Moi- Son vol
Cjt court, inégal, rapide avec de» bafancemensallcrnatil» en haut
cl en ba». Quelque fois elle reste à la même place dans l'air ct»
ballant doucement de» aile» cl c'est ior»qu’elle remarque au dessous
d’elle quelque animal, donl elle veut foire sa proie, ct qui
n’est pas encor assez à »a portée. Elle tient le plus souvent sa
queue relevée, ou bien elle la remue de bas cn haut comme les pie».
On l'apprivoise avec ftcailé tant jeune, que tieilic. Un des coopé-
raleurs de cet ouvrage a nourri un jeune oiseau de cette espèce
avec de» oeufs de fourmis et du pain rapé et humecté d'eau, mtV
de petit» morceaux de poumon do boculj qui vciloit d’etre échaudc.
Il mangeoil « c c beaucoup d’avidité les mouche» à viande, etve-
Doil les piquer iusque» dan» ia mai» de celui, qm le» lui préscu-
loil. II, porioit continuellement sa queue rélèvée. Quand il avoit
füim, il faissoil entendre un certain krck, krcfc. Dans les premier
» jour» de sa eaplivite il eloil très eu colère; H se couchait
sur le rite cl restait longtems dans cette altitude. II avoit pour
l’ordinaire Uc» bon appétit. Lorsqu’il mangeoil il avoit toujour»
beaucoup de peine à faire passer par »on gosier les petite inor-
ecaux de viande, qui rcsloicnt accrochés à la dent dubec. Souvent
aussi il lançoil contre le» parois de sa eagc les morceaux de poumon
qu’on lui doimoit à manger pour les saisir ensuite plu» com-
niodcmenU Quelquefois il »aisisaoit sa nourriture avec un do sc»
pieds cl 1« tenant en l’air comme font les perroquet». Souvent
aussi il reposoit sur une jambe, ft abnoit beaucoup le bain; ct
en général il avoit quelque chose do trè» comique dans scs allures
cl dans scs attitudes.
NOURRITURE.
En été notre pio-grièdic se nourrit principalement de ccrfs-
Tolanlsct dcbooziers, degriUon-laupe», de saniercllc», degrü-
lonsdocliimips, d’anvoies, de lézard» el á leur défaut do souri» et
de petite oiseaux. En hiver elle donne la chasse aux verdier», nus
larias, aux souria ct aux taupe». Elle s’attaque quelque fuis mémo