sentiment, que^njpuS^ayoïis.-crui faire une chose
^ ^ j^ ^ ^ ^ ^ M f e g ^ W ^ ^ g ^ ^ p iesyà^siDlenae'ur^^^SNOT^j^^l^a atteint
si n < S ^ |^ S et' temps
cie de nfyslim ^ ^ ^ ^ ^ a^ t^ èjg^ n tiq u^ feep c^m cg
des beaux-arts, l’a emporté l’atterre
exprimer
MHfflBBHBÉieiiiil g j& ^ ^
arjt< anüque^mô^^y^ti^^^^^^^^^^^^u^lçs,
progrès de l’art moderne. .
Il Ijp^^^^^^^gmiim^ff^iM^én- terminant ^cettell ongu é opérati on, à ex primer notre reconnaissance,
d’abord au gouvernement pour la munificence avec laquelle il a ordpnné et
encouragé nos travaux, et ensuite à la. commission deyBInstitut<^:^nom^uI^ffe^lpà:rc,èt
^ ^ ^ ees^à^cetfë^ommissio^^u^^iousi^^^^^|^^^^^^|^^^^^^^:eiiTpignag^cl^
M^ f i^ ^ illmplus. f^^|^^^m^^^^pussions ’bien
voulu suivre avec intérêt FaccompHss^ pous aider de ses
lumières toutes les fois que nous y avons eu recours pour la publica^^^Ep^^^^p ra^ ill
sciÈETBRr £
* I^smeaffires' de cette commission étaient MM. Ciiider^et'G^ ffioy^ S^^ ^ij^ l^ ^ ^ ur l’Académie pëg^&mcesp
MM. Hase et Raoul-Rochette, pour l’Académie des inscriptions et belles-lettres ; et MM. Per^ e^ ^Muyot|goMglAca-
^ ^^IdeSBfeaSfearts^^l^
-1 Nota. Nous croyons devoir rappeler'que^les'^expHcatidmidHriscriptibxis.contenues dans ce volume sont dues, ainsi
<jue<cell^£[inse trouvent dans les .volumes précédents, à notre ami M. Ph. le Bas, membre de I’|^d|mi^Q^ ^ ^m ^ ^ ^ |
et belles^lettres, qui a bien'voulu en outre surveiller l’impression dés autres monuments^épigraphiques.„ ' *'
D É P A R T D E N A U P L IE .
Le jou r même où nous nous embarquâmes ,à Nauplie pour nous rendre à Syra, le 7 août 1829,
W ^ a i^ ^ û | f r a a ^ a i s ^ ^ ^ ^ ^ K ^ ^ § r o | ^ ^ l e^ e ^ i V a l rdê R o^ a rne^a v a infa it^so^^ ^é e^ d^s
par la
^ K S t ê Ç f ï a ^ i s e
amirab • ^x»“'
dont.
amphithéâtre. Sur les hauteurs qüi la dominent on remarque plusieurs couvents, e t, comme,à Spetzia,
une grande quantité de moulins ; mais l ’aridité'de toute cette île est telle qu’on a peine à concevoir
comment une v ille devenir florissante sur un sol aussi ingrat.
sur lequel on aperçoit encore les ruines du temple de Minerve__Poussés ensuite par un vent assez
bientôt après mouiller dans le port de Syra (Syros).
S YR À (SYROS). #
^ ‘Pendant sept, jours que nops restâmes à Syra , nous eûmes le temps d’en visiter les environs, qui
-nous parurent d’une grande stérilité. Toutes les parties de la côte qui sont exposées au vent sont
couveûtes de moulins d o fltp ftjlîm ffill^ ^
$ { jjÇ v^lër .èst jW E M ^ y ^B BH ^ es i i o m b r e ^ ^ ^ ^ M B E I B ^ ^ M ^ B B M B i t tH W a S O ^ ^
dehors «.est le pied de lacjuellë
a été taillée dans un bloc
T O i à n l m a p p o r t d B w B B ^ P l o^ î ,t ' ^ *
L a.tfflllfi.haute'e^cmspmtp^ia^ ^^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ a i f q ^Lë ejt entièrement
A la cime est une petite
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