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réciproqueJ0 qu’ils so juraient, au témoignage d’Aristote11, sur le sait ce dernier peuplp aux Béotiens35, permettent de le penser.
!^romé^üvdTo]ÿüs^liami'-d’H'ércûIe>é'6;leîcompâgnbn- de ses^travâtixU?]ÿa*ésociationsesaMMB3eMrwSMi^ | fondamentaux' des
Cette assodiation1 fatSvraisemliÉ^é^éntli^^mflet« de-lat'so’ciété ouf constnfùtions' doriennesw;ll,îsnffi^^^^^®^'lésiipâi'ria''de:Sparte
hitatrie' pythagoricienne'3?, .cette' franc-maçonnerie de l’antiquité,^ 1 imitation» des» «v^BStat o'^w'Sp^delmCrfet^^’; la diirisioritdéslcitbyens
; qui- avaitssesi/lpis et ses signes* 3e reconnâissànceJ^ {<.^ÿ«^':^ni sait- à Lacédémone en àyskca35 ou (3oiïat36 et IXai 37. Ce nom môme de
que le pythagoricien L y s i s g r a n d e Gi ecc pii ddhné^au repas pris en commun, celui de xaestç et de xatri-
,éuile des p'ôiséculions auxquglRîsj; sa scct^îéjfaTt en butte: depüis - -pSl^?||üfe’*rebefâicng les membres de la même ccfCkn3S, prouvent
*l<( mort de Pythagore*5, s’était réfugié à Thèbes, y avait fondé suffisamment, ce me semble, que l’amitié, et le dévouement qui doiji^
meécole, et avait «eu Épaminondas pour-disciple*§'. 11' est pro- pn fitie la cou équence| étaient un des principaux devoirs imposés
rhalile qù’ilt fit sentir à\ce grand1 Iïbmmé\éif'à ses ami&jt^u^lja^m^t^e' 'e»à cès^sgciati(ftis.l-/0n!ji^m^^^ffiB^que^quë]q,ùe institution semblable
d une association 'fondée sur le dévouements et surjl’Ii^^raë^j-.et ‘ existait à Lesbos,' soit qu’elle y eût pris naissance avec la première
que, dîhprgs; scs conseils, C-orgidasucréa*'1 e bataillon sacréfqnb cons l^i^lgüpn, soit qu’él'le'y?jpût ‘été fondée par suite d’dne influence
t ribuasi;effiéacèmfent/auX'i‘progfês> de- la puissari'c&i^^^^^^^u^^^^^^^mre#Mais 1 çomi^^^^Ma^^t^fcbs^.déûxiconieCtures>? Lies
mourant & Cher^^« ^ ^ w d e^pt^l^d’admiratidn!aa\TOmq^urg9^fevilles::'de:Lesboâ< dcpuisçlléxpulsionr des tyrans, furent presque tou-
iL’i^ n^ ipài în’&fliIpaViît pas avec ces généreuses victimes . %i^/JcîSï5)ridi!viscês, pt partagées entte^llesfâfeuS^prmGip^^^^^)les' de la •
tôle 5 ^niijiqLUOnousl«appren!df®J|itiû,qjië39‘, le disait formellement-*1; -Grèce, qui'»-y-entretenaient.des Actions dans l’intérêt de leur poli-
niais désormais, sans but politique, elle dut devenu moinsjmpoïV tique : ce fut peut-être dans ces temps,
tantelêtlSë^BoïnCTià! des1 relations d'amitié'-; à des' preUvesîd&.déÿpuèS; le besoin d’unité-'devaitis^^aire plus vivement seutiryaUx‘véritables
•nient réciproque, comme toutes celles dont les inscriptions grecques âffiis demeîn|fpays. qu’une associatif SytHiti goüg.objet de îappio^ÿ ■
■îmoMTO^rWélé^llexistence'j-et qui, presque toutes;»apparti^nënt|^ ,cher les différents»partis*, s|§hs le but généreux d’assurer l’indépen-
- ces temps malheureux où les Grecs se survivent à eux-memes, dance de l’île, aura été formée'-par. iquëTqlioeicitoyéns^nit^l^aûXvdoc-
mais où il n’y a plus de Grèce. »s' . « > trinês*d^Ms^ére^t^^^^^^ ^ ^ ^^^a^parjy, jiiêiserais/disposé
^association! dé^^^^ayai^l^^commeiGelle de,sThèbes^ une iptic§pre,'*et*;je ne saurais m’empêcher;de;ra^)'peler/ ici une circonS-
t, oi îgme pythagoricienne3 Les rapports intimes qui existaient entçgt ,tan<?e de la guferrëxdu Péloponèse qui peut ^em^à^Kappniÿqga0^!110
>]es‘‘iD[àrièAs^^^^Êqliêirs^ et surtout le lien de parerilé qui unis4
-<rnj|j£â toDto. Ibid. ’El épWTixîiç çiXfaç cvvj]p(tospévov crîasç. Cf. Polyen. et Athen., 1
Jbids A^tetoi SI xal
iv xal sEapâtntÇeiv.
C’est l’expression d
^ ^ 5",>
tf xoti -
'e Pytliagore, § a37 e
le rapporter. icïi'TTn ,p
dans une auberge'où H^t.o
irees; l’aubergiste, toiicl
le inscrivit des signes - su
38/: en cite un exemple trop cume
tablette (rpfyat p'riji&fàjyj
le fixe l’attention de quelque pasm
m
'feîtpM|n^|-T3m®ip de Pinthias : SuvéÇuv yip oî avSpêç cSroi xâl éxotvtoveuv
àr-ir-bsi S 3. Du reste, Bf. E.nsche, op ciL, p 27 et sniv^î.aftrès-bien'êxpUqîic
■ dePythagorei fjÂ, f f
** Mut K deÆèüj&c. 18 : *üç ayènav
jiAXovto;, geoixev-i; xa'i 5rà6oX5v3ii -aw mpvou Suïmi ü Zlsov 'Ôsws, Sorii, ^ (u
WjÊjjfà ipSftwoç oplëv zrà vcarou'-^rpu^ev als/wOJ. '
*v*QgSfixgAc7^ia»VTïvfei>p5y^-nilicvtxgoù<l6t^9fe~oî83^^^^^Se5^ovi3;»~/Mplov
b Totî crsvotî, 8^01« xal pt-' SXMfan ivajirpiujuvouç, Oaupacavra, xal =uOo(jx»v
û; h twv ipacrüv xal tSîv IçupÉnn£vktïi) Sqpcpisat xal ebctlv* ’ÂvcdXotVTa
m m
ii sq. cd. Flor.; Plut. (Symp^glLj qnsest. ix,
t. X, p. ÿoS.,'i?/d%>c.) c. ao.tIV, p. 33o. — Sur les deux noms
a Pylhagora'comlltoe scopopolilico. Goettîngæ, i83o, r,°, p. '/,3. et 44.
Plut, de Genio Socr. t. VIII, p. 3o4.et-s0iv.j Iamblichus, V. PyiA.,SM9i
Porphjr,§ 55 TouKpôrte à croire que les persécutions auxquelles Its pythago
liant longues années. Voyez M. lî-viscbe, loc. eit., p. 100 ad fin. Une secte
Probablement les historiens de l’hoairie pythagoricienne venus longtemps
après son éxpu^n'tde^lltolïejîpnt^pour,ajouter- de l’intérêt i leur .récit
Voilà comment, dans Iamblichus et dans Plutarque, Lysis rat le contemporain
dePÿthagorë, tandis qu’il est né dans l’OI. XCII (vers 4» ans a v J c ),
à-dir’è‘'85ansaj5rès'lamortd‘uphilosophe'deSamosj*enad(3ptabt;Iadâted'E0-
sébe. Voyez Clinton, Fasli Ilcüenici ad 01. LXX, M. Krische (p. 98) s'éloigne
KElym. Magn. i
i.Pyth/c
■ B H B H
Dans l’été de la 21 ° année de la guerre clu Pcloponèse (01. XCII, 1 ; seulement le Dieu de Lesbos, c’était aussûcel ui des pythagoriciens, *
juillet 4 11 av- J- C.), des bannis de Méthymne (sans doute des par- et u n s é ^ i -
tisans de Sparte et du principe Je sou gouvernement, peüt |^^^^^^ lTO?é^u’ilSlvaétaIpAiJ admirer par sa haute sagesse 55»
.déduirg^^xpi-essi^sTd^^^^^^^M^MBB
Lesbos 3 cinquantaine
hommes’énvii^^ ^ i^ ^ ^ ^ n ^naesfpa^^^^mnisf|^$hèbés,
en raison de la côm in unau
Thébains, attaquer d’abord Méthymne pour la soustraire au pp^M
‘ 'd’observations' philtSl~^
od U î^l^ir^tWÆMaTOçauj^^^^^^^igoürl^ e y cé' qüei é
^majCTnBU^^mÆ^^lùsieûrs noms propres
une première fois danisn leÿurM -tenitarticver piapr lMa gairinuisoMn at h'ié rniewnnea d ej r ^ T f r ,r ^ i [ ||» g ^ M M !M B ! 5 »W d 5 S
fo^e.^^^^UMjmemeaiaisim^ffigi^g^|A[iY]'ii',-qui è'st'pe w .,;
être l’accusatif d’Aîyeuî 61 ; enfin È Y e f e W M w j S lM a i ^ i
accourut<à-Jlêumen^tÉCTro^^^^^^ùne
' fois dans
thénienriefi
11 y a tout lieu de croire, bien qu’aucun texte ne l’indique, qu’Érèse T*®“"
retomba au pouvoir des Alliénicns, et que par conséquent ce
P B i a S l l I c i
dont le nombre, comme celui de l’hétairie pythagoricienne de Gro-?
a), le gouvernement oligarchique rétabli à Mytilène. C’est vers la
même époque, suivant l’opinion de M. Plelin50, qu’il faut placer la
tyranniede Cammès à Mytilène51, et celle deCléomèneàMetbymne5*;
-L e sb o ^ ^ ^ c ô ^ e a tts^C i^Ü e 'p p é r é^ ^K ïï^ Ilfl^ ^ ffi»
à assurer le bien-être du peuple53 ; mais sans doute aussi, suivant
K ^ ^ ^ ^ g d in a ir e^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ itla h â n d o n n é peu à
peu les principes qui faisaien t sa force, et bien tôt à raristocratie^ayai t1 ;
succédé la tyrannie, qui se maintint jusqu’au moment où Alexandre,
j-ypulant pas-souflriitm^i^^^t^
d’autre puissance que la sienne,1 chargea ITcgéloclius de soumettre.les
îles7 et livra les tyrans de Lesbos, notamment ceux de Méthymne, Aris-
^M^nr^^^roéPté'fed^CTmî3iae^^l^^^jëstj|i'u’A pollon Ji’était pas
d‘Égine\f ou eÙe fa
M. Virlet. Largeur, 0,27; hauteur, o,4t.
yci ; -
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ii|'^ expression'pa«b§r«mteOTOitqpWma^Vet I
renvoie h Valck. sur Hcr. IV, 95. Voyez la note de Poppo sur le passage de Tliuc.
les îtitcipiètes Quckci li üluit : Qui amicüioe causa
venue |SR!SnS^tiï^ç^^nS' dnrisg^^q^îçm^^fflM^TOlûs réccpts éditeurs ’de
itfethymüâbs,(^
ul^^l®Gumai.vorsal)nnturjso||i^^^^^^^^^^^^^^^ïatum.
s» Voyez^Bîemqstbuarfp. Zceof.^^^aoig|;B,mske..:<. ,.
53 Krische, op. cit., p. 101.
54 Krische, op. cit., p. 37.
»^Iambïiâluis, r. l’jyAçff.^SaS, 35 et a5i.
ss Je ne cxoïs pas Jii^iti pui se rapprocher ce nom de 1
.suivant M. Boeckh que le ©«ikoéOioç dcsÆo’ijehs^an^do^te B
ainsi Kraefaï devient IvTEfefe^omp.fxiao) ; mais le chan
et réciproquement ne sonRul guèu. être justifié. “Cependant!
fi?i|i'le O c
recoperant, ideoque parati crant ad eos adjuvandos. « Nul doute qu’il ue soit ici
question d’/wMi^c, mais le mot irpoecraipKrtoéc ddt4^pH»Uln“!> le sens p&if
plus près du sons, mais ne rond pas asse^méMialfilMi^w ^A
0 SépTtaoiv àç Tpiaxoefoiî.
41 Tliueydidone nomme pas la.montagnemais.eene peut être que leliepipT: - ;
■ lymnùMy.oisin^^Mfihymhe?ijI^|l^p^^^fflff. 8 et sùiv. ' ' '
45 'Le nio.t'£Vaipe(âï îian^Blnlon', estpris dans le scns^|»^feUi^iic, de
-ra ë t io n ^ g ^ P zrgf. IX, p. 856B.T4e| f^ g ^ ^ ^ o ïé i^ s u r >
la ‘Pépubl. doæjnMi^f^ii^obcek sur l’^/W do S o p K ^ d e In
pvemi'ûi'Oy édit Ion, ot 3op do :
SPoTOI ,8, a , désignel’assoeiation poluiqjtejqjiità Cai'llugciveilfaiMuniaintien -lë^mémenbn
•quodam next, separatatn a caitcris cicibus vilam c.rerccrcni, quasi ccetum clanco/
qinationis haborent ,\itiitaTcm t/i se conforta uni; quai eos, quum in j^a^^dèvi
4* Vrnisombloblcmcnt les pj4Oh^goutatns\ nttnoliuiui^quolquL idée mystique et Aupiov, Ii
i l i l .