, i lJansJ’étnt,aefautiktiop^ù|n|u^ '¥'^1
serait une tentative hasardée que de chercher à le rétablir II
dràit sd’aiLlèucs - !une nneilleure cop^^^câlér^ui m’a été rèmise. : *v:
Tout ce qu’on peut conjecturer, c’est que nous avons sous les yeux
' iiés,id|bris d’une donLle mètre est ass& difficile
, î\eu j ugerp)Wl|& ^m b ^ d ^ p ü^ e s^ o a
t ÆXvjç ÂXi£it]apVa<r<7ei«ç ; i
w H
deuxième ligné, 'iparïla^iiS^gla^ligné {fji, ôvopoV ywevai estoopovoç,
1 ,pâr les mots [As]cr{uwv, ligne. 8, ctôqpoç,■ ligne i5 ,
ligne m ^^[ioç J.ligneKao, on pourrait sjftj^ dreffitrouyer ici des
vers ïambiaties trimèlres : J«:fmots [to] ùç
[tî] s «flÇTP^[oîJ Tapâ^ou;], ligne '3, wpoç7f[rfiç] ou wpo^[viç],
ligne 5i, X&o^x'H 011 •‘g116 >4% indiquent u n ,m H
dactyhque. Pcut-ctre faut-il admettre ^uejes deux mètres alternaient
comme dans la XIe MgplufflLv^clés Epodos d’Horace et de plusieurs
■’ îej^ranûnes>;de l’Anlholctgie.
■ ■ sujet dè Ge||è^ï|^îp|^|P des mots [Ojifyu <n®ment sÿd^rat t e époques-bien qu’elli
lignes, [ r o ]o ^ ^& ^ $ |^ l‘^||xouc], ligne 3, app[oG]ea, ligne4, L’explication qye je'dûnn£
La confédération des habitants, des CycfddSs 1 consacre cette
statue tV-Agathôstrai^'^Si^Ê^^^^^^ à toiislés^ie^^n^^'
obtenir une navigation favorable (P).
Cette statue est'(l’ouvnïZgëjd Jffflas d Hahcarnasse 1 "
pâ'È'GMiOiftf5 ligne 5, ne d o n n e ' i l n’y appoint1
I entre les deuv-preinièies lettres un espace suffisant 0 g i | e Ji[^]|ÿSî
due ||]g.&oyï^nConçoit facilement que les copistes aient yu un E là
où il y avait un F, celle dernière leftw^étîml'tfort rare sur les tno-
jît* pas-sans «empîf^;
paraîtra probable, je
on^eut présumer que sur notre, 'll^èrel, .si l’on Se rappelle le sens que le scoliaste *RjËschyle
Iniarbne était gravé l’éloge d?un'Êesbien, qui, apres avoir mis un prête aitt*locjltibns-QSwvxpâvoç3-et opviOsç la glossc
terme aux' h oublis de sa patrie, avait refeoli l^fdre et pai là's’était d Hésyclnus Ôàto; oîavéç'afeioç. sAinsi'nÿiàv comme «vo&iov eqrnvau
à à viaticum5» On^àitfnnni^^^uëjMer'ctire et Hécate avaient
nautre côté, de la présence de ce monument à Délos,
tirer cette consét^eqce^n’ü^^TOi£^pas"ïnt^raire'^’|pn^u mgnje^a
- terrait pasxdans cette île3. C’est un motif de plus pour cro’içgque le
-Lesbien en question rappartenaittà Fhétairiè ^ônt il a été; lait mena
tion plus haut, et c’est d’après çeLte considération queipai£Gru devoir
i approcher ces deux inscriptions.
Il est forL'à désirer qu’un estampage dè la piene nous s
d’Égine, car, en nous fournissant des éléments plus sûrs,
ggw|i<|copîe permettra peut-être d’admetlue comme ntffait certain et
acquis à la 'science ce que nous ne pouvons proposer Sérique comme
— tffié'.vàgue.çonjcclïïrp.
4.
Inscription gravée sur un tambour de^wlpîutâèù-cqpiéè pur
MM. Ràvojsié ef Poirot. (Toyez ?P1. 12, fig.
ToKolNANToN
NHSIoTnN
Ar A0o2TPAToN
f AYAPAToY
^ EOAION
OI IO 2 Ai l
WÊÈÊÊÈÈ
- Une seconde copie de ce
que deux variantes qui toutes deux fournissent un moyen de corriger
•^la^opie de MM. Bavoisié et Poirot : ligne 4, r ? o /^ A P ^ ^ ^ l
et ligne 8, EnOE.
Je crois^pÿuvyoirï^^^^er la resli tu tion su ivan te ~.
s surnoms celui d’ôâioç comme divinités - protect
Maiscomment ope pour être protégés dans leurs* voyages,
les habitants des Cÿclades, par un-;acte officiel, public au
î de^- ncim^ÿ||^^G^néfè^^^j consacrent aux dieux?la statué; d'AgaX:
: ■ '^uK&tralep- C’est que sans ^^^^iri*dépendSnffiîent,'des fservi'ces ren-
voyé dus par Agathostrate, ce-monument remarquable par son exécution,
nou- était une offrande précieuse. On «t')d’aUtànt^liS^oiidép^lfe»CTroipX~
quelle nom et la patrie du*’statuaire sont indiqués à là suite dè
IlSi^SipS^^^avëe sût? la 'base.
ÿj.r,ç est la forme_iomenne du nom connu ÏXaç. Peut-être que
l’artiste ainsi appelé, bien que né à Halicarnasse, ville dé'da.'Doficlè^'
était ori^naire'd’ûnt^Ué^iôiuènnejÆt avaitreçu suivant l’usage, le
Mm donné à’sdti aïeul dans sa ^^^^Mitive. Quoi qmdjft|ï soiL ,
•'ce nom doit"être‘ajouté àu catalogue des' artistes grecs qu’a publie
%. Sillig, et que M. Raoul Rochette a si richement augmenté 6.
• Le début de notre inscription prouve que le-~'statùairé“Hylas -a
lÿjnîlé posférienrement.au règne'd’Alexandre.'En effet, une inscription
déUélos, • publiée dans le iÇoijpus n° 2273, et consacrée à
'.PtoloméePhiladelphe,roicPEgypte, désigne les habitants des Cÿclades
•par Të?nqin- de viictSTfla’qu’ils reçoivent ici. Or nous savons par un
passage de Th&cntéï/,‘4n&l&<Gyclades-étaient soumises à-ce prince.
j^^^é&'Boncïpresûmer'lque'notre 'monumcnt est de la même ëp'o-
que Xa forme des O, des 0 et des fl plus petits que les autres lettres,
sans être unyprënve suffisante 8 pour assigner une date précise^vcon-
, faite par M. Blooet, n’oifre ^ “ penda.t juaqu-à un certain point cette eonjecture.
C’est sans doute vers cette même époque qu’il faut pla’cèr l’i ns-
?çrip|fpniS@'^^^^hptis, 1, la mentionnée
la confédération 1 dès insulaires, ri xoiv&v ^Sv vaciutSv.
M. Boeckh avait déjà conjecturé 9 qu’elle était antérieure à l’année
^^@^8^ 6^ I^rapp^Hepç^ ^ ^ uBprécèdent'jperméttentidésorr-.
^ ^ ^ e l’affirmer et même de placer le monument dont il s’àgiu •
entre 'l'année -^orffbiiijpàr^TOi^^e^^^cfoiïe^d’Ipsus, Ptolomëè
^^^put. rentrer en possession des Gyçïàdêstq^ilnvait conquises en
semblance un peu plus de 3oo a
sect H, p. i3/|) oïfrê partout le
i^^^loDt la' première voyelle.
m m
’ '■içJS^Ofl^qu^l.esj Romainsfirent de*Pî!e
puisque le n° 2334 fai t men tion d’une assemblée tenue dans l’île de
Ténos, et que le n0^^gog~aiasi
de pensertqweii!ela«aî^c5M^sB^TO^mMaansliala@5-Il)élos^ C’est
• sans KgmMà.l’un des ^membres
porte la désignation de wioui-mç, gravée sur la stèle de' - l’île de
Bacchus,3,àlasuitedunomdèrundesGrecsmembresdélacorporatiom
religÆ^^q^^^p^jmonument' En effet,
par notre inscription et par les n" 2273 et 2334 que ce mot, à
• l’époqué dés -Ptolémées, désignà jl^^^^^^^mm?fan;garcè//encé les
iliiBita^^IfsK6,^l?d^^lfeqüellës'‘.i malgré’- l’appa^^Wd^liberté
Im^^eüi^aVaibslaissée, étaient devenues .j5ar,^Ê^^mïïé< province
surtout en Égypte.
'SSW^^m&jsMrae^ n tswWentdbJemênèiir.ouvés dans les.^fu^^^M^^^me^d^^lippêit( Voyez^Pl.^S-ÆSgiiTiTT^p^TVr^^'^ <,
a b c
<- M. Boeckh *, d’après Tournefort5, Spolm3, Wheler'î et Stuart 5, a publié trois jfra^ ^ Kgmaromt&smr^^^ovenant des ruinest/dm|
^^^^^mtaaeîÇhiljppe,,
- Il paraît que deux de ces fragments ont disparu, enfouis sans doute sous les décombres, puisque M. Blouet n’a retrouvé que le
I^Mù t^ ^^ ^Oy v o it aussi que depuis Stuart, deux nouyeaûxf;blocs ont été déterrés/^Ainsi, toute
de la manièrelSmvaïïrefa^BB
ù À7:oXX[tû]vi. ‘ ' ;s'
@^9ânrZé A/acé^o/zzenj, t/e Z?é»2éf/ïzw, à
ne ^m^plus' ^istër-désormais d’incertitude sur le. que ciM^iMBFélll^
ment,: comme l’a pcffseVl^^^iMïiÇi^^ili^je 1OE ms dePDémétrius, qui* Ipùt (pour successeur* Pexsée U s’ensuiL aussi que
M. Blouet n’aurait pas dû, dans lai restauration, du portique dont^ilrs’agit', s’éW t'eni^nm^^raMaumnrois fragments qu>ilra|re^ ^ v ^ |
niais les aitic/ues.' Je suis même disposé à
encore y, suivant- ruàgë%le|nom.dl la ce dieu : APTEMIAI
AHT.OI Les dimcnsionSf d^Kc^i^^^gi, a pai le^^^^encgtll-de M Blouet 9} dm ait avou près de 100 mètics de longue
.»a® : àv l’addition août n^^gi^ÿpuisque, en- admet tant .qu%chaque pierre avait^'corMé^lé^rag^^^ajw3^mëtres.-
iM^centi^St^BKmjg^M^^T^^mcompo^e^^sept blocs>n’aurai^æ^u^^^ilTi!^patæmg>n’3l!rD‘è^^a38o centimètres.
son érection doit être placée<'entrabSMn^S^we^^^'
une arcÜitfavèfiirouvée aâhSflesffiuinès
indiquées par les lettres HH, et gauche dit plan
.plus ‘cqraplètp de^^^^M^^^MÎïiSpqli’n 1, .Wbelers, Tournefort3,
paraît avou été ginyéï?;$sm un polbique consùiu^pai .Mithridate'le Grand, dans le cours des trois années' qu^liym^maîtié1 d’e) Delos
(86-8/| av J. C. ). D’après le n° 2277 a du Corpus, et ce que je viens de dire sur le n° 5, je pense que cette dédicace doit être
ainsi restituée :
v' Offrande du roi Mithridate, Eupator, nouveau Dacchus, Fortuné à Jpollon, à Diane, à Latone.
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