HH On sait, d'îpiè dmilie-. lutoiilts-ierucillie
M. iBoêckl), que v.
t t ? " !
p y f r M m j ^ ¥#niv
j . m i u & la -confusion tde?c^Jfeux*jnoms^aTOigm
f?l^m iî^ llllk ^ ^ u itéi7A c^q^furaton ms fflfékCeapgukêtre pas .
" H H * ‘f T> iC ? 1
d’avoir altéré, selon son usage, la bonne leçon dune inscription
en écrivant AIONXSIÎ! pour AI0NÏ2Ü.
par la lettre Q. (Voyez Pl. 12, fig. II).
0AHM020A
2 0Y 0 IV0
NA'A2T 0
O OYIOYKA12A
EY5EH A2TH2
O TT
NO
■>
■ Kecwcept Oîü, 'OeoüvuïjjS
tu ÿvfpu Âêaêoç Katotodêvou; èx tüv iSûov âvéOviXS tàv <rroav.
Je vim^^p^^muéùioti^i^scwgti^SAëst -posténeuic à l’an de
^ Ion peutjsgfe^^gpresütuer de la ^ nièJj§§y|2^ H
en s’aidant encore des n°* aafS a, aa8o, aa85 et 2286.
0AHM020A[0HNAinN]
BB SIw lSSB ^r ‘so‘^iLOLJkactafflE^^^Q'KPA'roPA
■g", SEBA]STO[N]
[0 EOYI]O[YAI]OY[Y]O[N]KAIÎA[PAAPETHÏ]
[0EOYÏKA1THÏEYN1O[IAÏ]T[HÏEIÎEAYTON]
■ôïSip 'i" A4™v« p-s4:?;f,j$
l î J s ’ -.h ipâip. t f â ï «««■ * '■ - . Æ_JJLr‘ »
n FÎTeT1 g g ? S a S Î 3 H
Le peuple des Athéniens (de Dèlos) et ceux qui habitent Vtle,
honorent,ClmperâtàrCésarf fiS r i.’.
i'erlUj.sapiété envers les ù eux, et sa ,i e i « « - ' *2^
'Latone et à Apollon.
H OE ,nnm .de jssggg-Tfc; donné à Octavien dans ^.ttejinscnption,
on peut conclure qu’elle est postérieure Sj^gMdé Rome 727 (av.
J. C. ay), où, sur la proposition de Munatius Plan eus, le^fpS'
adoptif et rhériüer de César, reçut le nom d’Auguste1. Il ^
seulement paraître singulier que,ce nom préc^e.cdi^e K A l^ f;^
llu fifu de >le suivre; comme dans tous des monuments connus 3. On
peut cep^endanl justifier cette construction par quelques médailles
où la face est accompagnée du nom de 2EBA5T05 , tandis que
le re4'%d'ffrè celui de KAISAP 3, et par'celte dédicace- d’un
mbnûment qlevé ei^lfïfenneur d’Auguste 'et~' de Tibère, après -la
moijl d’Auguste < : '-v<
t-être est-il' PMsib'léf^^^^l^a^jjSp f f î^ ^ ^
plus précise encore. Dion Cassius5 nous apprend que l’an 733,
Auguste se rendit de Sicile en'Ü3-re£ë|^^| là à Samos, où il passa
s’arrêta à Délos, on peut admettre que les habitants de 111e, qui
déjà antérieurement à Yan 707 fjui avaient ^ ^ ^ g e \s|atue^don^^
n° oo.So du r7ogfl7^âitfus-^tra?sinis<i^ ^ i ^ ^ ^\c^ns^cVèEèn|: un
i^^^^ulmgnidifleMNéà comménïoratîon dë '. . -
fnscriptiôn^c^^^^^ ^ ^ . l’émplàcément' désigné ^éM0iÿ^Ê
N O KON
NA OSPON
EAY OY ATS
OA I
La s5il^ ^ H @ ^ ^ ib ^ ^^He[du«.^Ëj^^^gla 3e ligne
-gt dës mots H f e s ^ à la dernière. C’était sans doute encore la
^idiracè^run monument élevé en l’hopneurtli^a^^^bienfaitcin
du sanctuaire, par le p'euple de Délîjsy soit pendant Eaut^qmg^de
nt la domination athénienne, ce qu’on ne peut décider
faute 'A’éîémènts suffisants.'
Inscription copiée à Syrospar M. Edgard Quinet, sur une base
circulaire près musèéÆÉginê
Burwèt 'f^^ ^ p ro^qj^
de Délos. (Voyez pl. i5 , fig- IV).
A Y TO K P A TO P A K A I2 A P A
OEOYTPAIANOYPAPOIKOY
YlONOEOYNEPOYAYinNON
^ ; l^ ^ m N ^ W l ^ ^ ^ ^ rrEiP:E~Av * *
A P IS T O N A H M A P X IK H 2
E Ï 0 Y 2 I A 2 V P A T O N T O T
^ 'Iïap8i/.oü uïov, Oeoü JÜtfoâa uiftivoV!, ' ;
V f Tpaïovov ÀSpKtvôv 2£gaçTèv,^g}&w/,
6 àüfAOÇ. S
' lai jmferalor César fi !i i*< ifca Bvz/iâ PàrtJ;^ae, \peti
iÇ'/Z. eu V ^ i ijL-*— ÏMailriéh Auguste
' . J , j ’ '5Sî . ■ ■ ‘'v S S â K Î
‘ App r-. ,™ rijîi 1 ’ 1
5 ;0n en peut voir un antre exemple, si tpiitefois: la copie deM. Rappel est
Cette inscription n’est pas inédite : elle a été publiée pour la pre-
mière fois, avec deux autres inscriptions^écémmMCTaeTOiHeRre^^
par M am^%ydi|swi|l^[^^ere^ r o ù ^ ^ ^ is dans
cahier de journal littéraire intitulé ii Aiyivaïa, lequel a commencé
à paraître ie
Un commentaire sur
portante des trois qui cont îent un 'décret i
, rhonneurld’u ^ U o vW ^ ^ t l^ m ^ ll il^ d ^ ^ ^ imp^rtants ,
services. Enfin, M. Boeckh l’a insérée dans le Corpus sous le
n° a347 d’après les papiers de Prokesch 1U* lui ont été envoyés
par la'rspcietéf historiquê^deM^^^^HBH
deux copies que j’âi^sous les yeux, et c e sM é^ ^ t^ U M ig ^ g i
présentent des variantes qu’il est bon de faire connaître, pour que
j p ^ ^ ^ ^ l p enreue lembarras
temps les singulières hardiesses qu’on est obligé de se permettre dans
^ ^ S S E B À S , et sur la copie^de^M. Quinet,
2EBA2T0N ; il est évident que la copie de M. Ravoisié, conforme
d’ailleurs à celle de Prôkesch, est la seule exacte.
-^ATlaiigne^^®Ml^£e!fe^®f.'-.Ravoisié qui
dbnncIgpujjcH ^s^^^^^^o'N’comme s u f l F c o ^ ^ S j
mier éditeur, qui a fort bien reconnu qu’il fallait suppléer [MET1J2- r|
Bt™^^UDl^p^M^^yo^ie^^^eaiii^u-à l’évidence que les pre-
mières lettres de ce mot ne
^ S M E r étaient-elles réunies en une sigle ; ce qui porterait à le
B ^ ç ie s t fa u ’à la même ligne M. Mustoxydi a lu AHM APXIKH2
tandis que les deux autres copistes n’ont vu que AHAPX1KH5.
nécessairement qu’ifen’aient pas distingué le chevron<brisé qui
r é u n i s ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ B ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ S i HMA.
^•IgMiWdpfoutes les variantes' qu’offre la
-li^e}-‘.6Më^^^S^gCTMSQmnet?; comment reconnaître ^ouotaç
SwaTov vi 7' dans EE022PAT0NT0P.
a E ^ H H ! choses à remarquer surs cette inscription. Disons
seulement qùe, d’après les fastes consulaires, le troisième consulat
les' honnëursldécernés àBadrién plus’ oMcursJde^
nombreux bienfaits^lB^odigua
par
en ‘1771, époque ou elle fut emportée par les Russes. 1 .
La base
poque même de l’expédition, M. Blouet, qui l’a vue dans cet éta-1
blissemenl où son collègue M. Ravoisié l’a copiée, l’a rangée parmi
les monuments*.dé
île à laquelle le musée national d e s^ ^ d o iW an t^ ^ ffis« .
RHÉNÉE.
PREMIÈRE CLASSE. ‘
5’.,
Inscription gravée au- dessdusta^m j^ ^èUef représentant un
AIKKN02HPAIC '
Lycinus d'Heroea -, ' adieu !
Le nQm,devEvcinus'ase?Æençontr&dansj3Ë| Qmt^^^^STOuciéni-aÿ
àtla, ligne13“ de la deuxi^^taWe des Inarbres de Nointel 3, ète.c
La ville d’Heroea, dont il est ici question, est sans doute la ville d’^Atv
cadio située près de PA1lphéei^l% t^mte^aeî^cadie'i.jL*etbniuuel
vlDtttejege'stdndiguélpar^Thuévdide^^^^^Çénopbon^mtiPa^Ètienn'e
I
Inscription gravée au-dessous d’un très-petit bas-relief représentant
un homme et son esclave. Copiée par M. Virlet. Haut. o,5o ;
NIKOrENHKOI
H H w B p ’AS Iw  i e 'f--;’
Bon Nicogène,<Jils de Cosmus et Athénien, adieu !
m i M m
Irfsctiipiion gravée au-dessous d’un bas-relief représentemt un
hommë aspis^qui donne la main-4 urtey&hfçei Bêvhière luteftf
un un jeune enfant. Copiée par
AY2IMAX02 AY2IMAXH
AY2IMAXOY AY2IMAX0Y
NAEIE XPH2TE XPH2TH
XAIPE XAIPE
Augipccgou, Auotpcfyou
[AlOïi] vais, j^piicfs XP1*®^
Xaîps ’ .. . > . ' •' ' 'Xaîgf 1
Wafàlÿvinïaque,Jils de Lysimaque et riéà Athènes, adieu!
Bonne ^lysitriaché iÿille