. AMM1AANAP0MAXIA0Y BOHOE 2AM0Y APEG0Y5IE
APEG0Y2IA XPH5TH KA1 XPH2TE KAI AAYPE XAIP
^gAWRE»XATPE^fa
i - !&(AUià^v^p^{Z'à^tâu)i •
Bonne Ammia,fille cTAndromacliide,
née à Arêlhuse, et déformais exempte de chagmn, ■
BoV.Oe ^j£ou4 p|Æ]M®‘S. -
, Bon Boéthus^î^è-Bc^us,
ai4réihiüèiët,déson}»aù^x^£^^^^%
adieu !
™ri.ii. ii7 Ngj.-'"" ■“ ' S S jg S iE l B G 3 B B
, sù , StÉa:%0 y i y t TOputre uSp hSaD. hJ . . " J ~|X'i|l|l >11 1 ^ 1 < 3
MO, e i - ■ b 11 -g A .tcm mr éJ^ ^la jra v g ÿM-lsg â i I ' " «* *>P™s,celte sopio .mjmr&ile,
Arclhuse, p a lli||||jm ^ et de synenn'e^^^^ itu é |^ ^ ^ ^ ^ , ^ t^ u ^ ks bords dé
^Ifrrsàiïipfibn oqpiép par M Virlet sut le côtêidroit cPunè pierre tu-
mulaire. Ilreste à gauche une pjtace pour, une aulne inscrip-
. fion,, peut-êtçe celle de la femnie. -;
AHMHTPIEANTI
OXEYAPXIIAO0H
-ÀTi^rîïpiÊ'Av.TtO^£Ü
Bon- Dèmêtrius d'Antioche . - - . adieu '
J e laisse aux ©nbntâHste^ Je >spin- ^.’expliquer le nlot hybride, !
ÀpxiÇaççii, si tou tefoisJa, dernièiïi partie de ce'mot a été: bien copiée.
©^Mêt^î^^dërjiier élément a-t-il quelque îapporL avec le nom
propre SaîîçtS. La permutation dti Z et du 2' n’êst,pas s;ms exemple :
nous avons déià?^^^^iCT''-dë la^remârquer <dans|téinom déjiîiè
2p'?vstIInscription
copiée par M. Virlet au-dessous d’un bas-relief re-
présentantùn'efemnie assise donnant la main à un homme, et
^^mm0n^pe&0jîliépr,^^^^^^^'çf^0fj
ZHNflN
ZHNflN02
ANTIOXEY
XPH2TE XÂIPE
ÏP H T I2
XPH#H;XgPEf
1 Le nom de IIpu-i's n’a pour lui, jusquhci> a^icun exemple, tandis
que celui 'ddïpo-iç se rencontre au n^252r tdu^d^ML gl vrai
gnM P ^ ^ la ^ r a dï^if^/i<^£ .4ui ne pçr^gEâaiC.pas^e voir un
nom féminin dans ce mot que M. Boeckli suppose être une abréviation
d’Êptâno;, comme Ar^iîTpiî en serait une de AupÎTptoç. Mais
notre monument r eM l^^ ^^ ^^ ^^ ^^ ^^ ^^ ^^ ^aut, selon
moi, en admettant la confusion si
de autre inscription
(n° .^o^ ^ d^ 'tgojyrZr) où M. Boeckh veut encore faire l’application
de sa tfréoriè, donne lieu-à d e^i^^dont^^J_^la?re'DfoauisnciJpou r
qu’on puisse
AnoAAnNi
’2®fl:$bpi.NAM '
j J • aî0ïd| p îé ?é r
S43PJB..
N’est-il pas beaucoup plus ' simm^CTsupposer qu’un £ a été
effacé i^Ail^t^ps àJaAÎin^e la,première.iligne, comme il%t*cçp|lll
tant que cette lettre ^^sra^gà^dafligne 1
ÀéoXX^[ï]llt( SijnpépiM, vocatifs, A—oW.<üv.
et 2é[&çopi qui auraient besoin, pour être admis, de preuves,,beau|%
coup moins équivoques?
Inscription, copiée’var^Mi&^^m^of^mnbieVnar M\ Viijletffsüf
le côté gauche cl un bas-relief représentant douxrhommésfidqfiti
Pim est j assis, et
'BbwZÎrtpii j
fils'Aé Zenon„
.et’né à Antioche,
[n]p5TiS (ou [É]p»Ttî)
Z-évcavo^.’ **“
Av-no/icca
Bonne P rôtis,
fille de Zenon,
nie à Antioche ,
M'KÔAÂhWoY^
| • MoX^mv ÀSQA'mvÎôu hUo/Sy/Aj}/ ypnciï ,j«Mps.
Adieu bon'McûBhiôh 'ifiU fi'Apollonius, tâinè^à^ïiàpdicée.
M
de M. LenomAt^g^H
et en
de MaV/_oÇ, nom qu’on retrouve dans l’évangile de saint Luc6 et
livre lîspi tAou? u , le nomme p<x<x&éa tov Tûpiov (et non pas Basileum
comme l’écrit Valois), et que, d’après le témoignage de Porphyre
lui-même12, c’est à Améliusqu’estdûcechangement.MaisRuhnon
enH Ü
Petro’fig;qtfe,lesle
vrai. La seule concession qu’il soit possible de faire, c’est qu’il est
Inscription copiée par M. Virlet sur; une pierre tumulaire représentant
un homme à demi couché. Une femme pleure a^ses,^
pieds ; une autre est derrière lui avec deux petits enfants.
EPMIAAPOA
AOAAPOY
TYP1EXPH2
T E KAI AA Y
26.
Inscription copiée par M. Virlet.
IHNflMAPTEMIA.OPo
SlAflNloC XPH2FE
XAIPE
2iSwvioç, XP^^W*
•/“rP£-
{Ici repose) Zénon fils AArlèmidore et de la ville de Sidon.
Bon Zénon, adieu !
a7-
Inscription copiée par M. Virlet sur une pierre tumulaire représentant
un homme et un èrifaht. '
rO P n A AI0NV510VAA0AIKEY ’
APOOOINIXH2XPH2TH XAIPE
ropyt* Aiovuciou AaoSuuü
Inscription gravée au-dessous d'un bas-relief représentant une
[“AYKINNAAA0A IK I2 2A
rYNHTENNAAOY
AAPOINnSXPHSTH KAI AAYPE
rXuxivv« Aa^iwa pvri fevv«^||ipu 'A5iicjV)îv[où] XpY|CTÜ *«
?YoyQ7 encore lesInsctippons do Riclitcrf II, ia, p. 1/19. • • ■ ■
>2)« conwr. /«#/.,'of à'8„ It, M,, p. 3?, »tâta. ,’'%MV!ÆΫ%iûvcç riv Sipov iv
>t TfiihalcMo 0 K«w«p«(f
3 Los molllourcs'éditiOnsvdo,cMHBB
- S U IcAe.ible nom ^TrimaleWon^è^tr^T voyoX'Niobuhr, Kl,*
^Ê^\0iÈ0^âw$0ëMp$M^M allemand ,tdontlo nom m’àohappo c
00 moment, a prétendu que dans Ti;imnlclùpn„on,nyn]%MM^ ,^«10 «
jyuifs/ilolVanoionno Homo, qui, oom.no plus^d’unbmon donos jouis, msultmu
piu Itn^opulonao il lu misèro piMqué'oSjoifnUnfeloïôï^Sinox a«^e«t‘?3ie(
<W't,’8a, 3'ï^Uostàklc/iioMs ipaiiînur irnprobi faillis. • - ■
ç$mi^pïfant<esl a ses cotés.
m B B Æ ’P o /Æ N fé
MNASEoY
AoAAlKI52A
X PH5TEKAIAAY XPH5TE
M I E : . . PEXAIPE XAIPE
•jJptf'âo^9u' Ai:o>X«oviou ÀlQVUOtO'J
AaoSixioca ÀX«Ça[v]ÿpe5 ÀXeÇ[a]vÿp*5
XfflOOTÜ '/-(■ ^
X«rfs-
^o^ur^aïps^^fi X“rPe-
1; XIV, 5, a; i i , 4 e
-»:P:>dôréd:deW;5' : h - ' V r .-'
D.pnies M“?'X0i: 91, MaXix0?- | .ï’'î
i 837 , in-18.
publiée pw'M a. Er Egger.(Pari
‘ ûl oa De0' ' S «f scriptis. Longini, S
GoWo^pHcation é adoptée par Wyttenbach dans s
,s--AoiSî&sio InV'niO ,9.
i ftïoÇM$fflnliqmK. Ljpsim^Mo^8P, ,p, 4^43|.