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INSCRIPTIONS DÉJÀ PUBLIÉES.
Inscription gravée dans deux couronnes de laurier, placées entre
trois triglyphes sur une frise
O AHM02
2TPATH
r h sa n t a
ô 5^[ioç
oTpomi-pisavTa.
‘J
s^^ut^^U^on^lratêge.
marbre blanc. Copiée à Paros
•'• . . poài^ a s ^ -' t?
AYTPH5A
MENON
Ô TColiTa;
),UTp(Ocâ(iEVClV.
Le peuple {couronne)
un /eaTOtt
des citoyens.
'Ce ihônumerit csL d’une époque assez ancienne, mais postérieure
sans doute à la soumission de Paros par les Athéniens, qui durent
faire prévaloir le régime démocratique dans cette île. Il a été publié
pour la première fois par M. le comte Vidua1 et reproduit dans
le Corpus,j>nr M. Boeckh, n° q.^5.
Inscription provenant 'de'1 Paros, copiée dans le musée dÉgine,
par M. Viqleli^Elle eSt gravée au-dessous d’un bas-relief
' coucl^^ma
du Ut.
5*!.
EirAPKAinAYPASETE
AÏIO2AINE120A1T
b ^ A ^ ‘| ^ | g @ P | | 2 T
Stùvaoaou 'u.«x‘«p.t!>v ^'.u.ovi'n^uQa xu^oç,] ■-
*[ Ït] i xais’î 90i[^vo [oçfpxexai êx ppo'-«v.]
EJ yào xaî KoaJfaç i-rf[wv «Tp«-ou; wjt’ ô^EÛcctî]
’ ^«ÇtoçratveïcGai -.[tj? àpETÎiç sît^eto.] V_- '$
" 'Qpoa?à [ièv Mofpai; T'|£y.va^'^osT«i ■ f[Mî« 8l P«iôç]
j ^51;
IV Laglo.ti^dë'S&charmufl asmvidans lademeure desBienhemeux,
WawmefSU^eitëd&ickez les vivants arrive jusque chez lei morts
C’esljjue, rnnlpré ISffînùUë duréedesa^^^^vertu | av.ai.tfçndm
digne d'éloges. Ses enfants orphelins accusent les Parques et
Uùr demandent dé^^mitâ^réùiiis aürpère^^m ls pleurent
g | g | ^ H B
J’essayerai de juslifier quelques-unes de mes additions.
lajpierre, m’a dû Eure préférer a -roùç [tstxapaç une périphrase qui
fréquemment employée dàM^Smonuments de ce
gemeia Wneidéé alial^giîe à celle que contient le premier vers se
rençontrë idansicette^gi^ramme ae l’Antliblogic 3 :
jâ; Oavov x)Sôç. eoOXov crBtSkteaç éî^ôdvo
«»’ fri«- 17“VTa
¥ a0e'’ ,^Trt WVc
™lèmË iç poitapov ;jfoov.è&iç, IIu
fPlYon, la mort ne da'pas lavîla gloire qui s était répandue pa/
toute là-t igme. O modèle de sagesse, ils t’ont survécu les dons
brillants dgtbji âme, el.céùx'qi^^^^^^^uWdÊla nalure et
ceux que lu devais à l’élUdë. ‘ÇesJ. pour cela, ^âgxà, '(juë'tu es
■ parv^^^ ^ ^ ^ ^ d ës 'Bienheureux. '■
Vers a. Là fermé de'doute^jug présente, ce vers se retrouve dans
plusieurs monuments du même genre, par exemple dans l’Appendice
4‘àl! l’Ântnolôgief^lat^^^^l a a 8 :'
àXX’ si y’ èv (pôipivotci Ttç aûjôrjciç-', -rez-vov, iÈctÎv ;
dans leclivrétVIl, n° a3, du même recueil :
« $i{ Ttç ©0ijiÉvp!ç yp£[Mrrc-rai eùçporeuva;
Celte',inscription.'^figpes: dans le- (Çprpïis %u »uÇtt* ■
M. Boeckh l’a insérée d’après la copie déjà publiée par (^rk*.J|B|
seules varian^^^ ^r^spnytexte -son^^^^^^pligDe i, et XPON
au lieu lié XPON 0 < , ligne 6. Voici la transcription qu’en donne
M. Boeckh én^'râctèïeîçguj®n®^^^g
I 2toXa'Pfc0U -«p[«]t
• e[î t]i*» è?<p0ip/vo [uç
d&oç asveîcflj« -r
• 'AÔpqm^èv^0 j>ai'-'^ --
zsfeôw irai«^oovo -f
Assurément si M. Boeckh en eût eu le loisir, il eût facilement complété,
par d’ingénieuses conjectures, ces six vers sur,le sens desquels
il né peut guère y avoir^m^rtifüîâe, ^iuel,que soit leur étal
de mutilation. J’oserai tenter ce que n’a pas fait mon savant pré-
décessseur, non que j’aie la prétention malheureuse d’aller plus loin
'75», îM.
et dans ce vers d’unè' épitaphe provenant de l’îl‘è^éiM|hénéë:%:
Vers 3. Cette çir^n^^iign^ ,pôuÈ désigner.la durée de la vie,\
^ S S * ^ « ^ . l)'lraSeS, âiûavi-d ce -àv «Tpi/wifoy fJ-o'-
'ïpu,, '.èt ewog'. ygp zàl ^v.ve'i/ÿvou;^ux«^i7«g à^éaaccz,
'deux épigrammes publiéés parM. Boeckh5, et reproduites depuis'par;
M. Welcker^. Au lieu d a-rpaïrou',
idrp^j-x&àa.9, sont encore' des périphrases assez fréquemment
employées par lés poêlés de l’Anlliologié. ■ '
^ â , 4- §ans'le'f4ui précède la cassure de la pierre, j’aurais lu'
Ÿôlpritièrs ,
-• aiyt' tv;iw&%\ oï/pvai eiç Àt5r,v ,0.
Fers 5. De même dans l’Anthologie11 avec-ium''compl>éroent dif-
/eijv 'SStxm Moîpay xa*àp(pqt$ca, '. .
Vers 6. Ce désir d’une prompte rqprt apçèsÿ^nmité d’uii père,
11 Mipfo{uu est construit aveclcdnlif, Ibidyfiïo^ : XUftqitai oàx i/Opolt >u(|itÂ
SitX' ÀvTixXetç, 5' iyid i tqv h Ÿj€r,ç
dxp^ xai poCvov iratfet iRipuoacpévu ,
d , oCt’ «ztis ùxéoç vie^i'ou.
l i | ^ f l |
dans mais bien un nom pro'prefseiimrmiMn«paMl5mot ïjpu^cmnmé.
'^ï O» rnalheurè^ÿ^mm^immW^^W^éïmerMbMd^^M^^^^
, dans mon désespoir,
Je plem-e ma vieillesse solitaire. Ah! puissé-je descendre
dans la sombre demeure d’Eudes : ni laurore, ni les rayons
■ reuse Articles, puisque tu n’es plus, apporte un remède à ma
Tu l’as exaucée, 6 Dieu, lorsqu’elle
empirè'VdëstGim,
"hîioldW^ajfesaJ^féi^Te^ qp^meparaîtexprimer d’une manière
plus vive le éegret des enfants de Sochannus.
H
Inscription copiée à Paros par JdlBlouet,
B iM j j f f i r - X ■-.
^|^'ran^^TO^mlMet^]SDneafaOT^ nP ,a38q,
lignes ilonÉla premiere est £ihsi’tc<c^^^^&^
11
eiç Ilapoç toC Kaexpou, confirme la leçon qu’a suivie M. Boeckh, et
présente l’inscription^galenWHt^ deux lignes, mais coupées d’ùnev
. HPC0EA2 ANE0HKEN APXON
T 0 2 1/EN (sic)
Jja Ip^'^d^^^mlouét^ofFrant uif fac^similé^ ^ ^ ^rè<'fiî des
lettres, prouve que cette^inscfiption- éstrsur'une scule ligne et qu’on
CTeKooit' pas pE^|^^^Mtrës-lîaut^5d^ré^d!importance ' au texte
grep^luitlius^wgce,-,^
M. Virlét. Si, comme 'onrMt'fh^d'rbît^de' le penser, le fno-simile de
«îil'ÉBl^^méritéHhute confiance, ce ne serait plus [d ^tîv«.... iî]Xti-
ptier«« ppMfaudrait^suùpl^^^ commencement de rinfèription}’1
.,VP/',3A<,'ft^lcl«r,^/%«:tfpigr;,yr.)'n?166; p. 8a.
'‘i’Yoyoï, pourUvptemier, JnthoL P<tL\Wl, a37, 44a, 6i8,’Àppï 9>PT7 | ^
v. 84, oj|a||^olbk'er^/%tf «/«ff/. gr., n° $ ; ipourlo second-, aio’nntQt4i'i
[*]M(»S-, par exemple, quoique j'moiiB ne connaît™ aucun nom
¥ U ^‘en'encore *e mot ^p.^4?ÎS*i’i
être considéré comme isolé et appliqué au fondateur de l’édifice qui
^?sicfccas
îilrresterait à ^liaSlij^auiiprécèdê.'jê* ^ i s ^ ^ ^ m i ^ ^
.préférable
R^ ^ 8^^‘^ uspecter|l|^^tiWdefd u dessin de Ma4&”uel?MgB
A I0N Y 2 0A f lP 0 2
f i S s S ÿ f l l r i
Aiovuco'Supo; ÀpwTÉou.
Dionysodore, fils d’Jristèe.
Cette inscription, publiée pour la .premjèt;e^fois;:pariM. lé comte
Vidua a été reproduite dans Ie|feoffiPU«js^^l|^E|«aao^^^^
M. Boeckh qui a eu en outre à sa disposition les copies de Prokescb
dernier suppose^ tort qu’elle est dcKS^m^^
car on ne saurait douter qu’elle n’appartienne à Paros où le premier
éditeur l’a copiée. Elle est aujourd’hui conservée dans le musée
ifdÛîgiffëiigt^est peut-être^de là que vienMl’ÆriffM B a l^ ^ ^ ^ ^
, nous ap-
Jargqur ,^r
partie supérieure. C’était sans doute pour recevoir soit un vase, soit
porté par|unf
ancien poète de;l’dlV/déf.Prbcounèse qui511 ôrissait
m aspps?îi,
K »
EYPOPIA
OEOrENOY
XPH2TH XAIPE
Eùîropia ©soyévou ypTiUTc jratps.
Adieu j, bonne .Euporiaÿfülè de Théogène.
^Staett™epjfra||^^^Rrayeefs^furi||^^^m^fôaefi5em^K^^^p^ami
, precéc^|9B^BBBmTO une hauteur de o ^ a ^ é t é j^
'Siéefdan’s le’6ÿ^tw,'n°\a4b^, d’après les copies^qwjKroBgjgffljët de
■ ^ïnécriptîoW- communiquée â M.^Mlej avec cettë indication ?
xnç sxxXn'ctaç xnj MaCcaiaç.
' H PASlC;
0^ 1 bff^O]éV7iç [ïl]poc[0]^vooç Upeuç xoîi Atèç^oîi P’aeiXswç xai iïpaç,^1 ‘
Sosthèm, ÿîls'de Pro'sthèné, Drétrèfd^üpitem^ ^ ^ ^ de^JunoM' '
1 Hérod. IV, i3|eP«liv';Stfab. I,jp. ai^^toyeçîles interprètes d’Hérodote, et
XJ\nîl^Gësc/iiedte dèrhellèn&eKêVliicAikuiis?i t I, p. 453 etsuiv " '
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