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^l'-nSsultesde ce qui précède que M.@irl^|a |Iu «S^ ^
A pour
^gS^iïm quratSiet1 pour -T^SWW
'•1 ApourA,pourAetpour0;
E pour P et pour 2 ;
H pour E et pour A ;
■ÿ^gr^Â&our'.K' ’y '
N pour M et pour 2 j
°°i "' ~> ?"
P pour O , pour T et pour I ;
2 pour A;
T pour Y, pour N > |li|lÉ fnH 9
\ Y^our^TFpour 2 , pour X^^ufiNȎppo^.jQ-;
X pour T, pour 5 et pour N ;
(OL pour AH;
L pour I;
D pour O;
10 pour A.
de la part de M. Virlet, l’objet des plus étranges confusions.
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ c u ^ p lès^pdifi.càitipps "apportées par m ô ^ ^ ^ ^ ^ ^ oulagétkit e n ^ ^ |îu p |^ g u ^ qi^^ ^J è s >nots *.
dont je viens de parler.
^ ^ ^ ^ ^ l 2r^ M N p y M M M i y YP10YAPA lW ^ m AK02I [A] 2 [T0Y2]
I ~ rnA¥,6 ^ M ^ ^ M ^ M E ^ K A E r T i a im N A P 02.2 n » ^ E p ^ ^ g | ,
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2AIPE[O]ENT[A]2[T]ATE[A]OI[PA]EPIMEAEI20Ain2O[TI XA]
PIE2TATAKA[I TAN IPnÎM N ^ f e lAJNl TA2 TE ÈIKÔNAf
[ M j E N ^ ^ ^ ^ ^ & ^ A l i n a ^ ^ ^ P ^ Ê / ^ I ^ A I TAN E[N T ]n i N[A]ni [rA]
j B p B B lIffi^ TO rN ’/ a o r ^
"WÎlle'soin mîniiiiftiix avec>lequel je viens d’indiquer toutes mes res- âm^rnant^^jctèm^.^m.dqi^entêtte immolées dans, le temple
titutions me dispense, je crois, de recommencer, dans la trans- de Diane^ que si, ûb contraire, lêsjond^ sÔjit^insuffisanU, on
■ ■ërîjîtion en Eaiaëtères courants, ce travail qui ne peut que rendre y pourvoira par un prélèvement sur le trésor. |
- I Lesi'surveüîants QU^^^^tl^félus surveilleront .ayecJLe plus}:,'
grand soinléxèaitionldeices diffjrenlesTnesures, et apjjèsgavoir
convenablement célébré le sacrifice équestre et consacré les statues,
la. stalï^désT^aldss[a,
et celle de Gcüàpc^zu^q&^Ldans% le temple, et celle de Sophanés.
Ensuite, gdilsrèndentsi^^^^^e la dépense ètyde£leur;kpnnç
Je me garderai bien de donner comme în^tpsjable'’cette res-
■- titutiqd idorit. plusieurs passages ptj laissent à moi - même des
doutes tr^séneux.^e'qu’ôn ne peut nier, c’est que cette inscription
< contenait un décret dont le considérant a disparu,, et dont il ne
reste-p^us^^rè^dlspositif; qu’il d agit.. dansicéjmonnmCTt:v:dé3fétes
et de sacriSees^ea'Yi^mèm de Neptune et en l’honneur de Diane M:
à plusieurs statQes, de,fôOTfoMrtrculiera. alloués
pour ces différentes dépenses, de magistrats, i-iuikr^ai, chargés de
surveiller l’execution dés mesuçes, présentai par Je décret, et (tenus
comptes ; qùè; parmi .les statues qui
y-,x* sacrées, se trouve celle d’un certain^jj^nés^personnage,héroïque
. r . . . .-ïu£g %?$.?• î0«^6 Se^%0«'âwaew (!)aj^ii?‘''rats(èvs
?'|^^^^^^sv v5 Dogtt^âvi gpfuptou Spar/^iocç -rgiMMcfe^ -roîiç
va • ^ ^pro^tySp^Zapccvéog' £&>&-, — ^
• ïov/T^^'y|^T(& Ouéw w Ilpcei&gvi fcsov >iiSià»v,, xai
vi [tscéqewv -r^Syf x4, g P Àp-wjjwC^f^çe^o» ^sXÆv.vov
PgpÀVi iSp}>cq(uvûuç sapa
J^iX0^co3 S^Srvfoç, xal 1i XoMïiv v3ü Ssccço'pou y-gTgr/.fflW-
'Qai eiç 'rà'aXXa diiySiipMiv evr-vü ApTepc/ûg ?.âl vi .. •
«Wj^ivfàvaXttfia &d[iev bitroü va(«tou • tou; Sè tetju^iiràî -ïoo-
- aïpeO.;w; vave >0157« ZJ7qiîX£fs?«.âç.
(iévouî eijçoTùjç, ^l.,T«v &aXac<ra; xal vo h vw vaâ Tcé-1
i^Ôd.xàV %ay' eiwîva 2u9avéoî"<!)î''ÎTt fa^dirzasà. âvâûetv«. ■
Ksd ^ gictX(^{Mivogf, wl-^oS1 fctp&ftav
ôp6«ç xai Sixaiol^e-iïitte^tX^cOai. " > .
A la bonnefortune. D’après cas considérations, il a été résolu sans doute, car son nôm,^éqn^la^ûsâgq, eai.-prétxAf^Qijpq&«$p,
par tous, en vertu du vote légal, que tous-', présents et absents, pns sans cLêntfe dans le sens le plus emphatique.
donneront au temple de Neptune trois rcents. drdglunes d’argent, Cette inscription no^|>apprendra, donc, même dans l’informe copie
et aue sur lÆ'fimm^i^ÊéJiéros, Sophanés afait/jendreau temple, d‘e M. Virlet, que Diane était, aussi adorée à/Calaurie, etjlîqn^pcutj.
on renouvellent leisgcrifiçe équestre en Vlymneur. du dieu : qulun conjecturer que so ii^W y datait de l’épqqug,'où Apollon n’avait
impôt sur les navires sera-levé pour sacrifier à Neptune un cheval ’ point encore cédé cette l|e,à Neptune. QuanÈJau’ihéros Sophanés, je
lydien-, qu’on payera V impôt ftQppé'Sur /es ferrer de l’intérieur, me seng‘porté à croire qu’il n’est autre que ce Décélien dont$Icro-
e£ qu’on célébrera la fête de la dot Æo7W le temple 'decDiaÂè, 1 dote cite deux actions d’éclat accompagnées de circonstances oîi l’on
iipjiès avoir élevé Vautel près de la statue du Héros *Sophanés de retrouve encore le merveilleux del’époque mythologique, D’abord
^MMê^WM^M’^cëaan^^^^^en o’I d’Égine parJ^^at^m^M^^^^jîi'^n'^ombatsin-
H h
fonce
les
Comment sorte un
objet de culte dans file de Calaurie? A cette question on peut répondre
que, si la restitution des lignes 3 et 4 n’est pas démentie par
une copie plus exacte du monument, Sophanés avait rendu d’importants
services au temple de Neptune, en lui faisant restituer des fonds
dont on l’avait probablement dépouillé; mais cette réponse ne s’appuie
que sur une restitution contestable, et ne peut, par conséquent,
Calaurie, comme nous l’apprend Strabon6, était le centre d’une
n u " s ' o u m i ss i on^’Egi^^mjjl l|U^^^^»|
grauds hommes^'iQienm^enqs; l
I ^ M ^ ^ f ^ ^ ^ ^ ^ iiérët^u^ S llànt-.guerrier^^
sa statue et
dont sa patrie dut rester assez longtemps l’arbitre.
M g saù ra it^^^^^pW mo t;
B 8 S >i,ensémêli#^^^^,Vétait,,a^ g C l ^ ^ ^ ^ | ^y
bffi’I ^ É S j i ^Persua^^ucWdé^rati^g ^ p ^ ^ ^ ^
plnctyonies devaient offrir quelque analogie entre elles, j’ai cru pouvoir
introduire aux lignes t et | la formulg[;i| r o ^ ] g [ y ilM
qu^M.1 rétablie^^^u^ih^n^tiôn
J V “éléments.
Les formes doriques, qu’offre partout cette inscription, prouvent
fl jujilie fût remblaoée-pdr“A^^^iPras‘es par Lttcéÿdm^e.
8° ot a38.
)
qu’au temps où l’amphictyonie de Calaurie fut fondée, l’élément
dorien l’époque oi^^hènesjdut'tY/ ■!■
jouir de la préséance, ce dialecte resta la langue officielle de la confédération.
La restauration de la première partie de la ligne 4 peut se justifier
par ce passage de l'inscription 2869 du Corpus : àveveûaaxo
và 7ta\«ià Ittaj. Quant à celle de la seconde, elle m’a été suggérée par ’
i^gue. Crésus,
dans la bataille qu’ildiVra à Cyrus, fondait sur sa cavalerie l’espérance
d’une victoire éclatante,6.
Le même doute s’étendra, jusqu’à des découvertes ultérieures, sur
Cette dernière restitution doit ne pas choquer si l’on se rappelle que
Diane était, dans les temps les plus anciens, adorée en Arcadie sous
Siebelis *9, a eu raison de prendre dans le sens de nuptiale.
fêtes-,, certains
sacrifices. Ainsi, au n° a‘36o du Corpus, lignes 4 et 5, il est
sürër «p««
vertere, est
èiavop-uv t5v Àpi5T0(i.év£0; ^ 'VP’iîXXaç TrpooTXTii'cai eiç âXXo vi xavay on-
Oüpv ti xavoxpiloaivo âXXot i:«vx.v.X. La.même inscription, ligne 24,
nous offre un exemple de
majs,,6mpo)râjre'.et;p’ra&:a?inë^^^^^^^Mle a3, bi^^^gdans1
d’autres localités, à Délos par exemple, du temps de
athénienne, rè-ijMXur^ç t?î vifffou paraisse avoir été uu magistrat
%"nnuel , imposé pai^^^^és^deÿmêine q^mffi^énophdn ?j; Dèiÿ^
cyllidas impose Dracon de Pellène co
©^arae^uîil^Mise d’assa'utlÿPoliû^S range l’àwipAMg’iparmi les
I^jMformulé,Mk5^(,Ÿg'pU^^Sflue;hdtj•^mcri^^^ffraleffi.deux
^^diSW2?^ présente,^:ie, crois, pour la première fois dans la
j^^Pfépigraphi^iè.^;^ j,
te, IV, 6a et 7a.
>! Pautr VHI, 5, 8^' et i3,‘i. '
■ »Ail Pans., VIII, 5, 8, t. III, p. aig^Dàris la charmante histoire racoptéc1
Diane que Cydippe jure d’épouser le
in ti]
» L p ^ d ÿ r â u n e ^ b l^ ^ p S ? , n° a656, ligne i5.
’** "Vdyei' Cûrp. Inter. %r.f
• ' Lignes n et’ i<.
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