y V]j r y ’/ 1 *- ■ " 1 aient Ies sacrifices
ehées de trois à quatre mètres de profondeur.
,1 M M ^ A l i ^ ÿ W s A ' E W A . -
rip. ^Ij^rputey j
Village de Sostil>■ ^travers ^dè ’là ^m a^ ^ ^ ’étend^ius^ ^ j^p^^s^dè^la tmCT^^aj
-tmnulûs
roQné'deplant|Ôoriis “de ch é^ e f?^ ^ r v iè r é :, lifCaMamà^
;^M le l^ â u miliëu^npnel- sont plantés^dël^^^^t^cràelcfufô^ r ^ p B |^ rencoptrent
g S m ^ H
■' A.nihè?
^ ^ to ra e rit Hês platanes^et desr arhnsVéauxS variés/ 'Le
Vâlld1^l’ë ^ :1paùrii^^!^li^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ On^àrrive ensuite
^ M ^ ^ igiié^mie grande plainetrcMti^^^à gauche msflla
quirenferm ent
^^oe^^^^^CTEtnAe^Æ^^^^^lé''golfëp^ATcadîa ou de Çyparissia*, élèvent les montagnes
de là TriplîyliêV'Après a vW ira v e r sé ~Heu^netit^^^^^^ ^ m m eltrà^> ruisseaux, o n ^ r a n | s | | r v
une pente douce à Pyrgos.
Cette ville es^sime^^ te n io B distance de la mer et construite sur t^m o n tdcu le^ ^uÆMlil^^ ^ ^ ^ ^ |
bâties en terre et e n j^ ^ ^ 'y scm^em c i^ ^ ^ ^ ^ i ’* de^
parm i^ ^ ^^Ss^^Qï^en^}udl(piés ' cyprès. M. Pouqueville pense que Pyrgos est la Pylos d’Homère :
^ ^^ ffu ^ p ân s de m u ^ ^ n^ ^ ^ ^ ^ ipaBjpgt ‘.écrivain -
De'*Pyrgos^dont les vigne s , nous partîmes pour A go linitza, en prenant la
route^aMiS;rE 4Étant ^entres' dans u n e p lm ^ ^ ^ ^ ^ w ^ i^ p a s s é plusieurs ruissëaux, n o u s l^ ^ ÿæ ^ p g în p
bords de l ’A lp célébré l e m él arfge ' a ^pàux^avéc celles d'^M
4W Î gM ^ jë ç ô i t maintenant le nom d’Orpbéa pce’ fleuve prend s aE j^ ^ ^ m ^ ^ lp ^ piEt^ ^ e smeE^ ^ a a ïe i
et se je t te d a n sÉ ^ ^ ^ ^ | f 'd’Ag^mi%^M)ês rives"aê4^plféeifmTis^ous^rmdimesya^.golmitza. ^MageS
l^ ^ m ^ m l^ m iÉ é j i iir 'le penéhant -dhrue-montagne : les ^ b re s mesr jardins^^^cmmra^^^ m ^ ^ ^ ^ p
entre les habitations et donnent au v illa g e p ^ ^ p é ç t assez^pittofë^uël^gd^H ^ j^ ^ t lle s^ ^ ^ sB e r v a n t 1
de pêcheries au m ilieu ; desquels l ’Alpb ée a son embouchure.
En^po^^^^^^®foute/'on parvient à u n k b an eh ruine. Une vaïïée^et"de'jobs*cOTpftifJCouverts de
^ i ^ l s^onfeà^gaudlm;fà^dit^#CTmme^^bdütnie^dë i^rès^p^iamfdés 'biiisSons ,*ét a^^pàWptement
des-marais : la ^ e |e s"t .bornée par le mont Smyrne; elle embrasse un bel ensemble de paysage,
^ ^ ^ p r ^ l r o is 'q n a r t s ip ^ ^ ^ ^m à r ch é .' nous reconnûmes un monticule stmdé^elÿhous avions ^aiftjjé;'
précédemment en nous rendant là^ lfm p iîL l^oûsvtravérsâmes^d :^ ^ ^ ^ ffë^^ ^i^ ^ ^ ^ ^ ^ n ^ @ l s arbres
^ ^ ^ ^ ^ ^ 'é déracinés e h g râm^^^mr^p^r la violence d’un drage\*f e^èn^^ et 'quelques Jnsfant^âpr%8',
nous a rrivâmes au camp ^ |^ n t -^ idO T ^ ^ P o p r .;les d é ta ilsldeljkroute jusqu’au kbanî.dbiSàint-IsidoVe,
yo ir<Æo iiié^^ p%^^ )|ità, nous prîmes pour une nuit possession-dune'maison qui hoüsiavait déjà,
servi d ’a s ile:Le lendemain, nous repartîmes eû hôuSnîri|je<fnï â’u S .-K Ànotâ^^âuBliê_s’étendaient des
terrains çm h v^ « am a^ ^ ^ [^ a l’éloignementpar des . montagnes presque entièrement couronnées de^
pins : la m e r était A no .lje iy|^te et vis-à-vis de nous se vtfy^aifellejttrémité des m ontagnes de JâlTii]|liÿlié*
Laissant^ à.droltejle^bàmeau' de‘ Gacovada, des cbamps~cultiv’és e t iîné1' g^ahdé'li^e' dé pins’ lb 'lîm g
de la-mer,'on pénètre dans une fôrêt d e pins'. Sur la gauche, à l ’angle de laroüte^dè ^trpbitzj, /, s’éjèvè
une tour^p^re point,,nous revîmes tin petit pont que hdus, a v id ^ fd | jlè à p | r ç ii' en allant à Olÿmpié
e t nous gagnâmes la v ille d’Atcadia. I -
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ÿ^Ellpÿë slijg ituë^ u^^ ^^^ P g edm ^ ^m ^ les (m em ins iq ù î^^^ ^^ ^^ ^^ ïM ^ i^^ 'i^M é ssém eV au ss ir
comme le fait observer M. Pouqueville , la position d’Arcadia a-t-elle donné de tout temps de l’importance
R O U T E D ’A R C A D IA A M O D O N .
f ■> En quittant Arcadia, nous prîmes pour^gâgiiCTM K ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ n otrë>
uc en ruine.
De la <n o u ^ a ^ ^ m a ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ s ^ ^ p ^ 3BmimanWd^liviers^quii^m s sQ ^ TO^CM^^^uis! ^ ^ ^ ^ a ^ ^
tÉ|ljËB&I^I ljB | |& jg a aB l^ raversé un bois
d’oliviers, n o u s I r a >
truites depuis la dernière guerre; ces maisons sont entourées de jardins où l’on remarque des cyprès,
d’heure de‘maçc]ie^vfeili|ë f îà^
est supposé avoin^étéK^Kül
dans un bois d’oliviers
montagne. Les historiens gardent le silence sur tout ce littoral du Péloponèse, sans doute parce qu’ils
n’y avaient rien remarqué qui fût cligne d’intérêt.
Ayant franchi plusieurs ravins à travers un ua^ r a o ^ gu^K^marchantv e^l^PB BWjFffîuils^^am ^
au-dessous de marais, et
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ |^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ x is teTm e t ra n% j^ ^ ^m M j|^ ^ ^ |^ P ^^pftrpftnr]iculaireTnent
'une
un petit bâtiment en bois destiné à la marine française, qui venait y faire de l ’eau à l ’époque de notre
A i4 minutes de marche, en partant de Palæopolis et en allant vers le S.-O., on traverse un ruisseau ; u i^^^Mpvoit iplusieurs
Btu^iusSaolm?^njtumûlu^ un'.mausolée'türc;:^^^^K,alitza , des
>’1 un^aUôn--a{3^Ml^^ci^uBJ^^Bl5gxfnëv-rivièreT sous! des' platanesj^Eësi^a^^g^aM^ Mi'sso-
ll^^^i^^CTMissaid^gBiV;yillagefrjm^MMBwfej^i^^^utMpay^e; 15 ni., à-droite ,• une fontaine, et à côté un petit pont sur, une'
.” • ’ Prem'^‘res maisons de Pyrgos; 5a m., on arrive aux bords de l’Alphde; ag m.,
ne montagne; W^Sm^wklian^ en ruine; ^ l^g^^^m^ro^in^3a^^.*a?aroirea
le village de (>covada>; i 8'iu j^uEm^^^^^m^ ^ M^^g^^^Bn^^re^^^^aucne^de la^routè de Strobitzi, i m., on arnve'â' Arîadia.
Total de la distance;K 11 h. 15 m.
A 3 minutes, en partantfd^CTàia^^^l^ |^ ^ ^ ^ ) i t une églile ruinéef 3 , une chapelle'éwuinë;
des huiâqnsfrih. 2/1 m.,
restes de.route pavée; 8 m., un bois d’oliviers ; a5 ni., un petit pont ruiné; i m., Philiatra:Sa^ ? la routi^con^
tinue au S. s o u / d® ^ r aoe |n . , on sort delà foré^^^jgjg^gg^jm^|une petite rivièr^^a^m^, h.\gauche;• dès“:r@^m^ille^|
droites l^le’da'Pro^dCT^'^aB ^lug^^ Ip fofitaine, appelée Çanala? (îargagliaho se voit àv gauche sur une mbhtagnei r fe^^SPB
on descend dans un vallon, la mer est sur la droite; îa m., à gauche, une petite ruiné moderne; 34 m., un pont sur une rivière; i 5 m.
champs cultivés'; & droite,.une citerne; rde, t^^^^^^^^tnn(ÇjgfflB:d|-..
montée'^véepP^^to^unl^tV'b4rtiment en boist'So m^ancie^^rw^^.Nayàrin à JMlodon;> ao-in.^poin^culmin^t de kffiggiHf
h gauche, une1 fontaine^safas eSu^-'''- ''"'y "■ *'!
■ »iiOtailasBaMistim^^^
t. ni. . . a/t