’q-üelquèsïrestés temples?
à Vénus, à Esculape \ On y montre encore une exeavâti<ùwd'ont’. on- nia; pas sondé la profondeur,
donnes le* n o i^ ^ ^ n ^ p ^ ^ llW w é fl^ e s^ r^m p lie t^ é a n 1. (Settfet exca^ationj^aiupait:
■elle^kënipla^é^ leM ^ quiv^duàter^^m ^ Rausanlal^pôPtàit^lMn^^ ^ il^ ^ ^ ^i'iaÿaiiîpeùdlétendite^} 'mais
était« d’une: grande*. profpndeur^etf dpntÿlesÿeauÉÇdpn^ien;^^ni heureu»présagéLcpiand{ ebesKénglour
tissaient' lesi,gâteâuxù sa<n'ésyqù|0i^y- jetait chaqnèC^âèè^^^é^^^eÿdeS'la^
- ^App^-uii^nuit passée l^^^oteeibarque^ mous ‘dotdilâDÏes%]^^ptKd’Epida'iireie1^nouà(suisrâneKda
est aride et désert : ce ne sont partout que rochers. Ceux du cap
•Hiéraka^se- groupent^ànpio et--suspendent leurs masses une1 grande hauteurs Notre barque&ayaiït
passé soussrcesKé^milsÿabomâ^mi ^ binyfau>-port:indiqhéT{sur:3a%c^tyc^^ ^ ^ p'ort| Botte. ’Ijors'qùlôn
esû-mOuté: sur- le rocher? qui* ferme lelcôte^ ^ deKBemboùchure?dmnorti.^é%sgdli^MiMprétscniéàto.utë
1enceinte^m^ ^ ^ l |^m tim r^ | sa constBüctionVe^oyplopéeniïe^bEp^^ sans^jpi^s^®és^p^nt^ou
poternes sont pratiquées dans les murs de l’acropole aux angles des constructions. L ’intérieur de la
B ^ l renferme ^plusieurs citemes-Jantiqu.es1, des1 restes* de mùraill es%de * vieux* monuments,) etf timj&ou|
quatre ruines du moyen âge. • t
A cmiffminutes'.du-tport, en potpyantfêila terre, on* est«en vue^du couveiit> dé^^aint-fe'eor-s^B^üjlM
habitation qu’on aperçoive-“ depuisma^ ilï^ ^ l^Monfflnbasi^w^^TOna^^^^wàg-hawiguer gà^laÿfame j ,
n o u s^ ^m ^ ^ ^ ^ ^ ^ ÿ d ^ s. lerporbde Gypaii^^ ou B ouhtraî(vo^|fl^carte)^Jfcoisulot^^fè^^enti^e
dmàpoEt^let^ers le«foiSÊseKvbienit- quelques maisons. Efesïmontagn’esçescarpéfôfê^^^naut^errtJTmerô'
- Le venfenousrjétant alternativement -.contraire! o u favorable*,^Ôu^atteignimés*le^cap^Màurhle^^|LS
passâmes devant Zaconna, situé sur lepenchanb'^sIn^ntâ gh^^^^^mainé^^n^^W^ihrelinéi^fornïée
pan les:aliuyions dâm«’tpiTêntf;En>cetî.endroit» la - c ô t^ e s t ?m t ii^ is^ n fe il^ |p ^ ^ ^ ^ ^ ^ é s j(d iÿ v ié r s>
Plusieurs baies bordent la cô te , e t ’ sont disposées comme celles de Zaconna : le fond seMermineldeda^
même -manière^ ^ ^ ané^vaUéfegiM^ f lesainclinaisons s’étendpnt«T^ ^ u î^ ' a mer^i^U’excfeptiou d'eyçelîfê
partie du litto ra l, qui est assez b ien c u lt iv é P p lj^ a i^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ l^ irè .é liâ^ q in ^ ^ ^ ^m |^ ^ ^ l^ d lf^ la '
mer, entre Monembasie et la plaine ou vallée d’Astros, sont d’une aridité' effrayante : partout l’eau
douce m a n q u e *G om ib e s^ ^ ^ n t> nous*futi>£ontrairef pendant plusiètusïqours??G(Mcfeé'cütds^npuSinei!
pumest avancer qutàLforce, dec rames. En fin, après avoir dépassé le village ^construit
surç-uric^oellin® q u k forme»!’extrémité.*du rivage? de <la*i plaine^d^sfêosf JnPu^démrqb%mes1:à*H&gios-'
Joannis, a^dïUige^sïtD^ au S. de Mtpresquüle ’.feSæntiJeantp défendue* par: unis fort ,mcfdéme. Làunous
fîmes rencontre d’un démogéronte fo ^ o ^ ig ^ m ^ ^ p ^ ^ j l ^ eâ^ d t^ ^ m ^ frfflififtfiyappartenant à son
tilSfet Bâtie sur le ' po rt, >à$ber|tioit même où nous a tion^dfeBarqub^Un#fati^^^<^^ af s i^ i^ ^ sM ^ p
l^ in ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ fçmitrariée par un v ent qui nous avax^ té lo im o ^ ^
^décida X$nous reposer «une nuit en cet endroit, et à v i s i t e r * « La
^ ^ Luit^til^erÉIl ^ ^ ^ m ^ ^ f e nlâine bien-cultivée. ' Àprès'june he,ure
la route, et sàr la*gauclié'on voit un aqûeduc’. En'lè:lb^geân®^^^^m^^.^^^wtia^erseq)lu|ieurs
ravins-et on- aitive'’aù‘coùventi ■ a -
.Dans lé^romm^^^^^^^m^usifetïrsfragments ^ic'ol^^refdegranit^gris,
et - un ' & a gm en t^cW p ii^a ^M m M eti’;e 0 jA W ë ,i grisâtibf Le
là on v o it ehpo ^^m Sfrà’km ent de statueCdeffemnfe-^ ^ ^ ^ a r a -
tide qui est en quatre mPrcéâui;iGe^sont des»sculptures^Eomaines^>d^bfcâractêreù*emarquablë.^En?sé
u n vase , seulement ébauché à la pointe. Le couvent
est situé près d’u n ravin sûr leÿ^ n^b ànm ^ e « m pntàgne,< .é t^ tp a r^ fd ^ îæ a fm ^M d’oliviers" et
d T a rbr^f e p i t i^ ^ e . diverses , espèces.. On4 yir vo it, à jp r a r é e u n b eau spjiinx en.;marbrei, iidçMtmâ^tete,.
a^été'«tbrisé£j. e t diti^entô^éfcptis'itiarchitecturef entreiautres*'umcbapiteaub(mi^e^m^n?ÿiA.!ut<mfiliétï'
dléj la-* cour dir couvent- s’élève* une é’gl?se-5seniBlâb1â k toutes célFés’ de^la Moréb.' Ob remarqueiplrn!^
térieur de bebes^pe^tii^ ^ ^ ^ifpBiem conservées, etrqtmtreytf^^ Plusieurs fragments
s^ ^ ^ ^ ^ u r^ q u iid o iv é n t r em o n te r ^ux^temps^dû, BasrEmpire' étidutinoyên/âge^déGorent^eiportiquè;
detfla««façade prnrcipate. *Qûant aux'façades latérales, elles'sont ofcnéeS’ aussi*'d 'e'qudqués fîfagrtïfents'y
1 Pausa'niM,lb.?raÿ;Æ.:X£îSÿç
m m w B
.une salle basse du couvent
derrière -lui est un
cheval',',
Un papas nous donna au couvent des nouvelles du quartier général. Il nous apprit que le tonnerre
ê tMtÉto^b é lm r la ppudrière et que l’explosion produite par les
^ ^ ^ ^ ^ ^ K si p l a n c h e s :
Planche 88.
Planche 8g.
Fig_ J. _Figure en marbre; la tête et le bras droit manquent, le derrière est d’un travail grossier.
Fig. II. — Sphinx en marbre blanc, sans tête.
Fig. I et I I ._ Deux fragments de bas-reliefs en marbre. Sur le second, composé de plusieurs morceaux, on remarque
Planche 91.
* DISTANCE d’h AGIOS-JOANNIS AU COUVENT DE LOUKOH.
„ pjusieursi0^^^^^^^ maçonnerie, d^||j|& faire lej-vim-^À i3 m., le lit
^‘stance un aqueduc. ïju suivant s^3j£§j§|
gauch^M®®uSM^®^^^d^l^vute, des terrains à picj^ëProlpreMil^^^
Total de la distance, 1 h. 57 m.
Suivent les pla WM
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