rr.nnl.1 sè ,v.oit,
A a ;v u e ||è |||aù ^ ^
dosmiïiéa,tous lés deukÎBa^ ^ ^ ^ ^ ^mpntrfginesN.arâ^e/|dulraygètei ^
[Là- d^SKallïà^TTa^lilàèàî tra-vcer-silCT^ ^ ^ p l^mta^^^mlm^^^rs'-.lâ.gauche
paraissent jjn*ëî chapell e
et- »n.jpnii^p.nivtnnnsi^ni^^^^^imcher formant û n ^ ^ ^ p ^ ^ d qm ^ é ^ a ^ ^ ^ ^ ^ .û P iù s jilo in J s ’élèye
au-dessus de la m anfr*imgc0Uv,entlè^quel(|u'es£pans?ÜeQnüpàilles de défense. -Plusieurs
\5Ufegé^fMaOTicp;’,|ên |(^ é^ (pÈ li^ er& }^ ^G (|T ^ â t& au p r fis^ ^ ^ ^ g r fe i< 3ültivée ^Pyrgcfé,' Mtt^sun^des
ftnrrii na n t-, nritacrrif^ - se. rehêontejent- alternativement ôu sW vôientM^M^ ^ ^ Ml^tTe - approche
étonna les habitants du'dernieE^ill^e^ cependant no^s'to^yâines parmifeuxHun empressement, et «des
dispositions sei^blé4ï?iq|n^ntraB.t4enfe||g^
:l|^^nMé^^|^!
.Laissant derrière n p n sÿ u n |a ^ ^ ^ ^ ^B , Blatlâ^ p l ^ im des^cli^iéMnous a-vions ■oà -ifetre^gaU^e.
lea mnÈtagnès. nota?^drjite^ime^ oKapdlle> et ulnè :églifeêri,as|ilesi:sur'ides
roeheBS>Jai!ljLésTde mapière>^am^cEQif^c{UgiWQBi^^vi^anoienBement{dlhaMtati<!>ns.^Eà^estfjE^vi!llage
»**?*, liqpdiAÂvah}*j eaux d’unéptelle,fontain&; elle est d%ut%t pkis "préciepse
^ ^ ^ çjontrée(xeeouYdke>d6’bancs^d^»roes-et^TH‘ivéiè^,dt?t#fetvégéi
yaridîté^d n pa^.^d^ ^m t|I.e^a.vante^:>; om est surpris.
^ ^ ^ ^ ^ pUcer d^^lmtafaonsAcependant
l^ges,,! §èt YiQîënt ■ .ç.à et/l^?s’éleYajE£É_parmi l^pocberg.lrb ' 1,
. •4prèst4 ejï^hf^c^der,iMp£hej0Jw m ^im ^à ehw e rs .des .^insühsaaafides;, ^ jtn tr o i .d à n |d |e ^ ^ ^
de|%itylch. sjtné. sur, lé. penchant* dlnnÆgn à ^ ^ ^ ^ ^ ^ ti-remar^jd&Xe^pàiP.1 TÎn^p^gôsri^plusïeuiîs touira et
diyeffsesiégbses, dju. m,oyên§4ge.t -A^l^u^de; distance de Yitylo, aux b c ^ ^ ^ ’mltQErenStqinitJCGml^ dans le
fond, di1iLG^^^^^^^ tTAT1'yp-^sl1TîÿT1T1qrp^l1^W^^^^gTOp|ti^^^icj(ue4 Une cruefsuto^^™tOBEeniti.nou»
forçasde|régagnérîla< ront^||^^mïfô? conduisit. àlTemhoiu»
^ f ^ ^ ^ ^ Étrnffi^Mt^^^^^l#l^^mâii^^^^^iK&rde#lëiMvalre&n^t|inà^KettEémité.^ ^ ^ Ql^ïO,ir- l’on
fa^verse^l^ ^ ^ fe ^ lIa g^,de|mK^MSUt^,paEYient .e^é^ei^lîentEé^ide .Ejgnénii |(f^oiîfo^^^^as) ^ autre
T A.T>ftnffl<j^|i|^fae»- près- djimipyrgoss appartenant à-un frère de Piètro bey, le capitaine Janni. Nous
çemmesî^ cetd^pnier la£lefctpg^de recommandation que son frère nous £É?a£t,.d©ninéé. „dl non^ fit uni bon
gccneiL efe Sjçngagéàl^nOus .pÆftcurefô.un -gtnde'suffi pour.diiageB nbjtaje ^^p^damAe^Magn^ûiNo^
trouvâmes dans le capitaine Janni un ^éijitabJ^.Mankt|,;|ijflekiflîd£!> vivacité $ï de féanc^isei^t-dçjpaJaâAï
Usine, II s’élevait 9YSQ: chaleur contasftîle * gouvernement dm président, qui,. à part lest? éloges tqnià lui
étaient! d u s ^ ju st^ tjtoe-, avait le tortr. disait-ik-?.d^ i ^ ^ b 3 ^ t à,deSfétgangeia>ou<i à> desi kommesjtqml
n’avaient point, comm& lçç oh^fs^gre0&,/aGhe!téj.par~de;grandsjsacrifices la.liberté de leur pays, tous
lftSje®plpis;cisîilsiët-militâBîes.. 11, ajoutait que les Maniâtes, se donnant tant darpeine pour suspendre
a$®ïdWâBîfis.‘.dg$ rpeheràf quelque pê,Ui de; terrejlaboiirabler,; auraiénfe dûiêtrei'exfiinptésifdmtout impotè
Après, ujifeaP^e^ation aninîée :e.tvdSS;>v<au^^utdenêmeBfee^|intfésTpour^l^îpro3péinté!Eé(âpçoque de
p r îm ^ t c ^ ^ y u capitaine Janni-etcnous gagnâmes Tsimova, accompagnés
de notre nouveau guide.
Uin pyrgos,. plusieurs tours et plusieurs églises se font remarquer dans le village de Tsimova, assis
sur un pl^ ^ ^ ddnfc toutesdès p^tieff^cdtiy^e^sbntdiyi^ ^ ^ oefd^lmurs.construits à^c^feG^des débris
^ ^ ^ ^ ^^^^^^Wdmplâl^aiipn.travë^e un-torrent qui a son embou(^ureJaïï*fondvd’jiià ,pètitP g5olfe
appelé-Dyro , et .célèbre, dans la contréfe par la'd'esèéütéf (^^^flt Jmraliim lorsqu’il voulut stèmpaiar/du
Magne. G’est en vain qu’il tenta de pénétrer ’dân«lè p ^ a :- hommes-;et'femm:es’ lé ' combattirentl-aifëe
un tel patriotisme qu’il fut obligé 'de se rembarquer au plus vite^ âpÿèst5SVoxr eséuyé^ une graüde perte,
Â'^rois. quarts d'heure dé,marelle vei|§ l^.^és|^yrgos ^village considérable dont, plusieurs, mai-
sons ont pour base des substructions modernes faites à pierre sèche et qui ont une -parfaite reas
semblanGe.avec’ des constructions«eyclopéenues; A- l’éxtrémité 'd u ^v illl^ TÏopfè t gùfdèr iféuâ /chnSfifisif
àl|unf4^ 'cesî pÿrgos- si communs dànsle Magné et dont fiaspect 'rapbeflé tout, à fait FoelEdés. châteaux,
forts k répoquefo^^^^oluté' en ïrancer'Ce^ne-fut qu après des coups redoublés ,,irappési-à( la porte
m M Ê Ê M
laisser - entrer,
aussi l’humeur guerrière
mais* de mauvaise - cbmpo.v
sitibn^.représentanl^ mi^figure! d^homméstm^à^ein^reconna^^l^JS^
' n’a- point-; sondT^^
presqu’üe<qui*.Lient ar^cap j
, parmi lesquelles , notre
guide nous - assura
K iparissi, mai tre d’Alik a ,
voulions visiter
^euys^profils sont d’un
- on j parvient au
'et? a^^^.ei^TOJ^^m^^mTénar&,-- m a r c b e j l^ &rj
mur l | | | d’éfense. A a h. 18 m., un passage ù-ès-beaü'erpittoresqùe’.
presqu’île appelée
on se trouve au .milieu du village, de Dosona. A io m., le village de Platsa. A 3g m.r une belle fontaine. A a h. 49 m., une ruine
moderue. A i h., sur la droite, im petit 1 penchant
h'x g«imoTO^]te({é<ited^rabie.
le village de Pyrgos. A 3o m., tour et restes de murailles 'qm^ressemblént‘àxdes constructions cyclopéennes. A a h., on voit un mauvais
^^^lief.^ais anûa^ ^ m ^ S à M m â j 7^., rum^ ^ ^ fori^e.,.Aâ|^^ra^^^^^[i;i;pnt
servi d’habitations. M h l i tM l Rdria, i i M remarag l ^ o M #nWomèt^^^fô|fragmea^ m m | W M ^
l’exfrémitéfduîcapï^^
^^^^SM^MdlStMce^Ilte^TOV ■ ' ■ ' ' '* - ' ‘ ' I