"JlofMlmmec',' «noinrfiée^lo^^Mr la'sagesse de
disscnsions‘civilcsaS.LesCyrénéens
dont «les lois i^estréi^nirën^l^^mTOi^oyal^l^parlî^^l^^ ^ ^ l
ïquiÿvere
royauté. Nous voyons encorerdS^Pio^^E^wlM^^^^^^p ^
les
leurevguèrr(Mïcontred|sfEl^ces, demandèrent un stratège aux SP ^ 1
Geüi-cide'àr^ènyoyèr^^â^^^^pii ^ayiht'été’revêtu'a’une
àutOntS"absoluc et 'na^^séTO^WdTO^voiftiifdiciairëyjrassemblg^J
iinR'lrnûpeS\'^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ P ^ ^ ^ ^ ^ ^ i^ ^ ^ ^ |yjptjb\entôKu’on
^ S e clîefideiMtf&^ajsIson1 tyran''1».’ ' ’ ‘
[i-iM(^|aimKitsè'et'^’au 1res ïtfcorejqû’ori'pourrai t eite^l l ^ ^ ^ ^ ^ a
|ÿqTOÎOT^ntlireÉemMfaqM^dans desi^ïdiffici^Jles\illès,grecqués,,l
Rp^mivantcom p ter sur l’impartialiité|dëSlënra, citoyens, recouraient I
à d’autres villes pour qu’elles leur envoyassent des magistrats1 qn^Bj
l l s a l étrangers 4ùxfïlliifs et aux animosifés4o;ral#,%arais^iént
rmfu^^^^^pjapaisërilès!'tr^bloe^^^^' à^tërminer les 'difFe'réridsTl
En pareille circonstance^, 'ellesjlevaienl s’adnêsser'auv villes de même
c°mme' plus disposées ■ à | utiles-fC’^ tj^ a J
doute pour ce motif que, dans l’exemple cité plus liaut, Byzance a
recoure1*à'iS^r^:^ïiif'e^^m^^^^^^^^^^®dorienne. Les ins-
criptions confirmentj>cé$|ait. Ainsi, nous voyons par le n° a 147
du Corpus les habitants de Chalcis en Eubée, 'faire piger leursraina
* férariâ^^r^les' Andriens qui^vei^faMW.^g^^PJlB^I àvëierit été
soiis là*dàminationrdes”Érétriên'skd’Eubéea9;'aii^^w^^^^ra^^
Érétriehs îMSubée, autrefois maîtrés'd’Andros, de Géos et Æautres
//eJ3^^^mi*Ièsquellesfig^rai.^p^^^W^p^Sw^!^a:d’âprès-jle';
u® aa65,pchoisis' popr ’vider un différend survenu entre les Pariens
et les habitan ts' de ilfaxos ^ancienne colonie de ^Chalcis 3f re qui
prouve encore que des rapports intimes s’étaient maintenus entremis
Cyclades et l’Eubée ; ainsi une inscription de Carthæa3* dans l’île de
Ccos'fait mention d’ünfproc^q^lësraKitantsîd^'cette^ville eurent à
-soutenin&ntré lesTéniensetLysimaque roi deThrace, et dont lejugementavaitété
renvoyé à Athènes33; ainsi,au n°0671,Calymna remet
à des jugés1 ’d’ïâsbs^^^^^Be|^mqncèr'' sur un ^^^^nombre3d|
procès^a^re^ ^ l l^ l i i i ]^ ^ e |p »e^ma^i^e confiance, PJ«^|g
inscription inédite "d’une y ill^ ^ ^ g S f 'iV
^ü'g^appéîé qlaTOmi^ q^^ paV suite! des'relations de parenté entre
il^ ^ ^ x cités ainsiffs^^^^^^pub'liée' plü^baut”36 nôus^montrc
' un peûple/^'donV malpureusM^t^^^m’ne no'us ppas été'co n ^
^^^P^rnnipënsantgSj^g^^|prairdemandé:àMa'vilje de Tenos, ’
j^ ^ ^ ^ ii^ ^ ^ ^ ^ p ^treÿ'sürtout’ fondées “sur un^con^mifô f de, _
race ; g^î^^fi^^müs^âppr^^^^af|l’inscriptiqn!qùi'n6usi:o^cuge|^
nuAdramvtey^lr ^ u^i^a^^d^moBrmaBareill^ d f j^ ^ ^
’ Du reste, le^noffibre des‘jugesvamsi appelés d’une ville dans
autre lie paraît pas' avoir été constamment' le même. Dans le |&ê^|g
f mier exemple que nous avons cité,le n? 2^7 du Corpus, la décision
parait avoir.^té|^m^ au' peuple d’Àndros tout „entier, et a!lors
il peut se faire qu’il se soit agi ùuiqùemeïît d’un de ces noiâbreu'fecas
rl’arhiirafre idcinfel’liigmi^^v^më.faiit mention38. iDans le'second,
avait: PgVrtyé cinq ijuges à Gjfcÿmnâ, Ct danyTmscnptldu dfe
Ténos, comme dans celles d’Andros et de la ville éolienne, il n’est
question-que'^^n^s’èul magistrat.
L’inscription de Ténos nous1 apprenaq^ r e s1-juges étaienrakig
- la ville
l 'w m 39 ^ etffigjgla' ville |ui'fe^nTOra^l^us^lui^’^TO^:^^« ^ ^
*ou^i£am<&^&^*^ $txàGTcâ.’Â''l’expiration’ 'dé leurs'fonctions, qui
étaieat^temîmraires^e't'pro^tion^^^lmpmr^^^^ ^ i'bjeirqu’au1
nombre des affaires é3 sur lesquelles ils avaient à statuer, ils étaient
désignés par l’expression de Kapcr^wowç^âso‘‘tüç -ripïçpàuuxGTai
Rteiî'-ne dit si les ffôncb,ons'J^ê ces 'magistrats -étaient gratuites
ou râlariéesî^wïljoit seulement qu’à l’expiration de leur charge,
[i'loraqu’3s „favaient rjanulie avec'éq~uité, ilstreceyaient dés villes où
ils avaient siégé, les récompenses les <plu|honorables, une’c5urotfne<
fl’. n, aa.^Cf. Titlmann, Gr. Staats<
ij&jnb^tucZxMk-wyiî^ ’Apx&MV X!
• 37 OOxfn *p«reiri|î ?jv, ?Uà -^{Svvj^ Diod. 1. c. '
** Par exemple, la demande, faite parîles Cyrénécns à Platon de venir leur ,
ce mêin‘efpKilÔM^he|pàr les Arcadiens et les Thébains pour qu'ai consentît à
être le législateurdeMégalopolis. Diog. Laert., III, segm. a3. Ælian., V. H.H, 4a.
3‘ Conon; Ùqrr. XX- Voyez M. Raoul RoçhetVe, Mst. des Coi.fg^jiù ÏIÎ, j
33 Les habitants de Géos se disaiént-Ioniens d'Athènes. Ilcrbd.'VËI, 46;
'Thu^d.jMjS't. Cf.’Brôndsled, Voyages ct Recherchés, etc., 'îresliv., p. 55, noie 6.
vs< L 3o ct suif. E~£i8^, [5 SJSuloç S ’Isenev h n voir -porepî» /psOot; tS-Æj; àv
.xai jçû.] ^|ta^cî(-TŸ '5«Pp ^ K^u^vba/, xal m il 'S
■ •:ii:S?^teelaum? aa65idu^éor/»«»Mon illustre confrère, M.Boeclh, a bien vonln,
de mes travaux. Je me plais à lui témoigner ici' toute ma gratitude pour un
me contenterai d’en donner ici une traduction iîittéWlef: _'
voyé un homme de bien, Damocréon, fiU de Zénon, lequel ayant pris connaissance
de nos procès tes a jugés et terminés avec équité ■cï justicc, ct conformément
Le peuple de ^xmtp^üè^^mra des éloges et sera couronné dans les Jeux'
qui lai a envoyé un juge intègre, et qu'il le couronne pour laigénéro'sité'5pt^lJ[f).
et Ta bienveillance dont ila fait preuve à son égard.
sion de le héraut annoncera alorsque le peuple couronne le juge
qui lui a été envoyé de liampsaque, Damocréon, fils de Zénon, pour avoir jugé
Usera désigné, dansd’assembléej un^amb^sâdeur^qu'^^^^^a’aùprès des
a l'exposer aux regards de tous dans le lieu le plus évident, été:
37 Tciï Sfyou -aZ ’Av&ptioY l-noç «rr^fcvcSç xol qùjyj. Lignes %G ct 37.
** Voyez l’inscription de Ténos, ligne 55.
plus faible, [8t]axcoiSv, pins Ae u5o procès.
(') Cette inscription conservée aujourd'hui en Hollande, et dont deux ou lrob mpU sedle-
ment ont été ctt& par Koen dans tes notes sur Grégoire de Corinthe (p, 1«, cd de Schiefer)
‘ dn dialecte éolique, consiste en 40 lignes, dont les cinq “.... ' ■
des éloges ’ p(ublics‘
l6, l’exemption des charges publiques^, le droit de cité<8,
ville5», etc. 1
gestion. Seulement les honneurs qu’il recevait étaient, attendu l’infériorité
de son rang,-d’une valeur moins élevée; ainsi nous voyons
buste
(l’Antlros noils ^ D g b ^ ^ ^ ^ e llè.^ a i||P a^ ^
États de l’Europe, nul ne peu t
cette sanction, mais il est évident par le texte même de l’autorisation
qu’elle est'la seconde eu date et qu’elle a été précédée du décret
gravé à la suite.
à s es
1 7 # iQ * Q 1 5 ö 2 ^ P E 5 2 ? d2 3 3 5 Ï K t i l
ins,
à croire .que c’étaient des
fait'imi mérite aux juges
d’avoiryda^ ^ ^ S ^ ^ m ^rét^^îil^lpârtresBw^ ^ ^ i ^ M B
E^ aKuiMurai.B8uu^ëH^M1^31^^MD|^^^ffll^^ ^ ^ ^ifeterniiiié
d’autres par voie d’arbitrage s7, ct de;n’aym^rot^^M^ffi^^^^S
^^lMÉcritcs^^leM^^^gg^|léMët|^oraî|;'étnaD#M^ ^ ^ ^ ^
suivant l’ingénieuse conjecture de M. Boeckh, qti’après avoir épuisé
exprès t‘: lé'^i|pSsUif
pft^kt!weïMl^||ScEjwSEl^3^^ydontale^^^MM|^^ est
quëvi el^KliMgiy^ffi!s ce
liateur rempli par un certain Cléon, nommé gouverneur d’Égine par
les rois de Pergame, et par conséquent réunissant ,1c pouvoir
Militaire, civil et judiciaire. ,
Du reste, il faut voir dans cette manière de rendre justice, une
Rjw l^ a^ ^'iffg^jW^^^Mtc^|{^|en' était de mêmtï^RtïwSH
où beaucoup d’affaires étaient décidées, non par le préteur pu par
les^magistrats. légalemjmëi^jra^f mais par d e s '
Par fionsé^
KOTi^éééoër^^Her^^^^î^^^^^^^^^parilës Romains. C’es^u>j
moins ce
i ^ ^ ^ ^^WerrineC5riOtàm^^^Ml^Pil^^dMij|^ ^ b ^ i
qui sanstdou^^amarafgque sanctionner un usage établi : Quod
qua cù’itate, qui juçlicet, detur, cum alternoe cmtales rejectoe
^C’t ^ ^nSjaffiipè^^blable, au désir^^fflMra^ÿpt,ic^imj
- en raiht ë r e '-a e |^ a î^™ ^ li^m ’ést 'd U^agstim^^B^R^^Ct^
d’après un nassagfe'd^(^Si^li^^Get’q~uHlfYia'{cl^Maar™^^^^ l
E ’’ v ’ t v n i T * 1 1 ■ 1 1 . . ,
4’ N° a67i, l.Gi. Inscr. do Ténos, I.67 (?).
j j ^ J '■
j^^^M^pI^WdoiTènQS,,K, 66.^1 n s1j
'(?) -
» laser, de Ténos, l|MMya@te)^ »-a»As>.éMé-wv^ «4
58> «- inHtéfoi^ifaiiSioWyMglacune.. ^ \
^^néêfàd’Aadros, ^ >.■ .':..\':; r^c .^X'-':ï.i:£.
> L l7fJ*P|- > *■ ’ ■ ' ' ' J»!,*” ! f»'«*
j^ M H K w S B S ? ' 3 B ’^ s a H a P H I ‘>■1,. 43. TivScîl« * ’ ■ '■ “ ■
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„ 40 « Quum Heliàstte qui tpjMnn a Solpne'piiovoiationnm tantum causa
Stmuuentn fPluS^^^lolemnimoreomnescausas a magisïratibûs ju
cmdas nccipeiuit, fimi-n m. statirn m supremoijudiuo pciichtanduui\ms
bur^ndeo paulatim învalucrunt u^itVe'^liîil^cius'fad Ildnstis quam ad irBu
aoferratùr (iîei^^^ponePbot. Pors. fcgp Slxa. # PpR
I^Bvràfiae.ndx«. i ||y
Plntoni ante oculos fuisse, ipso £iarn)vtÔv nomme appaiet, quo 111 pnmo.judiç
gtAdu designando identïd’cm^Ui^^gg- 331)^1%- -Cf X1» P 9?°
Car. F*. Hwmiw, Disputât^ de vestîgiis wtitutorum veurum impnmis J
comm per Platoms de Lcgibus hbro^ wdagind^M^mp ^ 6 , p g ^