HUi
SCIO.
Tnscription copiée dans /Ve <fe Scio par M Trépel, sur une
pierre encastrée' dans le mur du-kîosque de Mecheley Pacha.
\ ^ :q E pA Q J o ^ ^ ^ ^Y 5^
Le second de ces noms a été évidemment mal transcrit; mais il est
gfiffj^mcil^dejle1 rétablir. J hésite entre $u [pxo] u, <I>u [g] i [xo [ü],
et $u[e]t[Ç](â[cd], D,ans des deux premiers cas le second mot contiendrait
le nom du, pèçe de ©ep&o'roç ; dans lirtroisième, ce serait l’épi-'
à laqnelleJ' TKe6dôte 'aurait’fait ■ unevofïran”de^
et cette divinité rie pourrait èt|e;Sutre que làTerre^Pj^iffl®^^^®
Déessefs On sait que l’épithète de «SucSüoo; accompagne sou vent dons
'Homëre:l^mo|s,^ çt'a[a a- ^ •
SMYRJSE?
Inscription, copiée par M:. Xr^l^sur'lûnë^p^^i
montant à une fontaine à Smpnçï :, ■
ENE T flN
. ' ■ Qjfoûîîde ||1 | Héhètes.
■ Les Hénètcs pu VénèLes se croyaient, onJe,sait j les descéndants
d’une peuplade paphlagomenne, ?qui, sabrant une agtigue tradition, __
serait venue, coMmte.pær^nténor, s’établir dans le noid ^‘ê^l’ïtajie,- 1
sùr le:'rivagerde la-mer Âdrkti^er'Ils'^dûEenl, à centré, entretenir"■
'-dès ■rektiôns’idve'c l’fôuÿ'Môneuré:; et l’on ne doit pas s’étohner* qïdnn\!l
temple de Smyrne/ait’reçu Jlëurs offrandes.
Tnscription tiouvée sur une coloime en marbre blanc -dans
une mosquée à Bàw^Êm^foés!' <le , Sihymé, et copiée par
M. Tr éM ^ \ '
' '■ - riMNnxpEONl : :
T0N2flTHPAM0Y
PANT02 À3EAOIMOY I
a PIPAYM3ENOY ^
Cette inscription ïïîest.pas iradhe. M. Le Chevalier l’a publiée dans
sonfÉÿti^èfdetlatyfoade^t. LGSp. ïSïj. La copie qu’il en donne présente
deux variantes seulement ; ligne i, Y/VjNÏ>0EON, et ligne 2,
50THPA. Ajoutons qu’il n’a pas reproduit lâ^forme '.singùlière
donnée par le lapicide à la IletlréâE. Suivant ce célèbre voyageur,
l’inscription est igravée &r une colonne enduite de vernis, circons-
Lance qui n’offre plus rien d’ëtonnanlïdejîuis que l’usagè antiquë dé
la Jithpchrômie-’a' été attesté; par laiit de découvert«
M. Le Chevalier voiL dans notre monument simï inscription rimée.
Ihkx. x. — ’ KbI Wfi, jjv (t*Y«0»lv ftei
1 Âvoji/iÇouet. Paus. - f f
* J/. IH, 2/,3,; XXI, 63. £W,XI, 3,oe
las«, a. — r De; pareilles'"assonances entre la fin de deux vers îambiques
consécutifs, sc rencontrant dîczij'es méillcura poctes du"grand.siécJe^noEaînmcnt
dans E^fÿfe^nÿ. 'Wellauer, Comment. -M ’p| P tad‘ Ç&ag>/i.a3S', a36.
Sans dquté'on y. rencontre le retour’d’un même son aux' dëux\;pr'e-£
^ . ‘mièreslignes et aux1 quatre dernières, mais que‘ce soient'là des rimes-,
c’est ce qu’on ne saurait a,dgietti e1. Çg qu’qn ; ne peut s’empêcher
de reçopnaître, c’est la paédpminançeidp mèyre'ïambiqjjp, eUl’qq fist
conduit à disposer les six I ignés de.j#, man,ièrg suivante.: «
■ ■ '.îiav.îàc?^È^ol{ioîï ,xai,:xsaoû/‘ïîeïr«u(iétou ÿ ■ •. . ;• :
7e chante /e fleuve-Dieu 'Mêlés, mon sauveur, et délwr'é de
la maladie et de\qpqpsouffrances, (je lui ai élevé cette statiÈe
icdi^^ ^ipn^gnagéiSë^^^qtitude'p- Q
^Mais de nombreuses objections se présentent contre cette çonjec-
tare. Dabord, il est peu vraisemblable querinscîjption n’ait pas cpip-
mencé par le mot ûpvü où u nst~rarement'.brëf-.i^^U^^@M^TOUj
premier Ordre1 ; ensuite on ne rend pas compte du 5 qui suit ce mot
dans Ia'cdpré deM. Trézel: enfin,,?cjî qnijîst beaucoup plus grave, on
a, dans le premier trimètre, un spondée au quatrième pied, ce;qui'
est inadmissible. On lèvera toutes les di{Bonités en retranchant le mot
POTAMON ajouté vraisemblablement par nn ignorant làçjéidejqui
voulait ne laisser aucune incertitude sur le dieu auquel était consacrée
l’offrande. Par cette supposition que je crois trJ^proMBle, on
obtient les deux TCfcs. ïambiqpfes- trimètres suivants : _ > ■
' '-^^v3?St fiecç; jov p/- pou ' ? ' ’
Si \oi[uiÛ km xowv r.ir:civii.évo<),
Le premier vers présentera encore une irrégularité, l'anapeste au
second pied. Mais si cette licence est sans exemple dans les trimè’tres
desifeagi^uès 3, .elle est assez fréquenté dans ceux .dés comiques 4
don t le style se rapproche beaucoup pl us 'du langage delà con-
versation. Or, nos deux trimètres ne sont guère autre chose que de
la pBèsesâétrique.'.i
La beauté'des eaux du Mêlés était célèbre, et on peut conclure
de notre inscription e&àSûn passage dé Pausanidç5 que les bains
.qu’on y venâit prendre étaient regavdéSicomme salufâirai.
3 Porson, præf. ad £ur. Hcc,, p. v, flcnn. ad Ptutoçf. 771, 1,37a.
i VU,' 5. 'Ecw SI /r/}î^Cn)//«3oî xmmthovau U’^^Oa^oi; &/fu, /al h uù-nj
XûVTpa ^rùAnçia, (j^ÀnTa tmv h ’iosvitf Xou>pwv ZpvpyÀloK.
SUPPLEM) N I \ ira iSW nM IH ^
le Magné, sur un
rocher, au bord d'un torrent.
' ■ 1 ƒ- PODP . . . . BAC
AAPICTCYO
VAIONIKIAC
fragment paraît avoh^pm|^ ^feqn:^mfeAdSncrip.fipnS'i|^^[
une épitaphe à part qui était ainsi conçue :
AYPHAIAC[A]
NOI ACTHCOI
■ ikQéUo^heau^èst'Ælu^fâ’AÙr'élic^^ntm^^Ml^d^^ÏÏîlari^sM
Lé nom d’Anthi^^ ^ ^ n B^E^^^ ^ t e i^ ^ ^ ^ ^ n eVdu foman
Philaristus ne se rencontre dans
de •npms^-%r,^^^®^^^%ceux de Lemprière,
de G. Ch. Crusius, etc. -, '
Dans tout le reste du monument il n’y a d’autre restitutiou possible
‘^'1 i^né. 4- rGe ,_npm^^^mui, d’Aurêliâ
prouvent que l’inscription où ils figurent n’est pas antérieure au prer
siècfë.de r I B S
Inscription copiée par M. Trézel, à Marathonisi, dans-le Magne.
i®e.,ert gMt/ée jzn- ««'/-oc/ie/-Jitüd a« ^o/#^e Zà^OTer, au-dessus
clune petite source.
B I S qI B M
AEKAAr Trv
T Al AF A Â T À .
H0D0A05
| S lire
■Ééfelignes’ suivantes sont' évidemment gravées 'dg^^^jra^a^^eS
Du i uger par la forme
^^^taM^[que^onvnjaypu;reproduire ici;ÿ;mais qui selrapproclîé^
.de ài’tÇorpùs, ^^^^^^^mL’èmplbvdu'’
TO^^m^ l i gnc14, et du H -comme sighe d’aspiration 5Màidîgné?5
oh l’oi£’pJé^ut'mCTsSmuc^^w^@Q^ etjfe mefe
Sont tout ce qui reste d’intact dans ce taonutaént!
Inscription OojneM par M.^irlehi^^^nt^^^MfoiUàgWâÆil
aSB^^b^ß^^^m^deuVPMfäffe^Me'-rqncienn^Dd^^^g^ß
dont les deux ;dernières®spft^sigfrustes. ,qu’il<-Mere,dtmg ^ ^ l ^ ^
les déchiffrer. Elle est gravée en caractères majuscules cursifs tels
l^^^siémployaientïles Roidains dans les inscriptions peintes j comme
Kb'a^xemSléjfdBn^^^fânmusBfdet^e^^^ ^ ^ ehcore sur les murs
.Voici les deux premières lignes du monument recueilli par M.Yirlet :
DUS CASTORI E T POLLVC1 SA.CRVM
DOMVS AVGVSTI DISPENSATOR
Consacré aux dieux Castor et Pollux.
■ ^.V;'
i Cct1eahsçsiption\,àt.'jJhiçée';au-dcssous d’un petit Sha&iKgheîiJp^. ■
sentant deu^hommes debout, ayant leurs chevaux derrière eux. L’un
d’eux aà^^pèce .de son cheval.
Entre les deux cavahers.s^>sifas^3,eux urnes«..
Quand l’inscription1 n e * l e s
^ ^ il^ ^ p ^ ^ ^m m ^ ^ dans ces a ^ ^ ^ ^m ^ lés Dioscures, telg
quelbs représente Hpmèie1 :
Et Horace d’après Homère :
Cajfor gnKû'e/ eytaf," ot'o ^rognato eoJepz i \ '
Pugnis
Et ailleurs : :
■ Hune ëquis, üliim superarepugnis^ ~ ,v
'OnmCconçdit què‘llar.^sïKdans la représentation de Polliix ail préféré
le disque au' efete c o m m e s l a pose de
sTrollu^^mSHt :cêlle^ueÿîhi^dqnncnt1 les médailles consulaires 4.
■' Ôn^peut voi^^^^^^pfiès' à^buts ^ ^ ÿ ^ ^ ^ u n e savante
dissertation <te PlTillppei'-yis^onti^^cê'.dans1 la description du
Miiiêo
figuient ues-souveutsui les médailles de Spaijc 6
>’ -^tes ldisp'ensatores domiisl J Ù m ^ ^ ^ MÆvo'^ ' »»nsi dires les
Ç méioriei^écies caissiers de l’ëmperéur’. Dp reste, sur la qpeslion'\d6'
savoir^i^ç^îamSMdes* ésclây%-|^^^^ï^^iut, voyez Muratori^!
Nopits Thesaurus 6
et CIVrvn j-’8, cl Mv Orelli l Itiscription^J a t^ ^ ^ ^ ^M m ^R
collectio, n° 4ooa.
3. — 1 Odyss. x, 198.. 5i,85;.K