M
M' B*ouet ’’ la
ranger parmi les inscriptions de Rhénée, car il est probable que
même après l'introduction du christianisme dans les Cyclades, l’usage '1
le commerce,
orateur dans sa première lettre3, la
'!>ou^s’érartan^defi!a ^ ^ usSSp|on>avai&^6m^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ 8
sépulà^aux^ôïts^^â'u’ïl e n c e l l e lettre,
que Taylor, tout en. reconnaissant' quîfdlém’est pas ïadigne d'Escbnc*,
croit deyoïraejelef comme il tejetlc toutes^^^^^^il est cons-
avaient cours dans l’antiquité et
Ip utier vi ra
lion prouve la longue persistance.
M. Trézel, la seconde par M. Poirot, et la troisième par M. Yirlet.
E M a J o n - a f e ^ W ^ g ^ ^ é^
duil en meme temps *raspeo^ïa monument sur>quel elle a eLe lue
Comme ces trois tcopiësKif l^ ^ ^ ^^ffe^elles pour qu’il soit
chant' Jligncipar ligne -Par ce moyen,, oh pourra reconnaîtie quel
degie de cônjance méritent Certaines Irangôrjptions;^^^^^^
'■ étranges confusions d.ejettgea font|I|| souvent les copistes. Ce sera
encoie un argument en de l'estampage Je désigne
^lï^^ ^^ tfeo ls ^exem^aires .par de cgîuilÉ
7. T . ON A
P. ON A
V. ONAIM
9. T . SASNI
P. IA SM
V . SASNI
10. T . 0HANTA2
P. OPANTA1
V . OPANPAI
I np ohon poNM A i
nPONAÏlPONMAS
■ » I ®
AYTHETOANAITI
A2AYTH2TOANAITI
AO Y Tn s rEN H TA l
NAOYinsrrNHTAl
' ":2 INAY~ M ^ ^ ^ ^ ^
M n» P 1 ^ pnI y e ^
51NAY l l NHÿApMAKEŸ
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N0I2AYTONPYPIE
EKNOlSAYTflNKYPIE
hNKAlOIArrEAOlOEOYn
£VA OlAlTEAOlOrOYXl
nNKAIOlArrEAOlOEOYn
|p ^ p ^ ^ M ,H E N fH 5 H M E P Q N HMEPA1TA
P. NASA ENTHLHMEPON I 11 LEAITA
12. T . PEI KHSHil
P. PEIMOYT AÏMEO lK E ij^ ^
î KEjTEI A2INAE
13. T . TOAIMATOANAPTIONKAITHNTAXI2TH
B - $ . | fp | | lM A T O A N A , ITI O N KAIT I NT AXIS YH
V. TOAlMXTO^:N^^h?QN K Al TH N TA KIS-^®
PAO
I PI YO S ; ƒ' .
EPITOYS
^% ÿ ^ A K E Y 2AN;;
MOAPMÂK5YEAN
L’explication de ce monument n’est pas sans difficulté. Sa for
et ses dimensions6 annoncent un stèle'funéraire; et inscription
^înâlheurètKenïéntftrès-mutilée qni s’y:trouve gravée, ne peut guère
laisser de doute à cet égard. Il est bien vrai que les épitaphes cfiré
tiennes sont ordinairement, du morasjlif qualrièmemu sixième siècle
conçues en peu de mots e^re^E^^l^r: des - formules consacrée,
telles que, ^acuç^'irf^o^ÿ^^M
• Qtèv.9,', Kyh JaittSim ivïiptfvT) 1
- dojjr, oot r*, ssp/î;fl coi ht Oe£j i5, KK.r.âô'âS^j. ,6, èv dyccxf *7', izotpîOï) 18
ctKrJJdyJlr,, et quelques autroe dont l’usage remonte au paganisme
fcommeJ l 'très-bieni'démpnlré mon confrère et-mon ami M. Raoul
Rochette I9, par exemple, tù^uytt, Qâpau, eûpoipeiletc.^t^l
> 5gi, V
propemodum assurgat.
le hauteur, et o,33 dans sa plus grande largeur,
.ripdons de Loucou, n° 1, et Fabretti, Jnscr. antiq.,
Sever.martyr.,' P^-*43y devait se rencontrer sûr les
ette formule latine, VIBAS INTER SANCIÏS, citée
ÜOeOTMENH
fp | § p ] i f § 9
.'.no6w|sévq.
» Voyez plus bas les ins
** Iiisciiplions de Loncti
,5 M R îoul-Rochcttc, JD
".nils bon courage, Alexandre, pertonr,
mm
On n. aucune de ces furmujes
douces c!t consolantes; mais, si je ne m une
decésiiinprécations s offre plus d’un exemple,
soit dans les rituels de l’Église11, soit s
des manuscrits a3.
Voici , d’après cette idée, la restitution ,
raç x^pîwçjW(pap^axeyaav- ’',
7- ÛV «dp. [a • xai avdflep.]a o3ro>ç yérrnai
10. dxavva [ÿ7ijjuoupY]Sv xal oi ayyîXoïOsoü, (o
W^SQn^&x^ttavtcume^Weu^iet^iî/^l/t^tmimm^^w^^ibl/'e-
amour, ou qui ont versé son sang innocent. Oui, anathème sur
^FësWméuntrierMWur^esmïï^m^^^^^^WwieMeÉsrl^léur^^M,
fKxnS!^&ene!m9s^m(MiSu&tmitS^fx^Ks^^oxiaaneêsSaeëiÿ.i&^
devant qui, en ce jour, toute âme s’humilie suppliante, afin
qu’il venge sans délai le sang de l'innocence.
Ainsi notre stèle ue couvrait qu’un cénotaphe consacré à une jeune
fille qui avait disparu^et à laquelle sa famille avuil rendu les derniers
lignes, malheureusement trop effacées p ||p |B ’iii soit possible de
les rétablir, devaient contenir le nom de la victime. .
Quoique, les caractères
forme, on ne peut guère, je crois, en la comparant aux imprécations
dont nous avons parlé plus haut *4, lui assigner une époque
plus reculée que le onzième ou le douzième siècle de notre ère.
d’excommunication de la fin du Xs sïècl^^o^l^SlMÎ^ll.e^pSlîe^BOUnablfclaj
et une autreV’pV6â5^ 6n6^umde cqndâmne,
||tiunsisuivc n tes que cite Fabretti (Inscr. antiq.,
seconde, d’après le recueil de la bibliothèque Barberini.
MALE • PEREAT-INSEPVLTVS
IACEAT-NONRESVRGAT
‘04^sfé^y$èm^àm¥icf
VIOLiVVERIT
sa Saxonia, ou par Munster, dans sou Dictionnaire^^ ’a^^q|w^llatonip<fe‘
ratriceÆ^tMaaWCTm^r^^flériclBarberousse. aurait ét^promeneSp a ri les
Mîl.Vnnî^mnnfêff■ s'ij'r une mule ,yl^M^^rné«vé« la téteufed’anîmâl'et le‘:vif
II est assez
dans d’autres auteurs, que ila^çhanson de,Rpland tfu^çhratée llla^taiLle de
üasting , en 1066 L’mcnpUon ^de Nepi .prouve que celle tnduton s’étai^
répandue' de bonne heure en Italie. Les noms des héros de cette épopée, notamment
celui de Roland, y sont, encore aujourd’hui, populaires et passés
nom de Roland, comme par exemple, le fameux phallus de Psello qu’accom-
LOCUS • SERINI • SVBD • REG
QVEM
PECIOS A. ABBA • CON • TV
TA • CONGREGATIONE
CVM • 1ST VM • BIOL A BE
RIT • PARTEM • ABEAT • C
VM-1VDA-TRADITI0R (sic)
1“EM-~DNl':KOSTB.I IIIV
f^^^lion^ciicSstrde pris de'là;porte latérale de l'église cathédrale de. Wepi.
' TEMPORIB-ANACLETIII-PP
, 1 1
FIRMAVERVNT^SACRAMEIlTO.'yr SI
;Qm,BEQi^ NOSTgAAtj^LT FRANGERE SOCIE
TATÉrL’DE'OMNI HONORE ÂTQVÉ^DIGNlTATE
, DOMINO VOLENTE CVM SYISBEQVACIB. SIT ETE
v :QVE’PYÈATO;jHABEAT: PORTIONEM -ITEM
TVRPISSIMAM SV§TftlEAT MORTEM VT GALE
,J':' LONEM^V,I SVqS^TRADID^XÔC^S^ET^C
RETRORSVM SEDEAT.ET,';CAVJ)ÀM. IN .MANV
TENEAT:
-se termine par "Oinn ouv pouXTiOri gp«t -njvSe t^v plëXov fci-îiiç TOiaurr,.;
,uov9î; ï|£ÔWywcy1 dvEuIoyta? ... -piôxov pàv xXnpovopshw wdOtjA«, -ri|v apav (|lis. àpiv)
Un au tic imnusutt de rno5 |C^Rf^fi/|, aujouid’lnn 3ot) offie celle tutic
formule : Et -tç Si pou^Oîi dpm -oütov xpuçtwç t) xol çavspwç, fîn -«t opè^hs’î^;)'
irSiv 16 dirorcoXtov xai xa-apaVsBpj xtotiosiv» -iïitvwv pova^wv. '*
plncctnu XIV siècle, on lit EtnççwpaOstri ^ «ô^pïSXtov, .^™ «“P“î(l»s
1 dpàc) Ttov tpiotxocfwv u) OsosopMV itatfpuv.
Voyez.cncprdl^^patio^hv. termine le. manu^t>dû.mAmèij^^Mafroi
collus llul sont
■ indiquées dans le Catalogue de la bibliothèque Coislin, p. 65, ti8 et 119..