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à/M ndnTfM|Sp s^ à ' Sàntorinill p ^
dipsta?uide^Ma]aj^L^spèG^él^^|i^^ E ^ ^ ^ ^ S
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ffi^in^tÿdes’rivièVes'; et, malgré|Fexé^tio!^IeiK^^p^i^ f^^]5le^peiif^en^étai^all^ttTra^pMgm^l
^chevau^^^^^^ët^sculptürg^tout^eut^ ^ ^ a pifp^^ ^ p^^aBime^gm^
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êlîe^chOT-
«relie que l]^ ^ ||d u ire tO T ir en France æ ^ ^ a ^ n y 'p i p p ^ ft
l’un s’effectuerait le 15 novembre et le second aurait lieu le 15 décembre. Comme nous avions encore
a Jaire^unj^ Q ^ rÉ dW de'départ no^ c^ v ^ ^ m a i tp a ^ ^ ^ t ^ ^ ^ ju g e â -
I ^ ^ M ^ ^nfribus ^allâ±aes^àyJfaVarirf4n<3ur!vAdrspôser3l:ëncaissém^t^çu5i p ^ m
^^é^Fràml^Ec ^ ^ s vaisseàuxp^^n^ a ffloi^ s^d^s
leport;,"se<trouvàiébt^ >pàr. l-amiral Rosamel, l^nila^fré^mWll^ ln eIefi|^fauël-;;
trë absencë^dë^m^^^^^msme^lm^WMiënti^e^^^^M^
dans la>yïLle,et les fortifications oenstruitesjp^|l^^Mats’ étaient déjà en -trè^norlfféra^
■ Mac^^Ëaiæg^Se^l^^lfavarin avaient disparu; ônràvaitîétabliun c i m e t i è r e I
“^^dp^^î^e^l^ui^pàys. La partie bass^ fpla viUê'^àpp^léë|lë^Mzar^'a^^^^^^^^^ra^^^^P|
^eWnLÿé^^^^^mttt^ponsidérable de maisons y ^^^.ft%é|élevées:^ '
^0^^^ari&Mous>jétournàniesyàa/Modon^^^^^^^^Kam^BM^^^^m^^@^^^^^lMM
r o u t e
^ l ^ ^ ^ ^ ^ ^ d ^M p â^ ^ ^m ^ ^ pÉ'âirigeâmes à^^ÉE ^vCT^iës^SaVàgn^ ^^ ^^^ p^^M amM ''Aspi''ès
avQm^^^éÇl^^aïmet~Aé c^m g üM ^ ^ ^ p ^ s é'v o y é ièn t, à 'droite , Reux ruinés b.ÿzântines et^fà?9g'mclîe;î,'
cée sur un plateau en partie couvert de buissons
E ^ ^ S ^ g p c e s . L à ,'• ce n é sont", d^pm js^ c^ ^^ ^^yd es^c ir^ ^ ^ ^ d e ^ y ^ her^ a r iq e ^ p |n |^ ^ le !^
bbrds^ç^un
on arrivei'àRa^^ a ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ è g fd ë ^ Ià -^ is te iRn^-pàrtie d P i'â q^ ^ u c^ e lj^ M ^
Yersda fontaine (j^onBé,"
^ ^ ^ ^ ^ g P .e ^ ^ t e ^ ^ ^ ^ ^ W W a c ru è l^ TO s aiajvâm^^énMxt^c^m C T f^ ù .:^piedi(dti mont IJiîàw,
Nous repartîmes de dans ,de^buissops et OTahTagèjb^^^Èï^èB
chênes. A notre droite s’élevait le-mont Pilaw e t, sur n^tre, gaaehe^ s étendait .t^%j^|upe|^mj{aspect
fort riche. Un peu plus lo in , il nous fallut traverser un torrent qui roulaitfen cascades sur des^roehefs
couronnés rdfei-fp^âmra^dé lénlrsÊpïé# é^ d’àrboiisiefSJ- ^à îs^m^dOTnë^'^^^^^^ ’pâiéagë'^itf^ës^üè
g a n té e dfi chênes. Au milieu, nous .grayxmes.un iûçjpç. d’ou
h o | |^ ^ ^ ]^ fe d é c lq u 5 ^ ^ à ^a payeur d u n^ c la iriè re , le fond-R^^olfe -de Coton',. la plame>dé Niai et
de (^ am a ta^ ë j, plus dansTéloignenx<mt}d^immenses montagnes du Taÿ^^^RJnë^ktmbsphèré cbaf-
[g0fd^ ffîiagês^ mais b rillant des couleurs se perdait dans les eaux iïii
g olfe, vint encore ajouter ses beautés à celles d^*cet. admirable Spectacle.
i m
veinent traversés avant notre arrivée à Nisi. (Voyez la description de cette ville, Ier vol. pag. 1 8.)
La route qui conduit de Nisi à. Calamata est à l’E .; des haies de nopals en bordent les côtés. En la
suivant nous atteignîmes les rives du Pamisus et
autre côté)
duquel est la ville de Calamata, qui parait avoir remplacé l'ancien bourg de Calamé dont Pausanias fait
■ la. villefe ® r^^ ^ o n vMdes.liardinsgj
assez- remarquables, en ce que le style
heurèMe^CalànfatâKi^ûrRàrrouteMè^MfÉioeéMsô^^^P^ s romains;
||ne^n^WAvanm f ém a i^ ^a^ v ille , nous nous rendimes chez
lettre pour un de ses frères qui se trouvait alors dans le Magne*.
Une route bordée de haies de nopals et se dirigeant vers T E . conduit dé Calamata à Scardamoula.
coupé d e ravins. A près un e demi-heur e de m arche environ, on arrive au pied
gCTa^^^fd^m^m^^^^nu^pàrj d^petit^mi^^rm. formêntNîSpaüérç^rès
tnonta^nej1
contre
les Mania tes , -
:l^M a s p é c^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ c ^ ‘avin s inulbpîies^leyTO^e^^^^^^Sp^bXassbns'^desun^cagTOM
^Q n1^pfe|l|^ ^ujB5i|Mms^e cb é i% bmté laf,tër^^ ^^ ^ p . 4 ’amassent^ et/ l^^pispqrterît^au * piectfaesf?
soutiennent^ avec* des mûrs de pierre. Ils ne trouvent à l ’aide
dë^^^^^^^dë^^^^^MHnsj|febsap^H^^M^B5!|^^^Wsl!ine
â^ra^ ^ lp lem^^^B^MCT^^^^^^ml^^ll^mj^^^^M^/si?chàteau^f@pimmale|[caÿafctèré
- sévèî^p^^|^^^^hàfmOni^^e’cllgà^^MMa^^^^^ ^ prrêtent'lseuls' l\ttentio'md^;^^^^^^^
Quelque triste que soit l’aspect du pays, il est cependant un lieu qui offre de grandes beautés
UQ torrent, et sur le sommet |
desquels ,* renfermant plusieurs
P m i^ j l^ ^ ^^rèsiento'urent ’de leur feuillage les maisons et les églises. A droite, sur une montagne,
on a perçoit un autre vill â g e , Yarousa ; il est défendu par un château dont les murs reposent sur les
^ ^ R ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ pX jjn ^ B i^ lip i^ a p^m ^m e^ ^ r a^OTila^ÆS^uep^tmar'ocber^peu' élevé. Les maisons
■ Y^sdnt^Bi<^ ^ ^ CT^Mm^OTTO^^^Jtd’entre elles 'Sor^Ë^CTTé^lgl^ u ^ ^ r éiie lé es^ ^ î^ t ^ ^ ^ ^ ^ ^
• '«- P au s àn k sp ïlS ^ ^ gX ^ ^ ^ ^
■ En quittant Modon à 35 minutes de marche vers l’E. on voit, à droite de la route, Gravatigni, village ruiné. A 27 m., on gagne le haut
d|une une maison en ruiWM.ydroitfiysur,«un estera? p^t;sitné|le^illa^§K^ j
Kinigon. A 33 m., restes de route pavée. A. 27 m., on traverse un' torrent.,A{u y | !^ ^ ^ ^ n a 'rÔ ü t e d^NayàHn^ à^àuene’ dans
l'éloignement, s’aperçoit une cascade :-'près'de latroùté'existe une partiep^H^^Mu^e%àvarinf Àr3^^S^^^^^^™ramtain^Go~ub,ê.
pjaçdeM ^Mldu^ont gilawi Av i8;m.,,;on-tra versetunitorrent.^^pMgE^^^ moderne, sur'la gàu^ ^ ps^l^prêtide^^^M
A 30‘m.^un village ruiné et une une>descente,ga^ée;^drj>it^,-sur^uue hauteur,.Calcani, village,
et au dâioîÿcampagne t h. i3m.,
pluino immergée où l’on cultive le'mais: A a5 m., on traverse le