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lignes, on ne peut la confondre avec celle que reproduit le n° a385
p^^^^:^^|ffebMet'te:deruiè're^^fOTmS^w ^ ^ eule-ligue’,
est conçue en ces termes : Swofltvïiç Ilpooôévou d ispeùç roù Aïoç tou
Les deux inscriptions offrent, comme o t e s a
notables ; il paraît donc difficile d’y voir un seul et même monument $
yffiji^a dernière! partie aurait été omise par M.
sonne quidufra’ rn'rnTniiniqiietsalco^gTO?âffîmKylés^lieux,'où, l*i^re'a
ia'yangEW^QP^gaTOl^pS^E^^^S^^fflMis notre monument
provenautVflç haùâioia^'^ii Ma
D’après ces considérations, on^peut,admettre que ces deux inscriptions
âp'paït^ienr¥a«i!c téçjplçs, différents converti|mlu|j^g
pie defl0m^^^^rorctdei^tdu%deu»él^s^^un même citoyen^
1.^ .1^ , jà dilTérent&'^poques, de ces IJifférento^.diwinit.^^^^!
'Écmom .d'e Piostibènc, avec Jg îfôf&‘è Jd^lg^>itif que présente le
une c<ertainev'époqu'él^^gg^^^^inaifféremm^ÿ;l^fdeux - formes;
êlle(g.fÔujçrâît aussi, si elle n'offre pas de lacune, que rarriclem’é^pf
pas toujours placé devant le mot Upeuç, comme le pense M. Boeckh*
d'après d’autres monuments.
blanc.
Bien que cette inscription se trouve sur un t
m’en tenant auMëje^^^rq^IIel^^sènte.
De tous les sens qu^^i^^^m^rg^eilé-;mi>t (iaut^j^^n
retrouygiMn^laft^g^mième^j^^îptîon^d?Égin^»■ '■celü i® qué-f j’à i
adopté -me palraît le plus vraisemblable. Plusieurs épigrammes de
l’Anthologie soiat consacrées à des nourrices1 .^Snfajp 3 p p | ^
la'même manière quévl^ mo^/^wçîéKMiqXu^rT
musée (TÉgine,
par M. Virlet, au-dessous d’un bas-relief représentant :
une femmefasfîscifet deux guerriers penchés.
WPoTYXoC ZlOlAoY
W i l i W a S »
jdscrptiôn'cpm'niùniqu^e <& 'Ml^^irj^tmv^c 'le renseignement sui-
., ^ & ^ E ïSKAIsE^pEèAHC«) - >
2EN XPY2(D2TEOAN 6j N
POPYTON 0EOKAEOY2
lï pouX-Jj xal d Süpoç «ïpicefv] xal è<rrs<?ava<7£v youcS GT8pav[tj> TAj
Ip’jirqy' ^eo/jksouç.
Le sénat et UpèàpfchM^^^^^^mtt^^mtsdvne couronne
y Ce monument 'ofn^^^^ ^ ^ ^dfanâ'lë’gîfe âv.fer le n° nâÿ.8 du
Corpus, qui contient aussi un décret du sénat et dû||||mlede Earos
accordant une couronne d’or à Gorytus, fils de Théoclès. Mais,là
divisiôd''fd^i.ltl j .|^ ifi’est pas la même-dans-lfes deux inscriptions;
. du décret,'tandis que la nôtre
se bortfff^tli’énonciation du palB^M^^^D^illetirs, bien que toutes
É | | | l | p'àraissent avoir’fété trouvées dans la même église-,, g.elle de
<il^. paraît résulter de nos renseignements et de ceux
que ïd}ïra.i,yGlarck *, que la nôtre figure sur la porte ^.(L’aûlfe^süç
Wiawmi^in'terîéurl"Il^Mi^^mI^^^ra^^^ ^ ^ plusieurs exemples
du actes de cette nature^etaien^spuyency'grayés à’.!
plusieurs exemplaires, les uns in extenso, les autres en résumé. Le
n° i d||l|pis, nous offie certainement un exemple de ce dernier cas,
et ne doit être considéré, ainsi que tous les monuments du m^fe;
genre,, que commcsl’abrégé d’un décret be^ W ^ plns'long, abrégé
qui se plaçait peut-être sur la porte du citoyen récompensé/ tandis ;
que lacté ofScielJe^ t^ p b sé'da^u^tempMi @p^^ é 1 dans.des
archives.
Imck 7.'-^‘ Dans son Voyage, Pi ïîvÿfé; IÉpps ||||É ‘ -
Welcker, Syllogr Epigr. gr. i5,, et lem° 6/JflT.du Musée de Paris.
IsscR.^î,jfÿ Siipp^p.. ,a ,,,-. . _
[H] po'vuxoç ZutXou.
ll^%p|!Sigg§l
Nicé^ filk Épris;..
i" Le nom de lOEpo'ïû/oç n’est pas conforme aux lois de formation^] es/
noms grecs, d’après laquelle ont aurait dû dire üpoTuyr,;, comme
on disai^^^^i^P Peut cependant? justifier la fdrme Hpotu^oç au
moyen de'l’adjectifEUTu^oç, si toutefois ce,mol, qu_on ne trouve f® ||
dans Eschyle1, ne dbiCpas^ i ^ p l ^ ^ la1 leçon affilai préférée
Le nom de Nice s’est conservé dans l’Italie moderne où les poètes
^McM^uf^^^um^usagé3. -
'y-l'^ÎL^Nîcé de notre inscription, n’étant désignée queÿpar l'e nom de
sa mère, il faut en conclure que c’était>un enfant naturel, et que
peut-être sa mère était une courtisane^
Inscription gravée’ en memmi^caractèrefp au-i^^üs^^im lfds-
relief provenant 'dffiparosyet représentant-&n~ jeune Homme
coiichW ^rriere -lètuiel^^^^mim&^^DDW^^wÙJk/fcoiide,
et la main droite passée derrière le cou du premier. Copiée
dan? le m ûséed'Êgmejpàr M. PtrtijSMj^l
OEPMOTE MPNNOfOlC
Whermogene ouMermogénc, fil&tdérÆLbjhion.
Les caractères de cette inscription sont si incorrects et si peu
distincts que lÆnyjUtutran®n est fort difficile., Nomion est, comme
ou le. sait, le nom, du père d’Amphimaque. dans Homèrel. Le copiste
a ;probabjementieonfen3j»mn..:'Mi aiVec un , ( ,
Graüe»agliinganniluoL I
Alfln retpiro, o Nice, etc.
3 Cest l'opinion qu’émet M. Bocckh sur deux monuments du même genr
nM a38g et aflio du Corpus. Voyez encore 1.1, p. 28 et suiv.
i P p f
II.
; lnscription^jmWpflr MM.
d'un bas-relief représentant une jambe, rlau leur, 0,342.
(Voyez pl. ag, fig. II.)
ACKAH
n n
m m m
YrEIA
TYXH
EYXAPIC
ÀexXïiiîUoxalryetaTuyTieè^Kpwnffiov.
A Esculape et à Hygie, Tyché offre ce témoignage de sa
Cette table votive a été, ainsi que l’inscription suivante, publiée
pour la première fois par M. Charles Lenormant dans lesSmragBgn
l’Institut archéologiquel. M. Boeckli les a reproduites toutes deux
dans le Corpus, n^’ a/iag et a4a8.
Le culte d’Esculape et d’Hygie, si fréquent dans les Cyclades et
dans les Sporades, tenait sans doute en grande partie à la salubrité
de l’air qu’on respire dans ces îles.
|/iaqag/feto«
a trouvé une tête d’Esculape. Copiée par M. Ch. Lenormant
Ravoisié. (Voyez pl. 29, fig. IV.)
A2KAHPIflKAI
YrEIA0ÏEPEY2
KAAYÀI02r AAAEINA2
La ajt.lieu,
de T A A AE1N A5 ; mais comméfl^actitude des h a b i l j s ^ ^ g
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^m ^ ^ ^ ^ ^ É ^filmche,^nfl:.saurait,être révoquée en,
sumblc Jevoir Être P^férée, quelque
extraordinaire qu’elle puisse paraître.
Sl®^ffim^®r^^sl^aî Sern^"d un dépiyCTammpm^^ ^^iffic^
W 2 j T * 3 f f J B 3 5 ^ 2 J S J 5 " ' i ■ >itjij. r~y
l’époque de Lucien, et peut-être antérieurement, l’usage s’introduisit
formntiôn^^^^^^^^mpléja
de ce maître célèbre eût pris le surnom do TaXYjvaç, et que, par u.ne
'Comme le
médecin de Pfirgameflksur^oMéClaudius^Sii'ce^^ ^ l ^ é t a it
admise, peut- l ^ ^ r a i ^ ^ ^ ^ ‘dei ce ^Galénas ^ou ^GaJlmas^aàJ
>^fralâif®biu^|ns le passage **
' é f i i v 0éj.x«ç lxava«7ixuî«i^®à WpwOiv
xéSouî^^Xf««. Le gratnmairien Simariste, aux ^non^mçj^du^êlÿ
Athénée avait emprunté ce passage, établissait
Issciv. 1. — ■ 181*9, p. 3/,a et Sé'i. C
2«(*(«.
^f|x,dp.‘399B.
distinction entre les différentes parties des reins, d’après quelque
occupé d’anatomie, et dont il avait^fcnom à l’appui de sa définition,
comme pour lui donner plus de poids. Si ce nom était raXvfvaç
!^^^^i^^*0i^P^-ê^j^^^?rjs^u’e|1'Passant’ sous lasrn^le-^mnp
de copistes, il n’ait pas, attendu.st^mC^assez extraordinaire, subi
Le tréma placé sur la première lettre du mot Upsèç se retrouve au
n° 385 du Corpus, ligne 19.
- '. I
lÈxwvaÇ^d^WTÎip xai 6
!Mercure^êt^a'Herci^jjs^j'{
Cette inscription
1 ®ome 1 et de là transportée dans le
Bres tviceconsul
de France à Milo, portait à ^ ^ ^ a^AF12NMEN H
D’après cette correctjm^.
,Julpr£m uit,'ainsi4t^ufe';l’ëpigraphê‘ v 'J - ■ ’
adbiis^Mtacm^lyoj^^|^^^^é^ ^m^ top |
^'colrige AB I ^ Q m fB N g ^ copie -^^^Mp luTek a cte
que célle^de. M. Bc^irdét|uitâcette^c'qnièctuyem^q^pmérable^
qujelletsoit;à oeUe^^u premier éditeur.
cration d’une statue de femme. C’est ce dont nefoermetm ^ pSau^
inscription
l’absence conjecturer que
étaient g rav^^^^^^me plaque de
”sur un piédestal.
' Ldscription communiquée à M. ■ rirle^w^^èMe^n^ejM\p^W?f-l
EYMENH2
IAETAIPON ; I
. I EÙ(asv>iç [$]iXératpov.
Bien n’empêche, ce me semble, de voir dans ce .monument la
dédicace d’unÉ ^ ^ C T ^ parËu'mènèîlf^^^PerfflmÇ^tpnda^ ^
B^Ma^s^vnàstie’J ^ ^ ^ ô leîPhilete^^^Wüfilavait été adopté.
L’absence d iilmisfB'^M E ? ^ ^ d o S i^ ^ ^ ê fer?r^s^ ^ .sai f
que Philétère et Eumène I ne portèrent pas ce titre, qui fut pris seulement
par Attale I :\ la suite de sa brillan.te, yictoî ^ su.^^^^w.loisj.
appelés dans l’Asie Mineurefp^MmM^^ ^P^ |
IsscrÎ 4. — ai ; 'Strnb.
^É^^^^^Yisconti j'Iconngrjgrï- ;''" J