_< circonstafic^^g^mMejmême.motif, Calymna, comme nous l’avons
t^ § a g^ »^H w ^ P^“^ ^ c*te|,'~Cft'passage
Iy.x) : iVôKatirapoî £ixaio£ (ÎttktoC êBvouçàireffTaXpévoç, et cette
inscription de Sparte ^quijprpuve que déjà sous Hadriè^^Biënfaifa
s’étaitiefeMM^^^nM^S^iq^^telinWription?en caractères- couÀ
wdXi' Tî^. flSXaitôiov ’■A.pp.ovetxov nXetGToçévou , Xaoovva t«ç *||p?
àfKJToroX«T[s(] aç veipÀ'/zafk ^wSjTqyaxalSâ-o •roïï Siip-ou, xaOà*xal 6
OsioTaroç AùxoxpaTwp Kawap Tpaïavoç ÀSpiavôç ïeêacToç xai AtptXtoç
Du reste, il est constant que l’institution des Juridici ne se bornait
pas à lltalîë,-.puTsqîîàiÊtMUvè dànslès inscriptions de'Mùràrori
la mention d’un juridicus Hispanioe citerioris6S, d’un juridicus Bri-
tmntâgâtct}d’un”juridicus 'PaAnonice'in/^^n sf0‘.‘‘Ti paraît même
qüe!desg^isf^^P^^laliiW d'@^l:é^^restre^^!%nnetyilIe,
1 j^ i ^ r é CTlem^^^^^v^fVftct.I)u moins le recueil ' de" M u ^
<tMi||ait :mentiôn d'un juridicus municipii Ascidie.
Ce principe ne fut pas abandonné quand;r&éproula' l’empire romain
; 'les mis si ’domiriici de|G|li^le^a^e^mS gp^ îûgespup ^
vrll^s^étràng^Wa^^îfférC T ^ ^ ll^ B ^ lsi^aîen^it'énir «leurs
plaids ; il en était de même des^iteuK drmïml^d ^ ^ ^ lete^^Mais
'ce' 7*fëi même1 dé quelques villes
municipales du fraidLdëlla France au' moyeinâge^?,^^i|don^ratslm®
•iàulmpfidchêmënt-^leTOVusiimmeaîagaSealeimoM^nt^uiwious
occupe. La maxime {ondâmêntalè de l’organisation judicpu|(£ des
villes* italiennes, c’étaitÆom^^Bansil^anll^grecquKE^^^^gj
W^le^ïn^^Viet'.spus 'la domination romaine, dé choisir pour juge
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ d ’un autre paÿsf >'etî par,''conséquent à l’abri des influences
lôç^les^get^^ürmci^Yj^TOimyrop^gl^^TOnsÿTO^acre.
Eietji^t^l^p^ranonMaellSJSSlîS^^SsBnn^Mro^mfflee^M^PËi^
K ^ ^ lc Bel74} et inv^quéÿm^i^tê ans 'plus tard par' les'’étatssg^
'rferâux'de i356,vdoni^dant.formellement'lqqé,'nul ne‘puisse être
jjuggldans la ville-;ou il est né'7§. * p$
faut
des juges ait été le'seul mis en
usa ge danslesdifiëréntsEtatsgrecs.UnecurieuseinscriptiondeMy-
tlltoe^^^^^^^^^MtfcdmplètFètm'utiléé,' mais rétablié^r j
M.-Boeclcli avec’ un rare bonheur, nous 'apprend que lors du rappel
la" rèstitûtîotf des biens confisqués ayant
donné lieu dans cette villë à de nombreuses cohtestmfions^ing^ a a
|roj^rof^ren'^cnmsis!^^îra^^l^ammstiés,*et'djxparmi ceux- qui
n’avaient pas quitté leur patrie, pour termineraes'djffé^^ ^ TO^roiCT
^^^^^^^^^^mns^l^cas/d’inippssiljilité, en; - qualité déjuges.
Il n’y avait donc rien d’arrêté à cet égard', puisque, datis la même
pîTanepxToi àixao-aî. Mais ce clèçniet
mode dut obtenir la préférence, et c’est sans doute par ce motif que
1 èsamooumént^ ^ ^ ^ r e^^feBt^y.^sgnt, parvenus .çnÿluMgcand
.ingmbre.'f^^
fflB^ y^ ^ëftçrmi^m^^ y a il^il ne sera pas inutile. déN^rweiïter?
^ ^ pesStdbséKvations-'sursI^mlldeSnotre ' monument et*sur quel-
ques-unes de mes restitutions.
'lj^ £ ^ ^ l3 ,^ ’pY^VTtû^<iw^,iia^^^^^^^ME^^rov^^Mt.Letronnéî':
/ ainsi.quevM^Boqcltlij'itéur^e.
n° 2264 du -moins
fffreqüM^î^^^ae<rémârcme:M. Boeckh: /oc. lcii. -^ *.
i " i 1 S S 1 ,,C r " < 1
lemenfabien 4M ^^é^atce^qUe\Tgà-<~w,vXOTgiTQ^^^pc.^ùndiqüé v
évidemment qu’il s’agit detdèutfelortesd’afiaires.'Resteraittàadé t i^
‘mineiâla^diGerence qui existe entre-xpqucra-et ftxaQ'isi toutefois <il- en
existe une, ceydont‘jSl^Hm^^^^^^^mteK^puisQuè‘Hésvchius*ex-
^liTOe';lîim^r l;aut^|?* ^ ^ l
» Z ^ e 7, tmGrpa[/.pivü>v. .woç xaî £ix[ai'«oç]. De m'ême^Sngrfe ■
n° 2270 du Corpus, xaXû; x» svàdçtùç àvac-rpaçsî;. Plus bas, ligne 55,
ce vcrbe ',re<^i^^|'e^^ a e^^t^«ffTi>gosv»reti:i lu. r-«civ avE-j^/i-wçs.eu
«pysTiixIvai vov Svjjlov. Sur cette construction, où l’on peut suppléer
cSgte devant l’infinitif/voyez la-grammaire de Mattliiæ, §'“S§2*, 4°.
'ÀŸ^g£^æÛaii,..sdans' a trèsrsouvent le sens de sè\cpnâàiM',
agirjversari. Voyez Je lêxicon Poljnbianum^dë Sclrweighæuser. îs.-v.
Cette expression que St urz, d’après Tau Write
de Manuel Moschopulus, rattache au dialecte alexandrin, ne se rencontre
pas,il est vrai, chez les écrivains attiques, mais elle est assezsou-
vent employée dans-les'auteurs et dans
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ s ^ ^avoris^ufn »exemple dans^jîi^r^ion^duVnpnt ;de
Mégalopolîs 78. et u ^ ^ ^ ^ M éaulSun monument’ del îWos 7,9.
-‘feÏ^^M^^f^Jt^*P^'?èIi’emploiùdeVCemotf .dont je ne trouve
pas d’exemple dans le iGonpus*, paraît appartenu t l ’époquyàlexan-
drme'-Du moins il ne se rencontre pas dans les^écriyàf^^tiç^Sg
qui se servent dans‘le même sens de ,?|votç80 .et'â^ev^l^.'îîLcs
?jm^plMa§5plus'anciens qu’en foumissent les lexiques soohemprun-
tés- à;'Plntàr^^^^^M^ ^ ei&8l.^otre"inscnptioniproiivek'éŸidCT^ '
me^^^^^éÉi^nâtéî'ivant notre-èret^B’ailleurslIdes Uc^v^M; an-
térienrs à ‘Plutarque ^ ^ ^ |c i^ ^ ^ l ’ém^ôient dans<e sens métâ-
pborique,^qüi naturellement ne peut-avoiR,éfé^^^fé|que - postérieurement
>âu sens propre de ce m^tl-—.ï- 1
^^fSt^bn'XVII5 -Tj? i a. Voyez le savant rapport dé M. Hase
grhl/léZ^ ' f ^ ^ J
m^^^^^^^^^^^^B^^roraltlw^àyoirmtHsaraméntprécîké lesensqu’a
icice mofcyoïcU’ttplicæti6nqfflendonne:àuau>SÂzrl; noKjpârtanurmagii/çà-ï
tus, sedjudex vel arbiter ab Jmperatore leçtus. - $
• ' 71 Voyez K. ©i^V., Hullmami Stcedtewesen des Mitlelalter, L lH, p.’a53.
italiennes, coiamé au •&* siècle avant J. C., Aiidrbs fournissait des juges aoex cités
grecques de l'Asi^^neure.'Hullmann, Op: dt.;pH5^ ^ ^ 53^fi3^étSp.^
dans les inconvénients où des raisons de'parcnte et d’amitié pouvaient entraîner
dans quelque république d’Italie. » Papon^b%'p.'5^,5. 'Çest ainsi, par exemple,
que Perceval Doria, de Gènes, futjàppélé pour remplir^ cette magistrature, en
536 et53^ t / ? 8 1 ' P
74 Ordonnance du a3 mars i3oa : « 37. Item. Nolumus quod aliquis preficiablée
des trois estais du royaume de France de la Languedoil, contenant'plusi^l«
rcglemens sur différentes matières, »il est dit, art. 8 «’Gqmînej'|foji^avons
i‘^^nf&7-'Glergies ét autres^Oflices plâsétusfau temps passé, on^Mm^ajlli^'',
s .Offices;!
s Bailliis, Senescliaux et Vicontes ont esté juges is’Pays dont
ons ordonné et ordonnpns^ue >Prcvostés, Tabellion nages j "V
es et autres Offices appartenons au 'lait'de Justice ne seront
« Pays et du pays voisin . ét que les Baillifs, SenéschauxctVico
mIbns qu1Is soienfrostez, et Kous mémes par ces présentes les 01
(
vajAtaî85.
encore
. <7^,UTa‘î Aw[e^«v vèv Tajitav] và (teyiera èxTfijv vo(iûjy. Dans ces différents
passages, à en juger par noire inscription, £évia n’a plus le
sens de dons d'hospitalité*0 ou de repas hospitalier 9', mais
un usage assez^omrenlï
le début de l’inscription; ainsi l’inscription a556 du Corpus commence
par ces mots : ©sèç âyaôo'î. Àyaôa vuya xai tel cuTTipia, et le
n° i845 par èwl ewT/ipta.
Ligne Ce mot, placé à la fin des trois décrets, doit
être considéré comme l’expression de la sanction donnée par le sénat
et par le peuple à
ncllt à
sont souvent
rappelés dans les décrets 9».
Ligne ay, e[ilvouoraTou]. La lacune que présente le marbre
de la 'dcpens^Sna
inscr. gr.87,9a, 106, no, a353, ou bien de SoW Ibid. ii93, 1843, t844, *140,
39;a334, a9;a3/,7,C, 55.
la 'note de Glijsltulïv, Jnt.
I B S
inges.
9' Comme dans Horn. Iliad. V, 778, et dans cotte formule xaXfwt ial xi Çfv.a.
Corp.inscr.gr. 84587.
ÂnixoaOfoK X«l StvofQy. Hissych. Hiv{«„6iw-
l ü M B 9 »Xfa,.Si5p»i passage où évidemment il.fautât le dernier mot
sut>8^re ®n" ®° “»ornent aucun exemple parmi les ins-
94 Inscr. de _go^i^o; clrp.mscr. ÿr.,',n°Æi845^^;%é> Syrds,.,a347^0. 65.
1,5 A Olbin, par cxcnijile. Voyez Corp. Inscr. gr. àqGo, 33.
H 9 B
Ib., -m'v Te È7;iS-/iu.tav ÈTCOiïi'ca[to x. t.X. Cette circonstance est assez
xaXü; xal eÙTaxTMç {Corpus Inscr. gr. a356j. Kai eù[TaxTto;] xal
4^, J
inscription de Téuos9! ■- .'Mjj ^ T '1
' Quant à l’adverbe âveyxXilTWî, il m’était fourni par la li^ne 55.
#B!adiéclifg^^^^fise
qui contient aussi un décret honorifique : av«7xX»)Tov éauTÔv irapéojrETo.
■^gSe/S^iïpoatpotfpsvfo'ç vs
Cette restitution m’a été suggérée par ce pâssàge^^^^pPnélit,
d:Égine>ld<ïn^^^éjà‘ eu; occasion' de parlef^^poo’^’pVypJy^wMue^
restitution
-était
criptions ,0°, et Polybe en fournit des exemplesro1.
Zt^ne 5o, xaOaB[epèe]T[iv]^aXVèv ôv^pl ç[(â]9povi. Le mot IçoXXa
(cod. sÇo'xuç). L’adjectif ê^aXXûç est évidemme nt d’une époque récente,
puisqu’on le rencontre pour la première fois dans Polybe,oa.
Ligne 54, eixqvl ypa^T d^](o. Après les savants éclaircissements
que MM. Voelkel ƒ •Boeckli'jf5 rMtÜBH
tronne106 ont présentés sur ce genre de monuments, il est impossible
| H Pas y voir l'Q portrait peint en demi-figure. Le passage
de Macrobe I0~, si C
aucune incertitude sur ce point, et M. G. Hermann, qui l’a remis
r^ilbid. ÀvaoTpaçsvToç èp.
du Corpus, où l’on trouve, ligne 6 et suiv., xs&üç xal èvÿdçtaç àva-
OTpaçsl;, 0vs[yJxXdtov éaurov irapéo^STo.
Ligne S j, ô-uç, toutuv qût[ûi]{ cuvtjXscÔév-wv x. t.ï . Cette pensée
fs^ffOTfve'rebrôduite 7,niais'*d’un’e‘iTfimière^pl n’s simple
Xo5{zé
Si Kôcpoî 'encore,
n° 269a.
97 Voyez l’inscription de Malte, publi^ ^ ^ Mteffi^ iciÆg.nêr. inscr. nom'-
col/eclio, p. 8a.
■ '. 75 a3a9> 5;
^ ^ i g . ^ g I
Journal des Savants, ^833,.juin; p.366(p.’6dmtirage à'partj, ct iie<f/;^c4w