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dnscriptiomc^inmûm^uéie^MiWirlet avec cette 'note Èv 'Èpsêpîa ’■?%'
EIAPI05 MAÏIM02 ZflN
NOYMHNH A2KAAmN02
10Ç Maçipç Çûv ^°3Ég|j||i? ÀéxXçsjp^wvoç.
' • ‘'Çâiuÿ' fîàbiid'JffSæfâusfde^son vivant', à Numénius, yflsfd’Asilapipn?
ILES SEPTENTRIONALES.',
P B t e feHOS^ ' ;
Inscription'!ppp^ë^di§^flfi^étkdans Pile de Sciathos, maison
de Nikolaki Kadji Stamati. Elle a été trouvée en creusant flSj
terre<fipiu^^ ^ Êles fondements de la maison ou elle ajÈui
en marbre. ' .
ÂrÂOHITYXHr -
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0EIOTATON AYTOKPA
10 N
; EEYHPON PEPTINAKA
11KAIOAHMOCCKI A0I I -
H N EPIMEAH C AME
N OY P ! CTO Y TO '
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V 3EÆ-N.EPfi> N Æ B&.AP.
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ÀYafi^i'tuj'ç. Tiv îfbjwmt xa\ fadncm Aù-roxpctropa A. Ses-rfaiov
2tvüpav' rïepTOâxa‘2e&WTàv, ^ pouî.^ yüù & &j(wc 2xia6 tuv, istpXnca-
(J.SVOÜ ffio-rou co[jS] ;ÿavUV0ou, àvfl’ flî îp&V è-tavupu dp^Ü;.
• 'Au très-grand et très-divin empereur L% SepÜmius_n Sppenis
Pertinax, le sénat e^^^ufiJtëfdesiSciatliiens élèvent cette statue.
■ Pistuf, fils d'Hyacinthe, s’est chargé de surveiller Vérection
de ce monument, en reconnaissance de ParcTiontal'éponymeqûi
lui a été confié.
operum ac veluslalum : uhi quum injurias quasilam ab Alhenicnsibus pcrlulissct,
Il existé dans le Corpus, sous le n° a 154, une inscription on si\
lignes conçue absolument dans les mêmes»termes, ‘sauf les noms
qui suivent le mot ràfwXijcaiifvou. Au lieu de IKo-ou tou ÎWv9ou,.
oa ÿ lit i'oaîvGou Hfcrou. Ce sont évidemment deuxmonuments .bien
distincts. Le plus ancien, à en juger par la forme deslëuçesyest ce'luT
que M. yirI%?'ajeopi^^OTs deux se rapportcnL à une statue 'élevée
en l’honneur de Septime Sévère qui, ayant eu à se plaindre .de qifel=î
'ques injures, alors .qu’il étudiait à~ Athènes les lettres, la -religion et
les antiquités, 's’en était vengé lorsqu’il fut devenu - empereur, en
restreignant les privilèges des^ Athéniens, et comme l’a conjecturé
M. jBoeEhh, sans doute d’après un, passage 'd’Ælins Spnri.îajns
en affranchissant Sciallios^de la domination athénienne. Mais, de
ces deux statues, la première fut élevée par ^s^»ÿ:fikîd^yacinthe ,
et l’autre par le fils dei Ce.même magistrat qui, suivantJ’usage si
commun en Grèce, portait le nom de son grand-père.
L’indépendance .rendue à .Sciàthos^n’avait ,pas, à ce qu’il paraît,
tourné au profit.de la, civilisation de cette île. Les artistes, à/en juger-
.par-l’écotdité^des deux mo.numéntii"yétaient<devenusjHqins.habiles,
et la langue même y avait souffert comme-paraît le prouver la suppresion,
de-l’article devanfcte^^^fflé;^ëtus,,dans.le n° 5 154- Toutefois,-je
suis loiiî’dfe*vbir, avec M. Boeckh, un indice de barbarie dans la dernière
phrase de rünVëtfautre bscription. Sans doute.^ ^H ^ ^^ælui
ÂvÔtiç r,pÇev feùyujwù ip/piç, Anthès était archonte éponyme, la syntaxe
îpÇw âp/Âç-a de-quoi blesser lesgSaJIp; les moins dclieatcs ;,mais
jjat vraiment ^eine à comprendre comment mon îllusti e confrère n’a
pas reconnu que les lettrés AN0H2 , bien loin de contenir un nom
propre, offraient cette formule si fréquente 'dans, les inscriptions3,
âvO’ r,ç, qui; par suite de la loi impérieuse de l’attraction, amenait
de toute nécessité le génitif dp^/fc à la^uite d’un verbe 'qui, s?ilm’eût
.été précédé d’un relatif, auralt^exigé apyès foüYjïccu&aüù y }
Si M. Boeckh eût connu notre inscription, il ne serait sans doute
pas tombé dans cette erreur, car il n’eût pu admettre que précisément
aux deux époques differentes où les deux• sta t ues fui'cnt élevées,
un même personnage avait été archonte éponyme.
* Gn trouve plus fréquemment encore la formule &■ />' Zn prise dnns un sens
.y. Les^quatre. inscriptions qui suivent ont
Loutraki à Glossa.
AVI OYCCC€BACTONOAYMPi
OAPXieieYCTHCCE ACINOYCItONICOAC
IKCCIOSNCIKOO'WXCcDHTTIOCû-
Cette inscription peut é tr^W ^^^^lM ^mèrbafiivanté'
AYTOKPATOP]A K[A]I[CAPA]
0[A]PYl€[P]€YCTHCC€[BA]C]THC]YCICt)NItôA[KI0Y]
KAIIK6CI0C N£IKOT[£AO]Y C0HTTIO2 &
ÀÙTOxpavopa Kaioapa ÀSpiavèv SeêauTÔv ÔX(fp.flrwy 6 àp^tepeùç TTjç
'À l’impèra
préd-'Mdê'lUmp!ërdtmce§^B^^Êm3Ml^tm^t‘lcésids^/filk,de •
Nicglélès, du déme de Sphettus (ont élevé cette statue). -
Ë’impéïâtrice'^onè- est Julia Sabina , femme
^vL^gràWSpr^re''
“•bll^m^^wvwaiam ^ ^ lredevenue DuissWte^^kgK^^^M^W
, ri rip'n ^ p tnn^ a ^ j c ^ ^ s't. dausfTbucÿdide a, porté par ukitofea
nien; celui de Nicotélès est conuu^ y m ÿ .^ ntlëté. porté ~par"n, t
-JCorinthien, renommé buveur, dont-Elien parle dans 1ses histoires
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ d ^B ^ j^ e& d ’Icesiù^pâ1a:i^nCTsi-iè%e',ni1lÆompe^'.->'
pour la première fois.
CAPAM AIAIONAY
PHAIONANTHNCI
PEYC
h | ^ n i
lAinN
. [ÀùjlTOXpaTOpa Kaicapa M. AÏXiov* Aù'pn^wv ÀvrM^|[s3ï|wov)( 6 ^cpOvoçv
[îs^ipetiç ‘[M. AùpvlXt^'<5iX'[«]^8>Iipoç â xa'i 'Xàip |ÿxt]X»avoç sx ÿwViî^ïwv:
^^^^e^mtc&Âr'M^^uusAurëliusAntpninùs, le.prëmiér
-difielim, PJiîûdelphe, appelé aussià
ÇhoereeliànùsfiaTél^^ette statue de sesaenie^0 ^^Ê
iTaiîama^u o c cà spm ^ em p l’^haiit1 du titréÿdé’wpwmçliMsùç1,'.'
dans-riëqûel- .assez disposé lwmuta|OTi^voitVuVéqiiivalënV
dap^uptéç. Le personnagepar qui étaient remplies ces fonctions
gavait • reçu;, tindépehdanimëntrdeÿsçsvn.^^^
■ ' cause do|s6b ’ dévouement
poür^la famille,Ælia; D,e même nous^avons^u^Messène % Tibérius
p!^dil3s5iâï’lilùdaiJ*ajdut^ts^h^m'celûid’Ælianus?L’emhm»iMSK
t^ ^ ^ ^ ^M eC.copiées ,par
•qb’Adrietf avait- excit'egda^^a^Gr^l^ ^^ ^^ ^rendre ce surnom j
.^commun ët>~c^’fôpàrce que je le retrouve dans^^^^^^M de
Messè^éf|^iiHQ5jRt^uÿ^^p)Bp ùe?je,p aarattacneKl^^a^
de' ce monument à l,^ ^ ^ ^ m ’e|^^^E^^Pçlme^ij',Enj.;éffet i
elle est. de l’annee^fnÿ après 3.
du règne d’fiSlius. Badriàhus,yJaMKBM ,da.nscl’autre supÆsWon'
‘du'nom.Ælianus par'ûn pVrsonnage'im
H H y u w
pierre en forme de piédestaÿ ^ ^ int'}
une cavité à la partie supérieure, sans doute pour recevoir
AN HCT CAN Y . - B . A
- TON A[PXI £P£ A] K A. AYP- [AIJON Y[C] ION
AYPHAI [01 CCOJCANAPOC [K] Al [H]r€AUO[N]
01 l^AfÀ[^C[TO]N GAYTCON PAT€PA
. . Tèv apÿ.spéa KX. Aùp. Aiovuciov Stâuav^pôy yùv.â^iq^Ojy^T^py Aipii^ioi
- 2(ücavSpo« xal ÈYtfimv oi waûïeç tôv éauTÛv wa-répa àvfcrnsav.
^(wpwp.a'n) ou Y-flçta p(ou>^-ç x«î) ÿn'(Aoo.
Au très-estimable Claudius Aurelius Sosandrus, grand prêtre
SM ^M ^ ^ ^ ^urélius Sosan^S et Aurélius Hégémon, deux
WfijM&leur père^m^^l ^ ^ c è t t é ^ s à i t u e d é c r e t du
■: sénat et du peuple.
a ^ ^ no’myd’Hégémôu ‘ est nom romain'- d’Aurelius ■-
prouve que ce monument n’es t pas, untérieurjau-Tè^^^^^mronin^
4-
unepiëire^^muMi^^ewhentànt un Bomainflai.
main droite sur la poitrine dànsüe màrilèàù ,]^^^pèùdantejt
^.l'ûrtî: esclàv^Êjof^^^mojdtÇT^c^ ntë^^^^^^^ 'sa' gauche
midfemmd'tlesfifiaf-croisés èt la tête appitfé^^^^^aMsês -
=■ mains. A là gauche 'duZtâbleaiiïun pêtitfeTiienii ’,^3?,
'\f^p}iTddisie\ fiemme àe^Mènandrel née dans
L’île de Péparèthe appartient, comme on sait, 'au même groupe
^^^ié^Wet-,St»pelosWMi. Sicfcler j- sansi.doutë-;-. snr.làj^^Kogl
tionnaire;de Bi|cl^ff4t Moellèr, av^:e^welleB|appelle aujourd’hui
l^^^/pSÎJapper.^'^^^^cotév'ipréfènd; qu’elle' porte les noms de
Lemene, de Lanio, de Lafanifà^S^iqidMj^^Ofiu^} ^