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'etfp^lHes^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ W o ^ ^ ^ ^ ^ ^ P ^ ^ ^ ^^les^B kute s^i^ fâfpe sfg e |Bardo iinia ;
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assez biefr ".
-via sacrifice. -
^ ^ ^ p^w ifiisë -'ch aE ^W ^ ^ ^ ^ ^m ^ ^ ^ p là fiima]5s^^^^^ffl^^^mpfisii^^^|^^.attVais «'style >||l|S2#p
deîdàwmjljP■,*
trouvâmes u n fragment de la couverture du sarcophage : une partie, en est sculptée, et imite une
draperie se repliant sur une jambe qui appartient à une figure couchée. Le'monument .^st^ ^ ^ m ^ ^
assez mauvaises
: de plus, son état actuel de dégradation est tel, qu’il ne permet pas d’en faire un dessin
capable d'offrir de l ’intérêt. Aussi nolapç^etsffiarent-ils»réel^d>^oiB^faityun spIod^ jéjtm ^ ^ ^ ^ âller
voir U n monùmêni?équine im érite CTi^e^'etTft ^ ^ ^ ^ ^ a ^ ^ l e i^ ^ ^ l^ é l s â ^ é c o u v ^ i^ ^ f j f i t d a p s
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cheval et armés ;‘ plusieurs' portaient
de la futu^gépnu g ^ ^m ^ ^ ^ ^m j
bientôt leur arrivée da n ^ ^ B ^ s ^ M j
vers .la
jSuiY ^ ^ unj^^^t^ ^ a cée dans »une
mifieufqmmMs’élè^e^Tin ji^ g^^ |flg^ ^|s^ëEm A ç l.e s J
collines verdoyantes environnées d’une campagne d’un aspect charmant. Le caractère des habitants ne
tient pas de la beauté des lieux. Ils ne nous donnèrent en effet qu
^'u^Dans^Ié b u t Êëmous Vendre,'à Moneihbaae..mdus|^i^p^pJâu-, sôrtiEd é K.ara|paï * u n c^ u d ^ f f i& l
nôu ^ ^ ^ ^ ^ R v erswl’E. T ^ l l^ ^ a a ^ ^ ^ ^ ^ B s f ^ m ^ l^m^aMràvg^^ceT^^^^^MBapMcoiMvërs' la
en ruine, a ins ilou^ ^KC T g ps|^mn n y '- r em a r q u ^ ^
pays” tp id n parcourt^ alternativement boiséaet/cu ltiy é , ^parait
tableaux riants, du spectacle plein d âpreté et de sévérité que lu i a offert partout
le littoral voisin.
sa r iv e , nous la
de GramisîËy-. et aperçu tant sur la droite que !
entrâmes habitants y "^ H @ t^ [^^ ^ ^E^fi*diiquent Mdans'~il^ e j^ r o n s^
^ ^ ^ ^ ^ p restesm l^ ^ ^ u ^ ^ f o tre intention étant'de passer la nu it^ ^^oee t' endrqit, nous,adressâmes
dy^pW Ql&^p^^E^pt^^^ ^ p ^ ^ ^ m ^ ^ ^ ^ r é n tT ^ ^ m B ^ ^ É l 'u j i e d’elles était le démogéronle.
Son accueil fut plein de prévenance ; j l -nous promit un logement pour la n u it, e t nous engagea même
h h àison^bu Ife ïdémogéronteJfn^u^nmjHuisit^
igueanous v î m e s e t V l e femmes parés,1 élégamment, t e t qui d ansaient, animés par 1 es
.sonsimeuj harmonieux-, toutefoisj^ u i^ ^ Ë l^ o am une guitare et d’un triangle. Un papas et/plusieurs
-autres ‘personnes ;assistaiën^<mime< spe ctateu rs^la *fête?,€?éf^itiijme|noce^«fê^
La mariée, fort jofié e t très-richement vêtue, présidait auk danses 'fvéfc une ^^^f^lq^elle^séihblàit
'^ ^ ^ ^ ^mmtelgp ^ ^ i^ jm e u x y^ produire .dans cette solennité. Priés par l'aimable soja lle ’.de -prendre
part à la^joie.générale,(nbus.y^coi^rituneS ,dlautantj plus, volontiers, que chacun à sa manière s.’em-
pressait d^^^^^w^a^éaBlêï^Lés plâiéîrS'de'\4. table sucéé‘dèrenf?'Bient6f à deux d e la danse, ‘et le m arié,
^ u ^ ^ ^ ^ Ë^i^TOToints deuxlpu/trois jeunes gârçonsf‘ in ^ lla ^ e s hômifiés iïâm jm e jo lie dfiâmbre.
L à furent o fle rt^ fq à elq iî^ ^ ^ ^ u x ,fa its d’une patd légère e t amincie, en même temps qp^dn versait
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A l’exemple des autres convives assis à terre devant de petites tables, nous prîmes part au festin,
pendant lequel l ’orchestre, jaloux de se faire’ entendre, exécuta une musique que nous goûtâmes
> i nêl és de chants, causa ladmiration générale.
i e ™ m S ^ aB!^B^SRun laup ^ ^ ^ {^ ^ T a i f e ^ ^ ^ ^ !B ^ ^ ^ l^ ^ a a lË B l^ l^ ^ ) b om m e tellement satisfait
d’être à pareille fê te , qu’il ne pouvait s’empêcher, par des bonds et par des cris, de témoigner de son
ree.nndinreSK™ g iw ^ ^ M ^ | a iU ^ ^ M l^ | ^ | ^ S M ^ ^ ^ ^ | ^ ^ B B
turcs
et une église en ruine sont dans le voisinage. Bientôt on découvre la mer e 1 1 e cap d’Epidaure-Liméra,
puis, après une heure de marche environ , on voit des cavernes pratiquées sous des rochers et habitées.
On traverse eusuite un pont qui communique de 1 a terre
en pierre et en moellon, est de construction toute vénitienne. Elle repose sur des rochers qui sont
ques maisons ornées de détails d’architecture. Le fort domine la mer et la ville basse. Il faut quinze'minutes
pour arriver ju squ a la porte d’entrée, ensuivant une rampe très-rapide. L’in térieur, qui est d’une
grande étendue, renferm
>. placé au milièu de l ’eau , n’ayant avec la terre
qiiun;rpetitv
. R O U T E
Après avoir pris congé de nos amis,
débarquer L’emglacemjent d’Epidaure-,
ruines de, l f e p Ù ^ ^ ^ f f l g ^ ^ g ^ ^ ^ u l iement.eïi?
,*, DISTANCE DE GTTHIUM A MONEBIDASIE PAR SPARTE.
a m W w w t e E t ^ M i i l on
"4i m^S^^^^naïn^fên^rSine^Mifit^^x’ m. ,.bn^^^^^uche‘I^vetzoyff, .yiila§eK2^ a in \t un kan.
^ ™ ^ S |p i i ^ i i ^ ^ ^ ^ i ^ ^ l i^illaee. A i pont sur ùne*riviè^«£^^^ ruines“
de tombeaux turcs. À 8 m., Sclavo-Corio, village sur l’emplacement'd’.^^^^^^^m ^ fti!KSunariM)etit village. A, 5o m., Zacalali, village.
À i5 m., Camarada'jÿ^^^^^^^m., Mangoula, village..A^^^^^S^^^onia, village^ A i5 m-, un sarcophage. A. 35 m<ââ
?> droite, line maison droite1 de l’Eurolas., A
^ ^ ^ ^ ^^ pMej|imlla.^foVda1iotf^d’ûnSftu^^^^^ ^ ^ ^ ^ ^^i'j-Gramisari- village. A i h. a m., une citerne. A 28 m., à gauche, une
ruine moderne. A aa m., plusieurs tomheaüx.'tu^^l^fflirifepM^j^^^^M^^rammSaîS-im.. vers l’E., une citerne. A 5o m., on traverse
un ravin boisê. ‘A a|lB^^^^K^viHagei ,;A 5‘,m., au église en' ruine. A
fontaine au milieu d’oliviers. A 33 m., cavernes habitées, pratiquées sous des/rochers. A ag m., une chapelle. A ag m., pont qui communique
de la terre ferme JiMl|^ Moncmbasie. A 18 minutes, entrée de la ville basse.
Total do la distance : 3a h. r m.